Partie 32

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FLASH BACK • partie 2

Point de vue de Castle.

En ce soir de décembre le froid était plus présent que jamais, le vent sifflait dans mes oreilles tandis que je m'emmitouflais dans mon écharpe et enfouis mes mains dans mes poches lorsque je passais devant le 12 eme et vu Javier parlé avec un homme.

Je me rapprochais d'eux et entendu une bribe de leur discution, Espo voulait rammenner les cartons que l'homme tenait car Beckett était la haut et attendais le livreur.

Je les avais interrompus et m'étais proposé de les monter moi même.

J'arrivais avec mes deux gros cartons dans les bras qui était assez lourd et sortis de l'ascenseur quand je vis Kate entre deux cartons qui s'avançait vers moi, je me débrouillait à avancer vers elle comme je pouvais.

- Mais Castle, qu'est-ce que vous faites là ?

- Je passais par la par hazard quand j'ai croisé Espo et le livreur je me suis tout bêtement proposé. Ce sont les lettres de fans ?

- oui, suivez-moi. On va se déchargé de tout ça!

Elle était surprise et je pouvais lire un rictus amusé sur son visage malgres son regard fatigué. Elle me débarrassa de l'un de mes deux cartons et l'emporta sur la table basse dans le bureau de Montgomery, je la suivis et fit de meme.

- Alors, on se met au travail?

Je lui avais demandé tout bêtement, voulant passé du temps avec elle.

- vous êtes motivés ? Car moi je n'ai pas mangé et je n'ai qu'une envie c'est de prendre un bon bain et d'aller dormir.

Je fus projeté chez elle à l'imaginer nue dans un bain de mousse et de pétales de roses rouge, un livre à la main et un bon vin dans l'autre.

-stop- revenons à la réalité.

- Oh allez, Kate ! Vous aurez tous le temps de dormir après l'enquête, et puis, je n'ai cas nous commander à manger. Ne me dites pas que Kate Beckett est faible ?

Je savais quels mots allait la faire flancher, depuis 3 ans je commençais à la connaître ma détective.

- hors de questions...

Elle laissa sa phrase en suspend quelques secondes alors que mon sourire se tomba.

- c'est moi qui commende à manger.  

Je m'installais dans le canapé satisfait et commençais à ouvrir les cartons tout en la regardant se dirigée vers son bureau pour téléphoné.

Elle était belle, comme toujours, mais aujourd'hui particulièrement. Elle portait se jean qui lui serre ses belles jambes élancées. Elle me surpris à la regarder mais ce n'était pas un regard gêné qui apparu sur son visage. Elle me regardait puis me souris naturellement.

Quand elle s'affalait sur le canapé un soupir de fatigue sortis de ses lèvres. Je la contemplais, cette fois de plus près. Nos cuisses se touchaient presque. Son chemisier à carreaux était déboutonné au col puis descendait de quelques boutons, je pouvais apercevoir le renflement de sa poitrine et la dentelle rouge de son sous vêtement. Son collier tomba entre ses seins et je ne pouvais m'empêcher de pensé à la douceur que pouvait avoir sa peau à cet endroit précis.

Je me ressaisis.

Cette femme me rendais fou.

Le livreur était arriver et on commençais à manger lorsqu'elle interrompus ce silence agréable et ces regards échangés.

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