Chapitre 15

Depuis le début
                                    

- Je crois que je faisais pareil que vous.

- Tu sais quelque chose ? Mon père cherche une adresse. Je demande en me levant.

Je ne mentionne pas que cette personne est surement mon grand-père. L'autre tourne les yeux vers moi. Il me fixe des pieds à la tête, en silence.

- Peut-être. Je ne sais pas trop.

- C'n'est pas drôle, Kentin. Prévient Rose, qui me rejoint.

- Je ne rigole pas. Sourit-il.

Arrête de sourire ... Je vais te buter, pensais-je très fort.

- Crache le morceau. Dis-je simplement.

- Qu'est-ce que j'y gagne, moi ?

- Rien.

- Je veux quelque chose en échange.

L'argent.

- Combien tu veux ? Demandais-je

- Non merci, je ne viens pas pour mendier.

Je ne comprends rien. Je jette un coup d'œil à Rose. Elle a les mains et les dents serrées, elle fronce les sourcils, un peu comme moi quand je suis énervé. Je détourne les yeux sur Kentin, amusé.

- Alors qu'est-ce que tu veux ? Soupirais-je.

- Stop. Gronde Rose. Ce n'est pas grave. On n'a pas besoin de toi, de toute façon.

Quoi ? Elle est sérieuse ? Ça doit être une sorte de stratégie pour lui faire avouer... J'espère.

Rose salut Kentin et me tire par le tee-shirt. Kentin n'a rien dit. Nous somme partit en direction de la maison, et lui dans l'autre sens. Ce plan était nul.

- Pas mal, ton plan, ironisais-je.

- Quel plan ? Demande-t-elle.

Il n'y avait pas de plan ? Géniale...

- Il avait des infos ! M'exclamais-je.

- Tu te crois dans un film, ou quoi ? On a juste mal compris, si ça se trouve, c'est pas du tout ton grand-père qu'il cherche.

- Nous nous serions trompés tous les deux ?

Elle ne répond rien et sa respiration se fait saccadée

- Pourquoi tu as fait ça ? Insistais-je.

- On n'a pas besoin de lui.

- Juste à peine ... Ironisais-je.

- Lâche-moi avec ça ! Il n'avait surement aucune info, il se foutait de notre gueule !

Elle est énervée. Je ne l'ai jamais vu comme ça avant.

- Pourquoi tu réagis comme ça ? Demandais-je calmement.

- Comment comme ça ? Me dis-t-elle en me regardant droit dans les yeux.

Nous somme sur le pas de la porte, l'un en face de l'autre. Nous sommes en conflit, apparemment.

- Je ne t'ai jamais vu comme ça. Déclarais-je.

- Comment je suis d'habitude ?

- Tu es plus ... Calme.

- Mais je ne suis pas une petite fille toute gentille et soumise, comme au collège, Logan ! Rentre toi ça dans la tête ! Hurle-t-elle avant d'entrer dans la maison et de monter en courant dans sa chambre.

Ça me fout une claque. Je reste figé devant la porte. Je n'ai pas compris sa réaction. Je ne voie vraiment pas ce qui l'a énervé à ce point. J'ai dus dire quelque chose de mal. Elle était très fatiguée, sûrement. Le problème c'est qu'elle avait l'aire tellement bien avant que Kentin arrive ...

"Miaouuu"

Chouquette, le chat des Levy (c'est le noms de famille de Rose) miaule à mes pieds. Je lui ouvre la porte qui s'est refermée derrière elle. Je retourne vers la rue. Je n'ai pas le courage de sourire à tout le monde, pour le diner. Il fait nuit noir. Pendant que je marche, dépité, dans une ruelle, je sursaute intérieurement, en voyant Kentin apparaître devant moi.

- J'ai un truc important à te dire.

{ Voila pour ce nouveau chapitre ! C'est le premier jour des vacances mais je doit faire le ménage dans toute ma chambre et ce soir j'ai des amies à la maison donc je n'aurait jamais le temps de poster un autre chapitre aujourd'hui ! Rendez-vous demain, donc ...

Je voudrais juste savoir si la phrase "Attention, tempête dans les Alpe, Rose et Logan ont relâché leurs souffles" est censé être une phrase plus ou moins humoristique, mais je ne sais pas vraiment si elle est compréhensible ... Avis ?

Gros bISOUS !! } 

Je t'aime, mais il y a eu des complications. (Terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant