-42- Pour ses beaux yeux

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Chapitre non corrigé. Mais je ne pouvais pas attendre pour le publié.🙈

PDV Oliver

-Je vais l'étriper. Il va voir ce qu'il va voir ! Comment a-t-il osé ?!

-Calme toi Oliver. Je sais qu'il a dépassé les bornes mais il ne faudrait pas que tu fasses quelque chose que tu regretteras forcément plus tard.

-Oh il va m'entendre et me rendre tout l'argent qu'il m'a pris ! En plus je vais exiger une poursuite. Je vais lui montrer que moi aussi je peux être un bâtard quand je le veux.

Les nerfs sur le point de lâcher, je me gare à la va-vite devant son building et n'attendit même pas que le moteur refroidisse que je descends, la colère à son paroxysme. Comment avait-il osé ?! Comment Conrad avait-il eut le culot de s'en prendre à moi en utilisant  Erina ?!? Il va voir ce qu'il va voir. Je vais lui montrer qu'il s'est servit de la mauvais personne. Ô Erina, je suis tellement désolé ! C'est à cause de lui si je t'ai dit toutes ses choses la dernière fois. C'est à cause de lui si je ne t'ai pas cru et que j'ai agit de la sorte. Je suis tellement désolé.

D'un pas rageur je me dirigeai vers les ascenseurs et martelai le bouton comme si ça allait accélérer la chose.

De nombreux pairs d'yeux me regardaient curieusement, craintif de me voir aussi remonté et soupçonnant sûrement la personne qui allait subir son châtiment dans les minutes qui vont suivre.

-Oliver ! Attend moi voyons !

J'allais entrer dans la boite métallique quand Tracee se lança à ma poursuite pour me ratrapper. De justesse, elle s'engoufra avec moi dans l'ascenceur et nous partîmes vers le soixantième étage.

-Moi aussi je veux lui toucher quelques mots sur son comportement te concernant, me dit-elle en regardant les chiffres défilés sur le petit cadran électrique.

Je ne tiens plus en place. Je boue. Je sens mes phalanges craquées tant que mes poings étaient serrer. Mes tempes dandinent sous le grincement de mes dents et mes yeux sont injectés de sang. Je le sais, c'est toujours ainsi quand je me met en colère. Et là je peux vous dire que c'est de la rage à l'état pur qui coule dans mes veines et non une simple colère. Ma respiration est tellement saccadée que je sens mes narines bouger quand j'inspire, sans oublier que mon pouls était indomptable. Je suis possédé. Les particules de mon corps brûlent ! Il faut que je frappe sur quelque chose, il le faut tout de suite !

Il a faillit l'a tué bon sang ! S'il voulait se débarassé de moi qu'il le fasse sans y mêlé Erina. Oh ciel si elle y était rester, je jure que j'aurais tuer Conrad de mes propres mains, quitte à aller en prison après !

Les portes s'ouvrent enfin sur un "ding" de délivrance. Instantanément, je me jette dans le hall qui menait à son bureau et ouvrit la porte de cette dernière avec toute la rage dont j'ai pu faire preuve, la décolant presque du ventail d'où elle était accrocher. J'entendis la secrétaire hurler qu'il ne fallait pas que je rentre parce que je n'avais pas rendez-vous, mais que m'importe. Lui il a rendez-vous : avec mon poing.

Je vis Conrad sursauter quand il me vis. Rapidement, je franchis les quelques mètres qui me séparait de lui assis derrière son bureau. Les poils dresser sur la peau de mes bras, irradiant par la même occasion toute la rage qui me consummait à travers mes pores, d'un mouvement brusque, l'attrappai par le col de son costume Armani et abattit mon poing sur son visage. Tout se passa dans un éclair, il n'a rien vu venir. Un craquement retentit, suivit d'un chuintement. Mes phalanges mordèrent sa joue et la puissance du coup fit valsé sa tête de quelques degrés vers la gauche. Mon crochet du droit, c'est mon arme secrète.

Je T'a(b)ime (en réécriture)Donde viven las historias. Descúbrelo ahora