Aomine Daiki x reader

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Anime : Kuroko No Basket

Aomine x sickly!Reader

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Personne n'oserait jamais associer le mot « douceur » à Aomine Daiki. Il était pervers, sans aucune gêne et paresseux. Rien, dans sa personnalité, n'était programmé pour être soigneux. Et pourtant, une seule fille avait réussi à adoucir ce comportement assez exécrable. Cette fille, c'était  [T/p], sa petite-amie. Elle avait une personnalité douce, calme et souriante. L'opposé de cette grosse brute appelée Aomine. Mais,  [T/p] était aussi fragile que de la soie. Douce mais fragile. C'est pour cela qu'il était étonnant qu'Aomine réussisse à en prendre soin.

Le corps de la pauvre  [T/p] était trop faible pour qu'elle puisse sortir. Alors, elle faisait des cours à domicile et ne devait sortir qu'en la présence de quelqu'un et en fauteuil roulant. N'aimant pas trop être assistée, elle restait chez elle ou bien sortait sur la terrasse du jardin.

[T/p] se trouvait dans sa cuisine, en train de préparer à manger. De la musique pop envahissait la maison. Elle était seule chez elle; ses parents travaillaient. Aujourd'hui,  [T/p] se sentait très bien. Elle était de bonne humeur et sa santé se portait bien. Elle se surprit même à balancer ses hanches au rythme de la musique tandis que ses mains lavaient les légumes.

L'air d'une de ses chansons préférées résonna et elle chantonna.Maintenant, elle allait couper les légumes et les mettre dans la casserole. Puis, le téléphone fixe sonna et  [T/p] dû se précipiter pour pouvoir décrocher.

-Allô?

- [T/p], ma chérie ! Tu vas bien ? Comment te sens-tu, aujourd'hui ?

-Bonjour, maman. Je vais bien. Pourquoi es-tu si affolée ?

-Tu m'as fais peur... Je t'ai appelé plusieurs fois sur ton portable mais tu ne répondais pas. J'ai même appelé Aomine pour qu'il vienne vérifier ton état !

-Oh, maman. Je suis désolée, tu vois je me sens tellement bien que j'ai mis de la musique à fond et je cuisine des légumes !

-C'est super,  [T/p]. Nous les mangerons ce soir, d'accord ?

-Ouais !

La minuterie bipa, indiquant que la viande était prête.

-Ah, je vais devoir te laisser, je crois. J'ai entendu la minuterie. Bonne journée et prends soin de toi. Ne force pas, surtout !

-Oui-oui, maman ! Ne t'inquiète pas ! À plus tard.

Elle raccrocha et se dépêcha de sortir la viande du four, vérifiant sa cuisson.

-Parfaite !

Et puis, alors qu'elle faisait la vaisselle, elle se rappela de la phrase de sa mère : « J'ai même appelé Aomine pour qu'il vienne vérifier ton état ! ».

Le cœur de  [T/p] s'accéléra en réalisant qu'Aomine allait débarquer chez elle. Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme et elle ne pensa plus qu'à lui.

Elle imagina son petit ami, courir depuis son appartement jusqu'à chez elle. Il serait affolé et se mettrait à hurler dans toute la maison. Une fois qu'il l'aurait vu, en très bonne santé, il soupirerait, soulagé et l'enlacerait très fort.

Perdue dans ses pensées, elle se coupa le doigt avec un couteau qu'elle lavait.

-Oh, mince !

Une goutte de sang perla et  [T/p] se précipita dans la salle de bain pour mettre un pansement. Elle chercha longtemps ces petites choses et lorsqu'elle les trouva, elle éclata de rire. Les pansements étaient tous, sans exceptions, décorés de petits dinosaures, de cœurs, de nounours etc...

-C'est mignon...dit-elle en prenant un avec des nounours.

Elle se le mit sur le bout du doigt et sortit de la salle de bains. Elle revint dans la cuisine et remarqua que les légumes allaient presque être prêts. Alors, elle éteignit le feu et vida la casserole remplit d'eau. Elle mit le tout dans un grand plat, qu'ils feraient réchauffer ce soir.

[T/p], après tous ces efforts, se rendit dans sa chambre, pour se reposer un peu. Elle se jeta sur son lit et se reposa. Elle s'endormit, sans s'en rendre compte.

[T/p] se réveilla, une douce caresse sur sa joue. Elle ouvrit les yeux brusquement et rencontra deux perles bleus. Elle sourit immédiatement et enlaça celui qu'elle avait reconnu.

-Tu es là... murmura-t-elle.

Aomine, parce que c'était lui, lui rendit son étreinte et s'installa correctement sur le lit.  [T/p] était plus petite que lui et s'adaptait parfaitement à la position. Ils restèrent ainsi, jusqu'à ce que  [T/p] intervienne.

-Daiki...

-Hmm ?

-Si je devais mourir, (Il se raidit à cette supposition.) je voudrais que tu continues à vivre.

-Tch, dit-il. Tu ne mourras pas, idiote.

[T/p] sourit doucement en enlaçant son petit-ami encore plus fort.

-D'accord,je ne mourrais pas... chuchota-t-elle dans son oreille.

Dans sa tête, Aomine se promit qu'il ne la laisserait pas mourir.

-En fait, depuis combien de temps es-tu là, Daiki ?

-Je sais pas exactement. Une heure ou deux...

-Et, qu'est-ce que tu as fait, pendant tout ce temps ?

Soudainement, Aomine rougit et détourna le regard. [T/p], elle, sourit, trouvant l'embarras de son petit ami assez mignon.

-C'est bon, je te taquines. N'empêche que je sais que tu me regardes dormir. 

[T/p] rit de bon cœur en voyant le rouge des joues du garçon se renforcer.

-Mais, tu sais, je fais la même chose, quand c'est toi qui dort...

-Tais-toi...

Ces mots contredirent les pensées d'Aomine, qui adorait quand  [T/p] le taquinait.

-Daiki...

Il ne répondit pas mais regarda sa petite-amie, montrant qu'il l'écoutait.

-Je t'aime !

Alors que le rouge aux joues d'Aomine avait disparu quelques secondes, il réapparut aussitôt. Mais, cette fois Aomine sourit en serrant  [T/p] très fort dans ses bras.

-Je t'aime aussi,  [T/p]. 

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Je ne suis pas très fière de celui-ci, j'en referais un avec lui 

OS x reader - Tome 1 [TERMINÉ]Where stories live. Discover now