Une fois entrée dans la salle d'arts plastiques, je regardai sans comprendre à la scène que je voyais. Robin en train d'embrasser une fille brune.
« Robin ? Qu'est-ce que tu fais ? »
Robin et la brune se séparèrent.
« Eva ! dit-il
- Merci mais je connais mon nom ! Qu'est-ce que tu faisais ? Et me répond pas « ce n'est pas ce que tu crois » ou « rien » parce que je ne te croirai pas.
- Euh ... je ... avec ... mais ...
- D'accord. » Je me tournis vers la fille brune et lui dit « Rends sa langue à mon copain s'il te plaît.
- Entschuldigung verstehe ich nicht » dit-elle
C'est là que je compris. La fille brune qui se trouvait devant moi, qui veniat d'embrasser mon copain et qui parlait allemand, n'était que Pauline.
« Quand tu l'as embrassé en Allemagne, ok. On était plus ensemble, je risquai ma vie mais ok. Mais là on est en France et on est ENSEMBLE ! Tu as une excuse ?
- Euh ... bah ... hum ....
- Oui ou non ?
- Hum... Non.
- Ok. Toi et moi c'est fini. Pour de bon. Tu peux embrasser Pauline autant de fois que tu veux, j'en ai plus rien à faire. Vas-y fait toi plaisir. Tu peux même coucher avec elle !
- Ok, dit-il
- Ok ? Tu viens de me croire là ? demandai-je incrédule
- Tu n'étais pas sérieuse ?
- Non !
- Non ?!
- Bien sûr que non !
- Entschuldigung, möchte ici Sie nicht stören. Aber ich kann dich ... commença Pauline
- Toi tais-toi ! finis-je
- Eva, s'il te ...
- Entschuldigung ?
- Halt die Klappe ! C'est bon t'a compris là ?
- STOP ! cria Robin, Eva, si on est plus ensemble, quitte cette salle. »
Avant que je ne puisse dire quoi que soit ou même que je puisse partir, la sonnerie retentit.
« Si je n'avais pas cours ici tout de suite, je serais partie très loin de toi et ta conquête allemande à la noix. »
ŞİMDİ OKUDUĞUN
A un battement de cœur
FantastikEva avait une vie qui lui convenait parfaitement. Elle habitait dans une ville proche de Paris avec sa mère. Son père étant un vague inconnu qui l'avait abandonné. Une vie tranquille sans rebondissement majeur. C'était avant. Elle a scellé son desti...