La St-Valentin et moi (Michael)

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Aujourd'hui on est le 14 février, ce qui veut dire que c'est la Saint-Valentin. Et je suis certainement une des seules femmes au monde à détester cette fête débile. Pourquoi je déteste la St-Valentin ? C'est assez compliqué enfaite. Premièrement, on ne peut pas faire un pas dans la rue sans voir un couple qui se font des lavages de bouche. Parce que oui, à ce niveau la je n'appelle plus ça s'embrasser. Et ensuite je suis célibataire.

Et donc évidemment il a fallut que je choisisse ce soir de fête pour aller prendre l'air. Je décide d'aller m'assoir sur un banc du parc. En pleine journée il y a des enfants qui joue et qui cri par tout. Le soir on entend seulement les oiseau. C'est calme et reposant.
Je serais bien rester ici quelques heure de plus mais mon estomac en a décidé autrement. Et c'est comme ça que je me suis retrouvé dans au Starbucks, qui, pour mon plus grand malheur, a décidé de fêter la fête de amoureux.
Je commande un cappuccino et des cookies. Puis je m'assois a une table au milieu de tous ces couples qui jonglent entre boire et manger et les lèvres de leur compagnon.

Ça fait une bonne vingtaine de minutes que je suis assis sur cette chaise en sirotant ma boisson et en lisant un livre.
J'étais tranquille jusqu'à temps qu'un gars -très beau- viens me déranger.
- Que fait une belle demoiselle toute seule un jour comme celui-ci ?
- Que fait un lourd assis à ma table ?
- C'est qu'elle mordrait presque.
- Et vous êtes ?
- Michael, enchanté.
Il me tend sa main que évidemment je ne sers pas.
- Et toi ? Je peux savoir ton nom ?
- On se tutoie maintenant ?
- Je suis un peu près sûr qu'on a le même âge. Alors ?
- [Y/N].
- Et qu'est-ce que tu fait toute seule pour cette merveilleuse fête ?
- Je lis un livre, ce que tu ne sais probablement pas faire.
- T'es toujours aussi froide ou c'est la St-Valentin qui te rends comme ça ?
- Je déteste la St-Valentin.
- Pourquoi ? C'est mignon pourtant.
- Ce n'est pas mignon, c'est une fête commerciale, qui existe seulement pour remplir les caisses.
- Je vois. Que dirais tu d'aller t'es promener avec moi dehors ?
- Je te connais pas.
- Alors apprend a me connaître. Je t'offre une glace ?
- J'aime pas les glaces.
- Et qu'est-ce que t'aime Madame Je-n'aime-rien ?
- Sûrement pas traîner dans les rues avec un inconnu.
- S'il te plaît ?
J'ai finalement accepter. Pourquoi ? Je ne sais pas.

Et je me suis donc retrouver à 22h dans la rue avec un inconnu a parler de tout et de rien.

Il est marrant en fin de compte. Michael s'arrête d'un coup de marcher et me dit :
- Attends moi ici, je reviens.
Je nais pas eu le temps de répondre qu'il est déjà partie je ne sais ou.
Je le voit revenir quelque minutes plu tard, il a une main dans son dos.
- [ Y/N], je sais qu'on ne ce connaît pas plus que ça mais tu me plait vraiment. Et c'est quelque heures que j'ai passer à parler avec toi mon donner envie de ne plus jamais te quitter. Commença t'il en sortant une rose rouge de son dos. Me ferais tu l'honneur de me laisser te découvrir un peu plus et de t'aimer comme tu le mérites ?
- J'accepte a une seule condition. Répondus je en prenant la rose.
- Laquelle ? un fronce les sourcils.
- Embrasse moi.
Il sourit et pose tendrement ces lèvres sur les miennes.

Je déteste toujours la St-Valentin. Mais maintenant, le 14 février à une signification.

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