Partie 28

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Point de vu de Beckett

- Fais attention mon cœur, tu penses à m'appeler et soit sage.

Ma fille était sur le point de partir pour ses premières vacances loin de moi pour la première fois. Fan de cheval, cette colonie de vacance dans un centre équestre était son cadeau d'anniversaire, nous étions tellement fier d'elle. De nos deux jumeaux que nous tenions chacun dans nos bras aussi, cela va de soit.

- oui maman, bisous papa. Je vous aime.

Rick embrassa sa fille en me tannant par la taille de sa main libre. Il m'avait déposé  un baisé sur la tempe. J'en avais les larmes aux yeux mais il su me rassuré.

                                  ➰

Je me sors de ce rêve horriblement beau, ma tête cogne et j'ai mal partout. Comme si un camion venait de me rouler dessus, et puis j'ai froid. Qu'est-ce que c'est inconfortable !

J'essaie de me redresser pour chercher la couverture qui à sans doute du tomber à nos pieds durant la nuit.

C'est au moment où j'essaie de me relever que je sens que mes mains sont bloqués et mes jambes aussi. Je tire légèrement sur celles-ci mais des douleurs affreuses se réveillent, c'est alors que j'ouvre les yeux. Mes paupières sont lourdes et c'est comme un combat de les ouvrirent.

Quand vient le moment de réalisé où je suis ma poitrine se met à se soulever plus rapidement. Il fait sombre et je suis à même le sol, qui puis est, est gelé et je dirai même très humide.

Je laisse mes iris s'habitué au noir complet.

Je cligne des yeux plusieurs fois, ça ne va pas assez vite et je commence à paniquer.

Kate,

Inspire.

Expire

Inspire

Expire

Je souffle au rythme de ma voix.

J'arrive à apercevoir quelques bribes d'outils devant moi, plus loin j'ai l'impressions de reconnaître le coffre d'une voiture.

MON DIEU.

non, non, non, non, non, non, non et NON!

Mes bras sont liées à une meme chaîne à un mettre du sol et mes pieds sont fixé par une chaîne chacun. J'essaie de tiré dessus malgré la souffrance incessante de mes muscles et de tous mon corps mais rien y fait ses chaînes sont serrés et bien attaché, je peux même apercevoir ma peau rougir autour des chaînes.

Je suis toujours vêtu du simple tee-shirt noir de Castle qui me recouvre seulement le haut des cuisses. Tous mes poils sont hérissés et je tremble sans même m'en rendre compte.

Je ne panique même plus, je suis fatiguée et j'ai froid.

Horriblement froid.

Je contracte tout mon corps pour essayer de le réchauffer au maximum mais là encore mon corps est trop démunie de toutes forces pour arriver à quoi que ce soit.

Je pense à Castle, s'il dors encore où s'il est déjà à ma recherche. Je donnerai tout pour revenir quelques heures en arrière, pour être dans ses bras, la chaleur de son corps ou de ses lèvres contre les miennes.

Je scrute la pièces plusieurs fois à la recherche d'une fenêtre, un indice, quelque chose...

Mon cerveau s'endors et avant de le suivre je puisse dans mes dernières forces intérieurs pour crier.

Crier mes tripes.

Crier tous ce que mon corps peut sortir.

Crier son nom.

Des larmes brûlantes coulent sur mes joues, j'en apprécie la moindre chaleur qu'elles peuvent m'apporter.

Le froid reprend sa place et mes yeux se ferment. J'arrive à voir ma mère au fond de la pièce. Celle ci me hurle les mêmes mots sans arrêts mais je n'arrive pas à comprendre je n'arrive à rien.

Elle s'approche de plus en plus de moi, je peux sentir sa chaleur et son amour mais son visage est tout le contraire.

Ses mots qu'elle me dit à cet instant, je m'en souviendrais longtemps.

                            " BAS TOI "

Je te promet maman, je m'en sortirai.

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Deuxième petit chapitre après celui de ce matin comme je n'ai pas publié la suite depuis un bon moment et je m'en excuse.

J'espère que l'histoire vous plait toujours autant, n'hésitez pas à commenter !

Un gros merci à vous tous de suivre ma petite histoire... 😘😘

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