Partie 30

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Point de vue de Castle.

Ça fait déjà deux jours et deux nuits que Kate à disparu, que Gates a lancé un avis de recherche dans tout l'état de New York et deux jours et deux nuits que nous n'avançons pas. Je sais pertinemment que Josh à fait les choses comme il faut, pour qu'on ne retrouve aucune trace et aucun indice.

Aucun indice, aucun.

Aucun indice jusqu'à ce que quelqu'un, ce matin viennent frappé à ma porte.

J'ouvre la porte sur un homme imposant de tout son être, la carrure d'un militaire et la mine effacée.

Il me tend la main

- bonjour. Monsieur Fuentes, un... ami de K...

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que je l'attrape par le col back et l'écrase contre le mur.

- je sais très bien qui vous êtes. L'enculer qui a agresser ma femme dans les toilettes d'un bar.

- Ce n'est pas ce que vous croyez au contraire !

- Qu'est-ce que c'est alors ?

J'ai le poignet prêt à bondir vers sa mâchoire carrée. Je suis bien trop sur les nerfs et l'envie de me défouler est trop présente.

- je... actuellement, enfin normalement je suis censé la protéger, nous avions passé un accord.

Je ne pu me retenir, la rage me consume, la haine habite chaque cellule de mon corps.

Mon poing part mais l'homme ne cilla pas, sans doute peu touché par le geste minable et désespérer que je viens d'effectuer. Trop fatigué, trop abimé par cette histoire.

Il me stabilise de ses grands bras, voyant ma détresse.

- Calmez vous s'il-vous plait, écoutez moi.

- Vous écoutez, vous vous foutez de ma gueule ? VOUS ÉCOUTEZ?

C'est impossible, tout ça est irréel. Je suis actuellement dans un énorme cauchemars.
Comment peut-il se permettre de me dire, à moi, qu'il devait protéger la femme de ma vie. Qu'il devait la protéger et qu'il ne la pas fait.

- vous êtes aussi minable que moi. Dis-je las.

Ce que je dis est véridique. Aussi pathétique qu'il soit, lui comme moi n'avons pas accomplis notre devoir: la protéger. Peut importe son histoire je déteste cet homme.

Des larmes jaillissent de mes yeux comme un vers trop remplis. Ma vue devient flou et je me laisse tomber au sol, faible que je suis, dépourvu de toute sorte de bonheur et démuni de tout pouvoir quelconque. 

Je suis complètement inutile et en rien son intervention m'aide à trouvé de l'espoir.

L'espoir,

l'espoir de pouvoir la serrer dans mes bras sans jamais la relâcher,

l'espoir de pourvoir lui dire que je l'aime encore et encore,

l'espoir de simplement la retrouver saine et sauve.

- je sais où elle est.

Je relève la tête vers cet homme qui se tenait debout contre le mur de mon appartement

Ça à fait comme un bon dans l'organe détruit qui me sert de cœur actuellement, comme s'il battait à nouveau, comme si l'espoir est ce dont il a besoin pour vivre.

- Josh me paie pour que je surveille mademoiselle Beckett et que je lui rapporte ses faits et gestes pour qu'il puisse la "punir correctement". Étant contre mes principes j'ai évidemment collaboré avec beckett et rapporté à Josh qu'elle passait ses journées au travail et chez eux. Seulement il a du découvrir par je ne sais quelle source qu'elle faisait autre chose que ce que je lui disais.

- où ? 

- il m'avait parlé d'un garage abandonné près de Wall Street. Il me disait que c'était parfait pour séquestrer quelqu'un. Il rigolait mais je suis sur qu'il était sérieux.

Nous n'attendons pas une seconde de plus et prenons la route en direction du 12 eme en appelant les gars sur le trajet.

Une fois arriver nos patrouilles était déjà prêtent à partir, tous munis d'armes et de gilet par balle.

- Castle en route. Me cria Espo en me lançant mon gilet.

Ça fait déjà deux longues heures que nous attendons tous dans nos voitures. Deux camionnettes de patrouille plus deux voitures.

Nous attentons un signe qui puisse nous permettre d'agir car se jeter dans l'immeuble était trop risquer, il pourrait la prendre alors en otage et la tuer, ou bien s'enfuir.

Je suis plus qu'impatient. Je comprend les règles mais je l'imagine en train de souffrir et je voudrai que ça s'arrête, je ne veux même pas imaginer son état à l'instant présent.

- c'est du sérieux vous deux ?

Je relève la tête en direction de Kevin, assis côté conducteur.

- je... je veux dire, vous êtes ensemble non? Enfin... à en juger comme ça, vous.. vous êtes ensemble ?

Le pauvre se perd dans ses mots, de peur de se hisser sur une pente glissante mais je lui épargne se sarcasme rapidement.

- Oui, nous somme ensemble... et.. oui, je pense que c'est du sérieux.

Il posa une main compatissante sur mon épaule et je ne pu retenir mes larmes plus longtemps. C'est la première fois que je met des mots sur ce que nous sommes, et c'est même la première fois que je pense que nous sommes quelque chose.

- Je l'aime Kevin, je l'aime vraiment, putain. Quand est-ce qu'on bouge de cette caisse?!

C'est à ce meme moment qu'un homme, vêtu que de noir, la tête recouverte d'une capuche sorti du garage souterrain abandonné depuis plusieurs années.

- on y va, lance Gates dans les radios.

Nous sortions tous, les policiers courent et se placent autour de l'homme à capuche, l'homme qui doit être Josh.

À l'écart je les vois le maîtriser et lui passer les menottes, je n'attend pas une seule secondes et me précipite vers l'intérieur lorsque j'heurte un corps.

Bien sur, l'homme à capuche était un diversion. Comment avons nous pu laisser passer ça.

Kate, elle, aurait su.

Nos têtes son face à face,

Je le vois,

en face de moi,

ses

yeux

dans

mes

yeux

retenez moi

Je me rus sur lui et lui éclate le faciale sans attendre. Mes poings partent, coups après coups. Il essaie de se débattre en vain mais rien y fait je suis trop enragé pour le laisser bouger.

Je continus à le tabassé, animé par une rage infaillible. Jusqu'à ce que je me retrouve projeter en arrière par une force inattendu.

Espo.

- calme toi vieux, c'est bon il est presque canné là !

Je repris mes esprits quand deux policiers le redressa et lui passa les menottes. À cet instant précis je ne pensais plus qu'à une chose,

Kate

Comme tous les autres je me mis à fouiller dans les moindres recoin, appelant celle que j'aimais sans m'arrêter, jusqu'à m'en vriller la voix.

Je ne m'arrêtais pas de chercher et de rechercher, espérant la voir à chaque coin.

- elle n'est pas la.

Quatre mots,

Quatre mots qui me brise le cœur en de millions de bout de vers triplement brisés, éclatés, broyés.

Stand by youWhere stories live. Discover now