Marquée T1 [Terminé]

By Maloann

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Alyssia Piétrowiak se retrouve dans une école où tous les élèves s'avèrent être des mages. Elle ne pensait pa... More

Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Tome 2

Chapitre 1

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By Maloann

Salut ! Tout d'abord, bienvenue dans ma première trilogie ! Je rajoute ce petit message à l'intention des nouveaux lecteurs. Je suis en train de réécrire le tome et je suis à la recherche de bêta-lecteurs. J'ai rajouté de nombreux chapitres, changé quelques passages, et j'aimerai avoir un avis externe de quelqu'un qui n'a jamais lu ma trilogie. Si vous êtes partants, envoyez moi un message ! Bonne lecture !

_________________________

"Bienvenue à Preston."

_________________________

- Maman..., râlai-je, je n'ai plus 8 ans.

J'allais en internat dans un lycée loin de chez moi. Le soir, après mon dernier jour de cours, soit il y a environ 2 mois et demi, je reçus une lettre me proposant d'entrer dans ce fameux lycée.

Après avoir fait des recherches sur ce lycée et avoir lu que cette école était très dur d'accès et de très haut niveau scolaire, j'avais accepté.

Nous étions sur le quai de gare et ma mère n'arrêtait pas de me rappeler les règles essentielles d'un bon savoir-vivre comme me brosser les dents matin, midi et soir.

- Je sais mon enfant, tu es grande maintenant. Tu as grandi tellement vite, tu es devenue une jeune femme, une magnifique jeune femme, ajouta-t-elle en caressant mes boucles brunes qui tombaient de chaque côté de mon visage.

Au loin, on put voir le train arriver pour s'arrêter en face de nous.

- Tu vas tellement me manquer, je t'aime tellement, dit ma mère en éclatant en sanglots.

- Oui maman, à moi aussi tu vas me manquer, mais je reviendrai pour les vacances de Noël, c'est promis, tu sais que nous n'avons le droit qu'à une seule visite par an, la rassurai-je en la prenant dans mes bras. Je t'aime fort.

Lorsque les portes du train se trouvant devant nous s'ouvrirent, je fis un dernier bisou à ma mère puis je montai dans le train qui allait m'emmener à mon nouveau lycée, portant ma valise qui devait faire au moins deux fois mon poids.

Je m'installai à côté de la fenêtre, de façon à pouvoir voir ma mère sur le quai. Le wagon était grand, même si de l'extérieur, on aurait dit un vieux train à vapeur, l'intérieur était vraiment spacieux et propre.

J'étais assise à une place, face à une table, donc je serai sûrement avec trois autres personnes. Je mis ma valise au-dessus des sièges. J'avais toujours eu peur que les valises se trouvant à cet endroit me tombent dessus si le train se mettait à freiner brusquement.

Je fis un signe de la main à ma mère. Je savais qu'elle ne pourrait pas rester jusqu'à mon départ parce qu'elle devait aller travailler et sa patronne n'acceptait aucun retard.

Elle m'envoya un bisou de loin, embrassant sa main pour ensuite souffler dessus dans ma direction. Je lui rendis son baiser et elle prononça les mots ''je t'aime'' que je n'eus aucun mal à lire sur ses lèvres. Je lui répondis ''je t'aime aussi maman'' puis elle s'en alla.

Je balançai ma tête en arrière, et voilà, c'était parti pour une nouvelle année. J'espérai que cette fois-ci les gens seraient plus sympas que dans mon ancien lycée.

Je pensais que j'allais l'adorer puisqu'il était spécialisé dans l'art. J'adorais l'art, que ce soit la musique, le dessin ou même la photographie. Tout était rassemblé dans un seul lycée. Mon futur lycée.

Je faisais du violon depuis mon plus jeune âge, d'ailleurs je l'avais amené, il se trouvait sous la table, à côté de mes jambes. Ma grand-mère m'avait aussi donné des cours de piano avant qu'elle ne décède.

Le dessin, c'était une sorte de passe-temps et la photographie, mon Dieu, j'adorais ça. Je transportais mon appareil photo partout où j'allais. Je prenais de tout en photo, visages, paysages, animaux... Je savais que j'allais m'y plaire !

Je fermai les yeux, imaginant ma vie future lorsque je fus interrompue.

- Bonjour, excuse-moi, est-ce que la place est libre ? demanda une jeune fille rousse, avec de grands yeux verts qui me fixaient avec une immense intensité en montrant la place voisine à la mienne.

- Euh, oui bien sûr, bégayai-je.

Je regardai autour de moi, le wagon s'était rapidement rempli pendant ce moment de réflexion. Un garçon s'était assis en face de nous. Blond aux yeux bleus. Plutôt mignon.

« Oh ! Reprends-toi ! Ne bave sur personne, tu n'es pas comme ça ! » me grondai-je intérieurement.

Le jeune homme esquissa un sourire. J'espérai que je n'avais pas parlé à voix haute.

Le train fit son fameux ''tchou tchou'' avant de commencer à démarrer. Je voyais les mains s'agiter tout autour de moi, que ce soit dans le wagon ou sur le quai. Mais parmi toutes les personnes se trouvant sur le quai, je remarquai un jeune homme qui courait en direction du train

Il était en retard, il prendra le prochain train, je m'étais dit ça mais à mon plus grand étonnement, il courut jusqu'au train et il sauta à l'intérieur du wagon. Il déposa sa valise au-dessus de nos têtes et s'installa en face de la rousse, la dernière place libre du wagon.

- Encore en retard, fit remarquer le blond regardant toujours dehors.

- Ce n'est pas de ma faute. Le grille-pain ne faisait que cramer mes tartines et j'ai dû les faire griller au four, se défendit le retardataire, qui était l'opposé de son voisin, cheveux noirs, yeux bleus.

- Tu es désespérant.

Ses yeux aussi bleus que l'océan me fixèrent, je frissonnai. Les regards de tous les élèves de ce lycée étaient tous aussi intenses ? Parce que sinon je devrai garder mes yeux sur mes pieds pour éviter un malaise.

- Tu es nouvelle ? demanda-t-il.

- Euh... Oui, bégayai-je.

C'était la deuxième fois que je bégayais depuis que j'étais montée dans ce wagon. La rousse puis lui. Pourtant je ne bégayais jamais. Ces gens étaient tellement étranges.

- Bienvenue alors, moi c'est Tegan Morrigan, tu vas voir, je suis sûr que tu vas te plaire dans ce lycée, lança-t-il en me tendant la main avec un énorme sourire qui illuminait son si beau visage.

- Oh... Euh... Merci, moi c'est Alyssia... Alyssia Piétrowiak.

- C'est un bien dur nom, ne m'en veut pas si je te l'écorche durant les premières semaines, ria-t-il. Allez-vous deux, présentez-vous, ajouta-t-il à l'intention du blond et de la rousse.

- Armande Donrivan, enchantée, sourit-elle, ses dents étant d'un blanc éclatant.

- Aymeric Jelliwel, bienvenue, se présenta le blond, sans m'adresser un seul regard, les yeux toujours fixés vers l'extérieur.

J'aurai plus eu tendance à dire que le blond aurait été plus aimable que le retardataire, qui d'apparence, semblait plus sombre. Cette fois-ci, j'approuvai entièrement le proverbe qui disait ''Il ne faut jamais se fier aux apparences''.

- Alors Alyssia Piérotriac, parle-nous un peu de toi. D'où viens-tu ? Pourquoi viens-tu dans ce lycée ? Qu'aimes-tu faire dans la vie ?

- Piétrowiak, le corrigeai-je. Je viens d'un village en campagne, à une trentaine de minutes de la gare d'où nous sommes partis. J'ai choisi ce lycée parce que j'adore l'art, la photographie et la musique, en particulier le piano. C'est une sorte d'échappatoire pour moi, répondis-je à ses questions. J'ai aussi reçu une lettre me proposant d'intégrer le lycée alors j'ai accepté. Et vous ?

- Oh jolie petite vie. Moi, Tegan Morrigan, je descends d'une grande lignée de chevaliers connus. J'habite juste à côté de la gare, enfin habiter est un grand mot. Je reste la plupart de mon temps à l'école. Je suis rarement chez moi.

- T'habites à côté et pourtant tu arrives à être en retard, fit le blond, avec son éternel regard planté dehors. Moi je suis son cousin.

Il ne se présenta pas plus. Il était vraiment... Étrange, renfermé, sombre.

- Je descends aussi d'une grande lignée mais pas de chevaliers, confia la rousse. J'habite aussi dans les environs mais je passe la plupart de mon temps à l'école, comme Tegan.

- Vous n'allez pas rendre visite à votre famille ? demandai-je, regrettant immédiatement ma question.

- Nous n'avons plus de famille, dit le blond.

- Oh... Je... Je suis... Désolée... Je n'aurai pas dû..., m'excusai-je.

- Ne t'en fais pas, ça fait longtemps, nous nous sommes habitués à leurs absences, me rassura le retardataire.

♪♪♪♪♪

Le trajet dura quatre heures, sachant que nous étions partis à 13h, nous arrivions donc à 17h. Nous avions mangé dans la cafétéria que contenait le train. Pour passer le temps, nous jouions à des jeux de cartes ou au baccalauréat ou nous discutions juste, faisant connaissance.

Lorsque nous étions arrivés devant l'école, qui se trouvait d'ailleurs au milieu des bois, ce que je trouvais étrange puisque le train nous avait amené jusqu'à un quai se trouvant dans l'enceinte du bâtiment, les élèves se levèrent et récupérèrent leurs bagages avant de descendre.

Comme j'étais du côté fenêtre, je devais attendre qu'Armande sorte pour que je puisse moi aussi partir.

J'attendis patiemment que les élèves descendent du wagon avant de me lever pour tenter de prendre ma valise. Je tirai dessus lorsqu'elle tomba sur moi.

Je poussai un petit cri en fermant les yeux, attendant que le choc arrive, mais rien. Je ré-ouvris les yeux et je vis Aymeric, qui avait rattrapé ma valise de justesse avant de la reposer au sol. Il faisait une tête de plus que moi.

- Euh... Merci, bredouillai-je une nouvelle fois.

- Tu pourrais faire plus attention ou alors te muscler.

« Mais pour qui il se prend lui ?! » m'énervai-je intérieurement.

Alors que j'allais répliquer, monsieur J'énerve-Les-Gens tourna les talons et descendit du train. Je finis par faire de même. Une fois descendue, je suivis les élèves, habitués à venir ici, qui se dirigeaient jusqu'à l'intérieur du bâtiment.

Ils suivirent un petit chemin de gravier au milieu des arbres. J'étais passée devant une fontaine où une statue de femme dansait.

Une fois sortie des bois et arrivée en face du lycée, je m'arrêtai, la bouche grande ouverte. Bon Dieu c'est immense ! C'est beau aussi ! J'avançais doucement, tournant la tête de droite à gauche, en détaillant le décor.

Il y avait deux bâtiments d'architecture ancienne se trouvant l'un à côté de l'autre et relié par un chemin couvert. Ils étaient grands et blancs. Devant s'étendait un immense jardin où l'on pouvait circuler grâce aux petits chemins de graviers similaires à celui que j'avais pris pour arriver ici.

Il y avait plusieurs carrés d'herbe richement décorés de splendides assemblages de fleurs. Au milieu du jardin, il y avait un bassin et plusieurs statues étaient placées dans les parterres de fleurs.

Ceci n'était simplement que la base de l'endroit. On accédait à la forêt par des petits escaliers. Le lycée était en dessous de la forêt. En haut, il y avait des sortes de barrières en pierre dessinées et des tables et des chaises étaient disposées ici et là.

C'était magnifique. Je ne pensais pas que quelque chose d'aussi splendide puisse être créé. J'avais l'impression d'être dans un monde féerique parallèle.

Lorsque je franchis les portes du bâtiment de droite, là où tous les élèves rentraient, un homme de la quarantaine m'accueillit.

- Alyssia... Piétrowiak, c'est ça ? demanda l'homme.

- Oui c'est moi.

- Enchanté, je suis le directeur de cette école, Andrew Filésia. Tu peux m'appeler Andrew.

Le directeur avança sa main vers moi que je saisis.

- Enchantée de même.

- Bienvenue à Preston. Veux-tu que je te fasse visiter l'école maintenant ?

- Oui s'il vous plaît.

- Tu sais tu peux me tutoyer aussi.

- Vous... Quoi ? demandai-je incrédule.

- Me tutoyer. Ici, dans cette école, nous essayons de rapprocher un maximum les élèves et le personnel. Si jamais tu as un problème, tu sais que tu peux venir voir n'importe qui. Comme tu es en internat, tu restes en contact avec des adultes en permanence. Alors nous vous autorisons à nous tutoyer. Nous préférons instaurer un climat de confiance et de proximité avec les élèves.

- Oh... Bien.

Je n'étais pas habituée à tutoyer mes professeurs ou même le directeur. Ma mère m'avait toujours appris à vouvoyer les personnes plus âgées que moi.

- Si tu veux bien me suivre.

Je hochai la tête et le suivis, veillant à rester à quelques mètres de lui. Je pouvais le tutoyer, mais j'évitais d'être trop proche, je me sentais mal à l'aise autant par sa prestance que par la taille du bâtiment. Je me sentais ridiculement petite dans cet endroit.

Nous traversions de multiples couloirs, cette école était vraiment géante. Je regardais partout, le nez toujours en l'air. Je commençais à avoir la tête qui tournait à force de regarder partout, et peut-être un peu le vertige, dû à cette immense école.

Mon regard avait été attiré par un tableau où une jeune femme, brune aux cheveux bouclés et aux yeux verts pétillants de vie, était peint sur la toile. Elle paraissait grande, fine et élégante. Elle portait une longue robe bleue. Le tableau avait l'air d'avoir traversé plusieurs siècles jusqu'à aujourd'hui.

Alors que j'étais fascinée par cette femme qui dégageait un respect et un pouvoir immense, je fonçai dans quelque chose de dur.

- Zut, jurai-je.

Je relevai la tête et aperçus un garçon, que je n'avais pas vu dans le wagon, face à moi. Il était tellement grand qu'il me faisait penser à un mur.

Je le fixai sans rien dire. Grand, brun, musclé avec des yeux magnifiques. Ils étaient d'un gris clair tellement profond, tellement intense. Je me sentais réellement banale dans cette école où j'avais l'impression que tous les élèves possédaient un regard provoquant des frissons.

- Tu pourrais faire attention et t'excuser non ? cracha-t-il.

« C'était quoi leur problème aux gens d'ici ?! Ne savaient-ils pas être agréables ?! »

- Et toi, tu pourrais aussi faire attention et t'excuser non ? grognai-je en lui lançant un regard noir.

On se fusillait du regard, sans que personne ne bronche lorsque M. Filésia intervint.

- Carter, arrête d'importuner les nouveaux élèves veux-tu ?

Alors il s'appelait Carter.

Il détourna les yeux des miens et se retourna vers le directeur, les mains en l'air.

- Bien.

Il se tourna de nouveau vers moi, me fusilla une nouvelle fois du regard et passa son chemin.

- Désolé pour son comportement. Carter n'est pas très sociable.

- Oh ce n'est pas grave ne vous en... Ne t'en fais pas, me repris-je.

Il hocha la tête.

- Je disais que derrière cette porte il y a la bibliothèque, où tu pourras étudier tranquillement. Il y a de nombreux ouvrages qui pourront t'aider pour approfondir tes connaissances si besoin. Cette porte-ci est celle du réfectoire, le dîner sera servi à 19h. Le petit déjeuner à 7h30 et le déjeuner à 13h. Tu trouveras toutes les consignes dans une enveloppe sur le bureau de ta chambre. Je te prierai de les lire avec attention.

J'allais m'y plaire. Je le savais. Enfin... À part si toutes les personnes ressemblaient à Aymeric ou à Je-Fonce-Dans-Les-Gens. Espérons que ce ne soit pas le cas. Le directeur avança de quelques mètres et me montra une porte sur le mur à côté de la bibliothèque et en face du réfectoire.

- Ici, il y a le foyer. C'est ici qu'en général, les gens vont pour se laisser quelques moments de temps libres. Bien entendu, il n'y a ni console, ni télévision, ni aucuns autres objets électroniques. Si tu as lu le papier de la lettre, tu dois savoir que la technologie est interdite dans cet établissement.

Non je ne l'avais pas lu. J'avais tout de suite rempli le formulaire quand j'avais su que c'était une bonne école avec option art. Je hochai tout de même la tête pour ne pas montrer que je n'avais nullement jeter de coup d'œil à la lettre.

Le directeur marcha jusqu'au bout du couloir. En face se trouvait un immense escalier de marbre. Un couloir était cependant présent devant cet escalier.

- À gauche, ce sont les chambres des professeurs. Il t'ait interdit d'y aller sauf s'il y a une urgence. Et à droite c'est le couloir qui mène aux les salles de cours qui se trouvent dans l'autre bâtiment. En haut, ce sont les étages où se trouvent les chambres des élèves. Le premier étage est pour les filles et le second pour les garçons. Suis moi.

Il monta les marches en portant ma valise. Je le suivis. Il me conduisit dans un couloir avec de multiples portes. Il s'arrêta devant la chambre 13.

- Voilà ta chambre. Installe-toi et sois à l'heure pour le dîner. Nous n'aimons pas les retardataires.

J'avais tendance à être superstitieuse alors me retrouver dans une chambre comportant le numéro 13 ne me rassurait aucunement. J'essayai de me convaincre que tout allait bien se passer cette année.

Ce n'était qu'un chiffre après tout. Et un simple chiffre n'allait pas déterminer mon année scolaire. J'allais réussir mon année scolaire, comme à mon habitude, et par la suite, j'intégrerai une grande école. Voilà quels étaient mes projets. Ce n'était pas un vulgaire chiffre qui allait m'arrêter.

- À tout à l'heure alors.

Il s'éloigna, me laissant seule devant la porte de ma chambre. Je baissai la poignée et j'entrai dans ce qui me servira de petit coin intime jusqu'à ce que je rentre chez moi. La chambre n'était pas très grande. Il y avait la place seulement pour un lit simple, un bureau, un fauteuil et une armoire.

Je vis la fameuse enveloppe, contenant les consignes, posée sur le bureau. J'ouvris rapidement l'armoire et vis qu'elle était remplie. Des shorts, des pulls, des jupes, des joggings.

Tous à l'effigie de l'école. Il y avait l'armoirie dessus qui représentait une lyre, probablement car nous étions dans un lycée d'art et que la lyre représentait la musique. La lyre était l'attribut qui était relié à Apollon, Dieu de la musique, mais aussi du Soleil et de la médecine.

J'avais de nombreuses connaissances en mythologie grecque car c'était un sujet qui m'avait toujours intéressé. Quant aux vêtements, ils étaient de la couleur du lycée, soit bleu marine et blanc.

Je décidai de me reposer un peu sur le lit avant d'aller dîner. Je m'étais réveillée tôt ce matin pour ne pas être en retard pour le départ du train. J'étais donc à présent fatiguée. Je fermai les yeux et je me laissai emporter dans les bras de Morphée.

__________________________

Voici le premier chapitre de ma toute première histoire ! J'espère qu'elle vous plaira !

En tout cas, merci à vous d'avoir décidé de lire cette histoire, en espérant qu'elle ne vous décevra pas.

N'hésitez pas à voter et à donner votre avis afin que je puisse m'améliorer.

Bonheur à tous !

Maloann



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