(Média : Nolan !!!)
Chapitre 27
Je plie mes genoux, croise mes bras dessus et y pose enfin mon front. Je ferme les yeux avec force, espérant intérieurement que tout ce que je ressens disparaisse dans la seconde mais comme à chaque fois que je le fais depuis trois jours, cela ne fonctionne pas le moins du monde. Non, à la place, je sens les larmes commencer à se former dans mes yeux.
Je grogne face à ma faiblesse. Je me demandais à quel moment, il allait me broyer le cœur. Parce que ça arrive toujours, non ? Ce moment où la personne à qui on a tout donné se lasse et nous quitte, nous brise, nous laisse plus bas que terre. Ce moment arrive toujours. Et il est arrivé pour moi mais plus rapidement que je ne le pensais tout de même.
Je commençais à lui faire confiance, à me sentir bien, à vouloir aller plus loin avec lui, à baisser ma garde, à ne plus me poser de questions sur cette attirance et de l'assumer – en tout cas dans ma tête, à défaut de l'assumer autrement pour le moment...
Mais comme je m'y attendais, ça s'est terminé. Il a joué au con, j'ai joué encore plus au con et on a perdu tous les deux. En tout cas, j'espère ne pas être le seul à avoir tout perdu dans cette histoire. J'espère qu'il n'est pas retourné voir son DJ après notre dispute et qu'il ne l'a pas pris dans ses bras en lui murmurant un gentil et mielleux « Je t'aime ». J'espère qu'il a lui aussi le cœur brisé. Parce qu'ainsi, je n'ai pas l'impression que cette histoire a été fausse.
Sans savoir pourquoi, je me laisse tomber sur le côté. En position latérale de sécurité. Parce que là, je crois que je suis sur le point de me perdre... Physiquement mais surtout mentalement.
J'ai dû rester ainsi un long moment et j'ai dû m'endormir parce que je suis réveillé par des coups donnés à ma porte mais comme les trois derniers jours, je ne réponds pas et surtout je ne vais pas ouvrir. Dès que London venait me voir pour me demander comment j'allais, je lui répondais toujours la même chose et ça a fonctionné alors je ne réfléchis pas longtemps quand de nouveaux coups résonnent...
« Je suis encore malade, peux pas sortir de mon lit. »
« A d'autres, Louis Paul Dashwood. »
Ce n'est pas London qui est derrière ma porte cette fois mais Nolan. Je soupire. Je n'aime pas mentir à mon meilleur ami. Cependant, je n'ai pas réellement le choix parce que je ne veux pas lui dire ce qu'il y a eu entre George et moi ou en tout cas, ce que j'ai cru qu'il y avait.
« Bon, on va se mettre d'accord. Je compte jusqu'à cinq. Si tu m'as pas ouvert avant, je défonce ta porte. »
Je ne lui réponds pas parce qu'il n'y a rien à répondre. Je ne veux pas le voir. Je ne veux voir personne. Je veux juste rester dans mon lit. Comme un petit con seul et malheureux.
« Un ! »
Nolan n'est pas du genre à défoncer une porte. Il est trop gentil et pacifique pour faire ça.
« Deux ! »
Nolan ne ferait jamais un truc aussi insensé. Il n'est pas fou. Contrairement à moi. Il a la tête sur les épaules, il n'est pas violent.
« Trois ! »
En fait, il est totalement capable de faire ça parce qu'il est complètement taré. S'il s'inquiète pour moi, il peut être un vrai malade. J'ouvre les yeux en grand, en essayant de réfléchir sur la marche à suivre à présent. Mais tout ce que je trouve ne me plaît pas...
« Quatre ! »
Je me lève et la tête me tourne un peu mais je marche sans y faire attention jusqu'à la porte.
« Quatre et demi ! »
La main dans les airs à quelques centimètres de la poignée, j'hésite encore un instant, pas sûr de pouvoir avoir une conversation avec Nolan à cet instant.
« Quatre trois quarts ! »
Et finalement, je tourne la clé dans la serrure. Je rejoins mon lit et me plonge sous les draps. Je remonte la couette jusqu'à mon cou et fixe l'entrée de ma chambre. J'entends tout d'abord la porte s'ouvrir puis se refermer et quand Nolan apparaît dans mon champ de vision, il me lance :
« J'ai failli t'attendre... »
Un coup au cœur. Un simple mais violent coup. Ces mots sont les mêmes que ceux que George n'avait dit le soir où nous nous étions promenés dans Central Park, main dans la main. Les mêmes et ça me fait mal de me dire qu'à cette époque, il me mentait peut-être déjà.
« Qu'est-ce que tu fous, Louis ? »
Je fais semblant de tousser et lève les yeux vers mon meilleur ami. Je pense que le fait qu'ils soient rouges d'avoir pleuré peut jouer à mon avantage.
« Je sais que tu n'es pas malade alors maintenant, tu sors de ce lit et tu me racontes. »
« J'suis malade. » continué-je de lui mentir. « La grippe ou un gros rhume, un truc dans le genre, tu vois. »
« Non, je vois pas parce que je te connais depuis dix ans, mec. Je t'ai déjà vu malade. »
Il s'assoit sur le bord de mon lit et poursuit son explication voyant que je n'ai pas du tout l'intention d'intervenir :
« Si tu étais enrhumé, il y aurait plus de mouchoirs par terre que de mouches derrière le cul d'une vache. »
Je lève les yeux au ciel face à la comparaison plus que douteuse de mon meilleur ami.
« Et surtout, tu m'aurais appelé, je ne sais combien de fois, pour que j'aille t'acheter à la pharmacie des pastilles pour la gorge, du spray pour ton nez, trois types d'antidouleurs différents et du sirop. »
Je suis vaincu. Je me redresse en soupirant. Ça me gonfle sincèrement que Nolan me connaisse aussi bien mais surtout qu'il ait ce petit sourire en coin, fier de lui.
« Sans parler du fait que tu es malade tous les trois ans, en moyenne... Tu n'es pas dans ton année. »
« Va te faire foutre. » marmonné-je.
« Moi aussi je t'aime. » se moque-t-il.
Il pose rapidement ses chaussures et s'installe un peu mieux, le dos appuyé contre le mur qui est au pied de mon lit. Il m'observe un instant et perd aussitôt son sourire.
« C'est si grave que ça ? » me demande-t-il, doucement.
Je baisse le regard et me prends la tête entre les mains mais cette fois, aucune larme n'apparaît et j'en suis presque soulagé.
« Qu'est-ce qu'il t'a fait ? »
La panique s'empare de moi et je braque mes yeux bleus dans ceux de Nolan qui a croisé les bras devant son torse.
« Qu'est-ce que... Tu... Je... De qui tu parles ? » Bredouillé-je.
« De George. »
Je me racle la gorge et je sens tous les litres de sang de mon corps affluer dans mes joues. George ? Mais comment est-il au courant ? Et merde, je n'avais pas pensé à ça avant mais ils sont en cours ensemble, ils sont même amis alors il a pu lui parler, tout lui raconter, tout balancer sans la moindre pitié...
« Qu'est-ce qui t'a dit ? »
« Rien... Mais lui non plus n'était pas en cours vendredi. »
George n'était pas en cours vendredi ? Il était tellement mal après ce qui s'est passé entre nous qu'il a séché ? Non, impossible. Il a dû sécher pour pouvoir rester avec cet abruti de DJ et s'envoyer en l'air toute la journée. Je ferme les yeux et déglutis difficilement. Penser à ça ne m'aide en rien, il faut que j'arrête.
« Alors qu'est-ce qu'il t'a fait ? » repose sa question Nolan.
Mes épaules s'affaissent. Je ne sais pas comment mais le blond qui est en face de moi sait – au moins en partie – pour George et moi et je ne peux plus lui mentir. Je me passe une main dans les cheveux et me renseigne avant de raconter quoique ce soit :
« Comment tu sais ? »
« Louis ! » souffle-t-il, un peu amusé, un sourire aux lèvres. « Tu es mon meilleur pote depuis tellement longtemps que je peux lire en toi comme dans un livre ouvert. »
« C'est-à-dire ? »
Sa réponse ne me satisfait pas. Je veux savoir ce qu'il a vu, entendu... Où j'ai fait une erreur.
« C'est-à-dire que... Ça ne va pas te plaire... »
« Là, comme tu me vois, je suis déjà au fond du trou alors entre nous, ça ne peut pas aller plus mal. » affirmé-je, sûr de moi.
« Ton regard. »
Je fronce les sourcils, ne comprenant pas ce qu'il veut me dire. Mon regard ?
« C'est ta façon de le regarder qui m'a mis la puce à l'oreille. Après j'ai mis les pièces du puzzle dans le bon sens... »
« Qu'est-ce qu'elle avait ma façon de le regarder ? »
Je m'énerve et ça ne sert à rien parce que Nolan n'y est pour rien, je m'en rends bien compte mais c'est plus fort que moi. Ma faiblesse me fait honte...
« Je sais pas... Tu... Tu ne le regardais pas comme quand tu regardes London ou moi, ni même June. Tu... Tu le dévorais du regard. »
Ok, Nolan avait encore une fois, raison. Ça ne me plaît pas du tout ce qu'il me dit. Je souffle à fond et tente de continuer.
« Quelles pièces du puzzle ? »
« Tu veux vraiment faire ça ? Tu veux pas plutôt m'expliquer... »
« Oui je le veux. » le coupé-je. « Je... Je t'expliquerai après. Là, j'en suis incapable. »
« Ok, comme tu veux... Alors je crois que ça a commencé à la représentation de George dans le club de jazz. Tu l'applaudissais comme si ta vie en dépendait. Puis à votre match, celui où George est venu. Tu n'as pas calculé une seule seconde cette pauvre June qui était pourtant littéralement pendu à ton cou, tu n'avais d'yeux que pour George. »
J'avale ma salive en repensant à cet après-midi. Celui où George m'a... Félicité pour ma victoire. Où je lui ai rendu sa gentillesse. Ici même. Je jette un coup d'œil à l'emplacement vide devant mon armoire mais je ferme brusquement les yeux, ces souvenirs me font mal.
« Mais je n'étais sûr de rien... Je veux dire... Être attiré par un mec, ce n'était pas dans tes habitudes alors je me suis dit que c'était moi qui me faisait des films. Puis il y a eu vos réactions à je ne sais plus quelle soirée. Vos messages que vous vous envoyiez constamment. Mais à Bristol, c'était clair comme de l'eau de roche, sérieusement. Je ne sais pas comment London n'a rien pu voir. Vous étiez si... Amou... »
« Ne dis pas ça ! » je m'écrie, au bord de la crise cardiaque. « Ne le dis pas, s'il te plaît. » je répète plus doucement.
« Tu m'as demandé, Louis. Je te dis la vérité. On voyait que c'était les débuts, que c'était un peu bancal mais... Putain, tu lui as parlé de Faith. »
« Qu'est-ce que F vient foutre ici ? »
« Tu parles seulement de ta famille aux personnes qui comptent pour toi. Et tu lui as parlé de Faith. Faith ! Ta moitié ! »
Alors c'est pour ça que Nolan me regardait bizarrement pendant notre déjeuner. Pour ça qu'il a changé de sujet à ce moment-là.
« Ce n'est pas ma moitié... »
« Mais tu ne renies pas le fait que George est une personne qui compte pour toi. » me fait-il remarquer.
Je hausse les épaules. Je ne sais plus quoi penser.
« J'ai... George et moi, on... On était plus ou moins en couple. Je crois... »
« Tu crois ? » s'étonne-t-il en levant un sourcil.
« C'était compliqué. Comme tu l'as dit... Être attiré par un mec n'était pas vraiment dans mes habitudes alors... C'était compliqué pour moi. Mais... J'ai fini par l'inviter pour un rendez-vous. »
« Et il a dit non ? »
« Pire... Il a dit oui. »
« Je comprends pas là. Il va me falloir plus d'explications. »
« Il a dit oui. On devait sortir vendredi soir tous les deux. Alors j'ai... J'ai pris la confiance comme on dit. Jeudi, j'ai voulu lui faire une surprise en le rejoignant chez lui après mes cours. Quand je suis arrivé, c'est DJ qui m'a ouvert. Il était... A moitié nu, avec un suçon dans le cou. Avec moi, c'était des morsures mais un suçon... Ce n'est pas si loin d'une putain de morsure, non ? »
« Une morsure ? C'est quoi cette histoire de morsure ? »
Je fixe Nolan et me rends compte de ce que je viens de dire. Je me gratte la tempe, mal à l'aise mais c'est Nolan en face de moi. Il était déjà plus ou moins au courant pour George et moi et pourtant, il est toujours là pour moi. Il ne me juge pas. Jamais et ne le fera jamais. C'est Nolan !
« George me mordait quand il avait un... »
« Ok, j'ai saisi ! » m'arrête-t-il, presque horrifié, en levant une main entre nous. « Connaître les habitudes sexuelles de George, c'est trop pour moi. »
Je secoue la tête de haut en bas, le comprenant parfaitement. A sa place, je ne pourrais pas non plus.
« Alors DJ avait... Une morsure ? »
« Non, un suçon mais... Et puis... Il n'aurait pas pu être plus clair sur ce qu'ils venaient de faire. »
« Oh non ! » S'exclame Nolan. « Quels enfoirés ! »
Je souris légèrement. Nolan est vraiment le meilleur ami qu'on puisse rêver au monde. J'en ai carrément les larmes aux yeux. Je suis devenu vraiment trop guimauve à cause de George. Je me passe une main sur le menton pour essayer de me reprendre.
« Tu ne les as pas frappé au moins ? » s'inquiète-t-il brusquement.
« Non, j'ai juste poussé DJ dans une commode. Et je n'ai pas vu George. »
« Quoi ? »
« Je n'ai pas vu... »
« J'ai compris ça mais... Pourquoi tu ne l'as pas vu ? »
Je hausse les épaules. Pourquoi je ne l'ai pas vu ? Euh, je ne sais pas, moi, peut-être parce qu'il venait de coucher avec DJ et que je ne voulais pas en avoir la preuve ?
« Je ne pouvais pas... »
« Il faut que tu aies une explication. Il faut que tu lui écrives. C'est peut-être qu'un malentendu. »
« Je... » Je commence avant de baisser les yeux sur mes mains.
« Putain ! Qu'est-ce que tu as fait ? »
« Rien... Enfin... Après ça, je suis allé dans un bar et... Je me suis bourré la gueule et j'ai couché avec June. »
Nolan bascule la tête en arrière, désespéré par ce que j'ai fait. Il n'est pas le seul. Moi aussi. Chaque seconde depuis trois jours, je m'en veux et je regrette d'être retombé dans mes vieilles habitudes mais... Je souffrais, j'avais trop bu, je ne pouvais pas réfléchir correctement.
« Je ne sais pas comment il l'a su mais il s'est pointé dans la nuit. »
« June était toujours là ? »
« Ouais... On s'est engueulé, j'ai dit... Je lui ai dit des horreurs. »
« Mais pourquoi, Louis ? Tu étais bien avec lui, ça se voyait. Tu étais amou... »
Je le foudroie du regard. Je ne veux pas qu'il le dise, je le refuse.
« C'est bien là le problème, Nole. Je ressentais... Je ressens trop de trucs pour lui. Je... Peux pas. »
« George n'est pas ton père. Il y a des gens qui restent, Louis. Regarde, je suis toujours là malgré tout ce qui a pu se passer dans nos vies. »
« Je t'ai suivi aux Etats-Unis pour que tu ne m'abandonnes pas. » je lui rappelle.
« Parce que tu crois vraiment que j'aurais postulé ici si je n'avais pas été sûr que tu me suivrais ? Je te connais par cœur et je sais que tu as peur mais George est... »
« Il a couché avec DJ ! »
« Il te l'a avoué ? »
« Non mais... »
« Mais rien. A sa place, si je t'avais surpris avec June, je me serai fait un putain de plaisir de te foutre dans la gueule que je t'avais trompé en premier. Crois-moi ! »
Il ricane avant de se rapprocher de moi. C'est vrai que les histoires de tromperie, ça le connait avec ma sœur.
« Puis sérieusement, même s'il a couché avec lui, tu as couché avec June ! Vous êtes quittes, les mecs ! Tu devrais lui envoyer un message pour que vous puissiez en parler. Calmement. » Me conseille-t-il.
Aussitôt, il se redresse, tend le bras, attrape mon portable et me le donne. J'hésite.
« Si toi, tu te mets dans un tel état pour lui, c'est qu'il y a quelque chose entre vous. Quelque chose de vrai. Ça ne va peut-être pas durer toute la vie mais si tu ne prends pas le risque, tu ne sauras jamais. Et je serai là. Regarde-moi, après ma rupture, j'ai souffert mais j'ai rebondi grâce à toi et aujourd'hui, je suis heureux avec Mary. Tu peux pas te protéger de tes propres sentiments indéfiniment. »
Si je peux. Comme je peux rester dans mon lit éternellement. Je peux l'oublier et recommencer à coucher à droite ou à gauche. Certes, je ne serais pas heureux mais je ne serais pas malheureux. C'est suffisant pour moi. Vraiment ? Je fronce les sourcils, je ne suis même plus sûr que ce que je me raconte soit vrai.
« Ecris-lui pour que vous vous voyiez pour parler. »
J'ouvre l'application destinée aux messages et clique sur le fil de conversation au nom de George. Je prends sur moi pour ne pas regarder tous les messages qu'il m'a envoyés jeudi soir quand j'avais éteint mon mobile. Je ne peux cependant pas empêcher mon regard de lire le tout dernier avant de lui écrire :
Avant-hier 02 : 26
Putain, là, c'est trop. C'est juste invivable
de ne pas avoir de tes nouvelles. Je
débarque ds 10 min.
Aujourd'hui 15 : 14
Je suis désolé. Je pense qu'il faudrait
qu'on parle tous les deux. Tu serais ok ?
Je mets mon iPhone en veille et le lance sur mon oreiller. Je déglutis bruyamment avant de soupirer. J'ai fait un énorme pas vers George. J'ai dépassé mes peurs et c'est super dur. J'espère juste qu'il le verra et qu'il acceptera qu'on parle mais bizarrement, je suis persuadé que c'est complètement fini. Je l'ai vu dans son regard.
« Alors toi et George, hein ? » me dit-il, un petit sourire aux lèvres.
Je grimace, ne sachant pas quoi répondre à Nolan.
« J'avoue que sur ce coup, tu m'as surpris ! Je ne m'y attendais pas. »
« On est deux à l'être alors. » lui avoué-je.
« Ça veut dire que... Tu es... »
« Je suis toujours hétéro, Nole. »
« Mais... »
« Avec George, c'est... Tellement plus qu'une histoire de genre.Tellement différent de tout ce que j'ai pu vivre. Tellement plus puissant que tout ce qu'on a pu entendre partout. C'est hors du temps et de l'espace. C'est George. Il est... L'idéal ! »
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Juste un petit coucou de Bruxelles où j'ai pris (pendant la seule belle journée) un coup de soleil sur le nez et les joues... je suis magnifique 😂
Vous vous en doutez sûrement ou pas du tout mais j'ai du mal à écrire dans cette ville. J'ai perdu mes repères et ça m'énerve vraiment. Je perds du terrain... Enfin ne vous inquiétez pas ! Vous aurez la suite mardi comme promis !!
Pour les facts dont je vous ai déjà parlé, je compte les faire... dans quelques temps ! Mais je me suis dit qu'une partie questions-réponses serait sympa (idée que j'avais vue chez phoenixstories j'espère que tu ne m'en voudras ps) ! Alors si vous avez des questions pour moi ou les personnages, peu importe lesquelles, nous y répondrons avec grand plaisir.
J'ai vu avec plaisir qu'il y avait de nouvelles lectrices qui votent et/ou commentent. Je les remercie et j'espère que l'histoire de George et Louis leur plaira.
Un grand merci à tous 💜 A mardi 😉