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Door Tommo19911224

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Dans de nombreuses histoires, lui, il est le méchant et mauvais garçon qui s'amuse pleinement et, elle, elle... Meer

Prologue.
One.
Two.
Three.
Four.
Five.
Six.
Seven.
Eight.
Nine.
Ten
Eleven.
Twelve.
Thirteen
Fourteen
Fifteen
Journal de Niall
Sixteen.
Seventeen
Eighteen
Nineteen
Twenty
Twenty-one
Twenty-two
Twenty-three
Twenty-four
Twenty-five
Twenty-six
Twenty-seven
Journal de Niall
Twenty-eight
Twenty-nine
Thirty
Thirty one
Thirty three
Thirty four
Journal de Niall
Thirty five
Thirty six
Thirty seven
Thirty eight
Thirty nine
Fourty
Fourty one
Fourty two
Fourty three
Fourty four
Fourty five
Fourty six
Fourty seven
Fourty eight
Épilogue
Remerciements + Questions
Mise au clair
FAQ
Enfin de retour, nouvelle fiction

Thirty two

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Door Tommo19911224

« A. Camus a dit : « En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout », c'est faux, si nous nous trompons de chemin, nous pouvons tout perdre, une volonté, un sentiment ou même une personne. Justement, j'ai navigué sur le mauvais chemin et tout ne vas plus dans ma vie. J'ai perdu trois choses, ma volonté d'arriver, Avery et l'amour qu'elle me portait. » - Niall.



Peu importe ce que l'on veut, j'ai appris, très jeune, qu'on ne pouvait pas avoir tout ce que l'on veut, que ce soit un sentiment, un objet, une personne ou une fierté. Le monde est loin d'être parfait, mais je crois que je l'ai réellement compris hier, lorsqu'il m'a jeté tout ces mots dans la figure avant de partir comme un voleur. Je crois que c'est hier que j'ai compris que le monde est imprévisible, que tout peut se produire à n'importe quel moment. C'est hier que j'ai su la quantité de larmes que je suis capable de verser avant qu'il n'y est plus aucune larme dans mon corps, enfin non. Je ne sais pas encore le maximum, car je souffre encore, mon cœur et mes yeux pleurent encore depuis qu'il est parti. Je suis emmitouflé encore dans mes couvertures depuis près de vingt-quatre heures. Vingt-quatre heure de pleurs, de souffrance, d'abandon. Vingt-quatre heures depuis que j'ai l'impression qu'il est parti comme un voleur, emportant mon cœur avec lui. Ma chambre est plongée dans le noir, habituellement j'allume toujours ma guirlande de lumières lorsqu'il commence à faire noir, mais présentement, je ne veux pas voir mon état, ni celui de ma chambre. Personne n'est venu me voir depuis ce temps, comme s'il n'avait jamais remarqué que je n'étais plus là. La seule personne qui a l'air de s'inquiéter pour moi est Lucky, car il se colle contre moi et il me lèche parfois la joue. Je n'ai plus ouvert mon téléphone depuis hier, j'ai trop peur de réaliser, pour de bon, qu'il pensait vraiment ce qu'il m'a dit, et ça, je le saurai si il ne m'a pas encore envoyé de message. J'entends mon téléphone sonner par moment, mais je ne crois pas que c'est lui, il avait bien trop de haine dans sa voix et dans ses yeux pour qu'il puisse encore vouloir me reparler un jour.

Je sursaute lorsque j'entends des coups contre la porte. Un léger filet de lumiere s'incruste dans la chambre, brisant la bulle que je me suis construis pendant ces heures. J'ignore la personne qui vient seulement d'entrer et les larmes ne cessent pas de dévaler sur mes joues. Un poids se fait ressentir à mes côtés, sur mon lit, et je reconnais l'odeur de ma grand-mère, qui devait sortir de l'hôpital hier soir, si je ne me trompe pas. Je me tourne vers elle et la prends dans mes bras en sanglotant, c'est plus fort que moi, mon cœur à trop mal, il souffre trop. Elle caresse doucement mon dos pour essayer de me réconforter.

Qu'est-ce qu'il se passe, ma belle?

J'essaye d'arrêter de sangloter pour pouvoir formuler une phrase concrète. Peu à peu, j'y arrive et je lui explique tout ce qu'il m'a dit.

Niall c'est le blond qui était venu me voir à l'hôpital avec toi? Elle me demande et comme pour réponse, je hoche tout simplement la tête. Ne crois pas ce qu'il t'a dit, c'était sur le coup de la colère. J'ai vu comment il te regardait, c'est impossible qu'il pense ça de toi, de votre relation.

Je lui souris légèrement, même si je ne crois aucun mot de ce qu'elle me dit.

Arrêtez, je n'ai pas faim, je m'exclame.

Avery, lève tes fesses de ton lit, prépare-toi et on sort tous ensemble, me dit Lucas en sortant de la chambre, accompagné de Kaitlyn, Elena, Dylan et Ashley.

Je soupire, j'ai l'impression qu'ils ne comprennent pas ce que c'est de se faire repousser par la personne qu'on aime. Trois jours; c'est le nombre de jours qui se sont écoulés depuis que ma grand-mère est venue me voir. Nous sommes le 28 décembre et rien avance dans ma vie. Une partie de mon Noël a été gâché, la première partie était superbe, tout allait bien avec Niall, mais ensuite, tout a chuté. J'ai donc passé la deuxième partie de ma soirée enfermée dans ma chambre, à m'insulter mentalement et à vouloir découvrir le sentiment de s'ouvrir les veines. Les gens disent tous que la mutilation ça fait du « bien », car notre douleur intérieur se transforme en une douleur physique. Je me souviens, j'avais la lame entre mes doigts, je tremblais.

" Pourquoi vivre alors que tout le monde me voit comme une sale pute qui ne sait rien faire de sa minable petite vie? J'ai mal, tellement mal. Le gars qui m'a donné de l'amour ce dernier mois ne veut plus de moi, il me voit comme une salope, une fille qui veut se faire baiser par tout ce qui bouge. Qu'est-ce que j'ai fait pour que les gens croient ça de moi? J'ai eu qu'un seul copain, je n'ai jamais couché avec un seul garçon, je ne m'habille pas avec des vêtements qui sont trop courts et trop serrés pour mon corps, j'ai embrassé que deux garçons, Thomas et Niall. Je n'ai jamais rien fait de tout cela, alors pourquoi me voir comme ça? Je suis épuisée de la douleur que j'ai, la douleur qui me transperce le corps comme si c'était un poignard.
Je veux le faire, je veux faire comme Niall. C'est ce qu'il fait, alors je vais le faire. Je vais savoir ce qu'il ressent lorsqu'il le fait, à quel point que ça fait mal. Les larmes brouillent ma vue et Jai de la misère à respirer à un tel point que je sanglote. Je suis lovée contre le mur et Lucky est assis sur mon lit, regardant ce que je fais. Je ne sais pas par où commencer, un endroit où que personne ne pourra voir; mes cuisses. Je mords ma lèvre pour essayer de diminuer mes sanglots, mais rien ne marche. Je rapproche peu à peu la lame de ma cuisse et je remonte légèrement le regard vers mon bureau, où trône une photo de Niall et moi, qu'on a prise il y a un mois. Je prends le cadre entre mes mains et le jette contre le mur. Lucky sursaute et couine légèrement en s'approchant doucement de moi, craintif. J'ai froid, ma fenêtre est ouverte, car Lucky avait chaud. Il neige légèrement sur mon corps et je suis qu'en sous-vêtements, pour avoir plus d'endroits où pouvoir me blesser. Lucky arrive à mes côtés et je pleure en le prenant dans mes bras. Il pleure aussi dans mes bras et je termine par l'éloigner de moi. Je n'ai aucune idée d'où sont mes parents et mon frère, mais ils ont l'air de se foutre de moi, comme tout le monde. Mes mains tremblent et j'ai de la misère à rapprocher la lame de ma peau, comme si mon corps ne voulait pas le faire, alors que, psychologiquement, si. "

Je frôle légèrement mes cuisses de mes doigts, sur la seule cicatrice que j'ai été capable de me faire.

" J'ai réussi. La lame est appuyée contre ma peau. Il me reste plus qu'à appuyer et je vais réussir pour de bon. Je vais réussir à me faire ce que je mérite vraiment.

Je me bats contre moi-même pour ne pas abandonné. Je ne veux pas être égoïste. Je dois souffrir et c'est le seul moyen qui me parvient en tête. Je dois pleurer de douleur, je dois avoir mal, souffrir et arrêter d'être égoïste. Je pense à la tentative de suicide que Niall à fait par ma faute, plutôt « aux tentatives de suicide ». Je pense à tout ce qu'il a dû vivre par ma faute. Je sanglote encore plus fort, du sang coule sur mes doigts. J'ai mal. C'est faux. Ça me soulage pas la douleur morale en douleur physique. Non, ça me fait juste souffrir physiquement et encore plus mentalement. Pourtant, je continue de tracer cette ligne rouge.
Je dois souffrir.
Je dois avoir mal.
Je dois m'en vouloir de vivre
Je dois continuer. "

Je ne veux pas sortir de chez moi. Je ne veux pas affronter l'extérieur. Je veux juste rester ici, à fixer la tâche de sang qui est sur le sol, tâche que je ne vois pas dans le noir, mais que j'ai appris à connaître la forme à force de rester assise dans ce liquide rouge lorsque cette scène est arrivée. J'ai l'impression que, depuis que j'ai fait ça, Lucky m'en veut. Il ne m'approche plus et reste éloigné, le plus possible, de moi que possible. Je me lève doucement de mon lit, mes jambes tremblent. Je me lève que pour aller aux toilettes, nourrir Lucky et le faire sortir dehors. Je prends rapidement des vêtements dans mon armoire et pars dans la salle de bain. J'ouvre la lumière de la salle de bain, barre la porte derrière-moi et me déshabille. J'ajuste l'eau de la douche et lorsque je tourne ma tête vers le miroir, je sursaute. Mes yeux sont rouges, j'ai d'énormes cernes, mes joues sont rouges, j'ai du sang séché le long de mes jambes, ainsi que sur mes mains. À cette vue, ma lèvre se met à trembler et les larmes de mettent à couler le long de mes joues. Je cours vers l'interrupteur en échappant un sanglot et ferme rapidement la lumière et allume la ventilation, pour cacher les sons de mes sanglots. Je comprends désormais ce que vit Niall, la douleur qu'il peut ressentir en devant prendre sa douche dans le noir complet. Heureusement, il fait nuit, alors aucune luminosité de traverse la fenêtre. J'entre doucement dans la douche et ma cuisse me brûle, mais rien ne peut surpasser la douleur que mon coeur subit. Mon corps complet me brûle, comme si je ne devais simplement pas vivre. Comme si j'aurais dû mourir au même moment où il m'a quitté. Je me douche doucement, j'ai trop mal pour me dépêcher à faire un quelconque geste rapide. J'ai mal partout, à la cuisse, au corps, mentalement et au cœur.

Lorsque je termine ma douche, Dylan me dit, à travers la porte, de me dépêcher. Alors j'enfile mes sous-vêtements, ainsi que mon skinny noir et mon pull blanc. Je sors de la salle de bain sans prendre le temps de m'occuper de mon apparence. Ashley soupire en me voyant comme ça. Elle prend mon poignet et me traîne vers ma chambre.

Non, je m'exclame lorsqu'elle s'apprête à ouvrir la lumière de ma chambre.

Je ne veux pas qu'elle voit le sang sur le sol. Je ne veux pas qu'elle voit ma douleur. Elle me regard étrangement et finit par hocher la tête en entrant dans la noirceur que forme ma chambre. Elle prend rapidement mon téléphone et nous descendons au premier étage. Mes parents ne sont pas là, il y a que mon frère qui est au téléphone, probablement avec sa copine. Il m'ignore, comme si je n'avais jamais exister et mon cœur se resserre. Elena me donne mon manteau et j'enfile lentement mes chaussures.

Nous sortons de la maison et embarquons dans la voiture de Kaitlyn, qui comporte trois bancs à l'avant et trois autres blanc derrière. Je m'assois derrière, aux côtés de Lucas et de la portière. Ashley, qui est assise de l'autre côté de Lucas, me tend mon téléphone.

Réponds à tes messages avant que les gens te croient morte.

Lucky, qui semblait absolument vouloir venir, est couché sur les jambes de Lucas et d'Ashley, mais pas sur moi, ne voulant sûrement plus de moi, comme Niall. J'ouvre mon téléphone et me mets à lire mes messages.

25 décembre, 16h03.
De Lucas : « Joyeux Noël Av'! Ça te dit qu'on se voit demain? »

25 décembre, 22h28.
De Elena : « Joyeux Noël! J'espère qu'on va se revoir bientôt. Bisous x »

Des message comme ça suivent. Je suis surprise de constater que j'ai deux messages de Niall. Je m'en vais pour lire, mais Lucas me prend mon téléphone des mains.

Il t'a écrit? il sourit.

Je tends le bras pour récupérer mon téléphone, mais il lit mes messages, un sourire collé sur les lèvres, alors que je tente de reprendre mon téléphone. Il perd peu à peu son sourire et secoue la tête.

Arrête Av', je ne crois pas que tu veuilles lire ça.

Donne-moi mon téléphone.

Il me tend doucement mon téléphone et je lui arrache rapidement des mains, ayant hâte de lire les messages du blond.

26 décembre, 02h47.
De: Niall : « Joyeux Noël en retard! Je suis désolé de ne pas être revenu te parler plus tôt. »

Un petit sourire prend place sur mes lèvres.

26 décembre, 02h49.
De: Niall : « Au fait, merci pour cette nuit ;) Est-ce qu'on se voit toujours ce soir? Tu me répondras lorsque tu te réveilleras. Je t'aime Molly xx »

Merci pour cette nuit?
Molly? Son ex-copine?

26 décembre, 02h53.
De: Niall : « Merde. Trompé de conversation, désolé. »

Mon sourire se fade très rapidement et les larmes de mettent à couler le long de mes joues lorsque tout les morceaux s'emboîtent. Il ne m'a jamais aimé. Il m'embrassait, me donnait de l'amour, mais il couche avec Molly, à voir s'ils sortent ensemble, mais depuis quand?

Je suis désolé Avery, je te l'avais dit que tu n'aurais pas dû lire, dit doucement Lucas en me prenant dans ces bras.

Mes amis me lancent tous des regards désolés, mais rien ne pourra réparer ce qui s'est brisé dans mon cœur au moment où j'ai lu ces messages.

Après une demie-heure de route, nous arrivons devant un parc peu visité, décoré de guirlande de noël qui illumine le parc. Nous débarquons doucement de la voiture, contrairement à Lucky qui saute un peu partout. Il se met à courir vers les jeux pour enfants et je rigole légèrement lorsque je le vois trébucher sur le sol.

Tu es encore capable de sourire, s'exclame la voix de mon meilleur ami alors qu'il entoure mes épaules de son bras.

Je lui fais une petite grimace et il embrasse ma tempe. Nous nous asseyons sur un banc du parc alors que les quatre autres s'amusent dans les modules pour enfants, comme s'ils avaient cinq ans. Lucky s'approche joyeusement de nous, mais il se colle contre Lucas et pas contre moi. Lucas le caresse doucement et tourne son regard contre moi.

Même Lucky ne veut plus de moi. Il m'ignore depuis qu'il est parti, j'ai réussi qu'à avoir un seul câlin de mon chien, je soupire tristement.

Arrête de dire n'importe quoi Av', ça doit juste l'effrayer de te voir comme ça. À ce que tu m'as dit, il se faisait battre, alors c'est possible qu'à cause de ton comportement, il croit que tu veux le frapper, il m'explique.

Je hoche la tête en reniflant légèrement.

Arrête de penser à Niall, ça ne t'aidera pas. Il est con, c'est tout. T'es loin d'être une pute, tu es la fille la plus merveilleuse que j'ai rencontrée dans ma vie, alors arrête de te morfondre. Tu vas finir par trouver le gars qu'il te faut vraiment, pas un gars qui a des sauts d'humeurs et qui t'insulte. Alors arrête de pleurer et montre moi ton magnifique sourire, il me dit en souriant.

C'est plus fort que moi, un sourire prend lentement possession de mes lèvres et il embrasse rapidement mon crâne avant de se lever. Je me lève à mon tour et le suis. Nous rejoignons nos amis, qui se sont, entre temps, couché sur le sol. Je me couche aux côtés de Kaitlyn et Dylan, J'observe les étoiles qui tapissent le ciel. Tout ça me fait penser à une nuit que j'ai passée avec Niall, la nuit où nous avons partagé notre premier vrai baiser. Je peux encore ressentir ces sentiments qui m'avaient envahi lors de notre baiser. Je peux encore ressentir la douceur de ses lèvres contre les miennes, son doux touché sur mon corps, les papillons qui m'ont envahi l'estomac, le soulèvement de mon cœur, tout. Me rejouant cette scène dans ma tête, des larmes me viennent aux bords des yeux. Je ferme fermement les yeux et tente, avec tant de bien que de mal, de retirer ce souvenir de ma tête, j'ai mal sans lui.

Je ne suis rien sans lui.


Nous sommes, de nouveau, en route vers chez moi. Je sursaute lorsque je reçois un message de la part de Bradley. Je déverrouille mon téléphone et lit son message.

21h5
Bradley à Avery : « Hey... J'aimerais te parler ce soir, si c'est possible, en vrai... »

Je fronce les sourcils à la vue de ce message.

21h59
Avery à Bradley : « J'arrive chez moi dans une ou deux minutes, alors arrive quand tu le veux. »

J'arrive devant chez moi et à ce même moment, je reçois un message.

22h02
Bradley à Avery : « Je suis déjà là. »

C'est à ce moment que j'aperçois sa voiture dans l'allée de ma maison. Je dis rapidement au revoir à mes amis et la voiture quitte rapidement l'allée. Je m'approche de mon ami et lui souris, geste qu'il me retourne aussi rapidement.

Je voulais te parler de quelque chose.

Vas-y, je dis.

Je ne sais pas comment te le dire.

Mime-le au pire, je dis pour rigoler.

Son regard change rapidement et un petit sourire apparaît sur ses lèvres. Quelques voitures passent dans la rue, puis le silence règne de nouveau.

Okay.

Il s'approche brusquement de moi, agrippe ma nuque de ses doigts froids et colle ses lèvres contre les miennes. Je n'ai pas le temps de réagir à ce baiser, de la part de mon ami d'enfance, que j'entends une voiture passer dans la rue, mais pas comme si elle passait pour aucun but, non, comme si la personne avait une urgence ou que cette personne aurait vu quelque chose qu'il ne lui aurait pas plu. Le bruit du moteur s'est fait entendre plus fort dès qu'il a déposé sa bouche sur la mienne.

Comme si cette personne avait pesé brutalement sur le gaz, comme si elle voulait fuir.


( Voilà! J'espère que ce chapitre vous a plu et désolée pour le reste des fautes d'orthographe que j'ai oublié... Désolée aussi pour ce chapitre qui est plus court que les autres, mais maintenant ils seront tous de cette longueur puisque vous avez décidé d'avoir des chapitres plus court, mais à chaque une ou deux semaines ahah. Merci pour tout ! xx )

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