Crie à la Lune

15 ~ Olivia

Yooooo les gens! :D Voilà le nouveau chap' (non, vous ne vous êtes pas rendu compte xD)! Pour ceux qui lise mon autre fic', le prochain chap' arrive demain, mon but est de poster mon chap' dans ma petit pause de deux jours avant de repartir en vacances, si je le fais pas, vous allez mourir d'impatience, je le sais xD

Bref, bonne lecture et j'espère qu'il vous plaira ;) (c'est Olivia en média)

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Silencieusement, je descends du toit où j'étais perchée et avance tranquillement dans la rue des jonquilles, les mains griffues bien cachés dans mes manches. Il n'y a pas beaucoup de circulation, se qui est normal en hiver, il fait froid et les touristes ne grouillent pas dans les rues en cette période de l'année. Cette rue à un côté doux et guilleret, des maisons avec des jardins encadres la route, donnant une touche de couleur quand ils fleuris lorsque le printemps montre le bout de son nez. De nombreux arbustes se trouvent en bordure des terrains, dénudé de feuilles pour certains, laissant leurs petites branches tortueuses à la vue de tous.

Je jette un regard à droite, puis à gauche, avant de traverser et me diriger directement vers la maison de mon amie. On peut dire que ses parents sont des personnes originales, son père est peintre et on peut le voir juste en regardant le mur de leur maison, dont les tâches de toutes les couleurs les ornes comme une tempête, expression étrange d'une explosion, sans doute faite à jet de peinture. La porte est blanche et simple, se qui tranche avec les couleurs vives de se qui l'entour. Le toit est fait d'ardoise rouge, rappelant les pays chauds, où ils ont fait souvent voyage.

Le bout de terrain qui reste est grignoté majoritairement par un potager, dont les durs labeurs de leur jardinière ne porteront que leur fruit la saison prochaine. Sans doute qu'elle a planté des pommes de terre, des fraises, des tomates et tout plein d'autre chose, je peux même voir les restes du framboisier qui s'est fait taillé. Le jardin qui prend le reste de la place, est uniquement de la pelouse et un camélia de grande taille, dont la floraison ne devrait pas tarder. Un chemin de pavé travers le tout, pour nous emmener jusqu'à la porte.

Je passe le portail bleu marin et me précipite presque jusqu'à l'entrée. Je rentre mes griffes avant de toquer à la porte. Il manquerait plus qu'ils me voient avec des mains griffues... Je perçois de l'agitation à l'intérieur, une personne râler de mécontentement, avant que des pas bruyant d'avance vers ma position. Apparemment, Olivia glandait sur le canapé et elle n'est pas enchanté de devoir ouvrir la porte. Tant pis, ça lui fera un peu d'exercice dans la journée, faut dire qu'il faut un effort incommensurable pour s'extirper du canapé... La porte s'ouvre doucement, laissant apparaître le visage agacé de la brune, qui s'illumine en m'apercevant derrière la porte.

-Lou! Qu'es ce que tu fais là?

-J'avais envie de te voir, mais j'ai cassé mon portable...

Olivia soupire bruyamment avec exagération et prend un faux air désespéré. C'est pas comme ci je casse souvent mes portables, c'est même la première fois! Mais bon, je me vois mal me justifié en disant que je fuyais pour ma vie... de 1, elle me croira pas et de 2, je préfère que personne de plus ne le sache, j'ai assez avec le gars flippant du bus et la sorcière.

-Je préfère même pas savoir comment tu as fait. Murmure mon amie théâtralement. Allez rentre, tu tombes bien, je cale sur le commentaire de texte à faire.

-Tu travaillais? Vraiment?! M'exclame-je en prenant un faux air choqué. Je pensais pas ça possible!

Elle me frappe gentiment l'épaule, avant de marmonner un: «tais-toi et rentre». Je ris doucement, amusé. J'ai presque l'impression que rien n'a changé, que je suis retournée en arrière, avant son arrivé et ma vie qui s'est d'un coup retourné. Elle se comporte normalement, comme ci l'influence du vampire d'exister plus, comme la Olivia que j'ai toujours connu, mon amie qui m'est la plus proche et que je peux même qualifié de meilleure amie. Pourtant, au font de moi, je sais que le passé le restera, pas de retour en arrière possible.