le linge sale se lave en famille

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Puis il remarque finalement ma présence ainsi que sa sœur. Ils étaient tellement occupé à régler leur compte qu'aucun des deux ne m'a vu depuis lors.







- Hayn : jésus christ !








- Hayn : est - elle vraiment réelle ou est - ce un djinn ?







( il est resté figé devant mon visage pendant quelques minutes )

Lorsque je l'ai comprise je me suis dépêchée de baisser mon niqab sur le champ. Et alors il se retourne vers sa sœur Hayfa qui était tout autant paralysée sur place que lui.







                       [ ... ] Grand silence







- Hayn : je comprends mieux à présent pourquoi tu ne voulais plus quitter le Koweït.








- Hayn : et même moi à ta place je ne serai pas revenu chez mes parents. Je serai resté à vie là bas si tant étant que c'est pour vivre aux côtés d'une telle femme.








- La vielle femme : espèce de fils indigne. Tu as donc osé dire cela Hayn ?








- La vielle femme : il n'y a vraiment plus de doute quand au fait que j'ai mise au monde des fils inutiles. J'ai vraiment souffert pour accoucher pour rien.









- Hayn : excuse - moi mère.

( la honte l'a envahi pendant un instant, puis il se retourne une fois de plus vers sa sœur avant de fixer Assad )









- Hayn : le détective que j'avais engagé pour te retrouver m'a fais part du fait que tu avais épousé une magnifique koweïtienne.










- Hayn : jesus christ, il n'a vraiment pas exagéré dans sa description. Elle est d'une beauté à faire peur.

( puis il s'arrête pendant deux secondes )









- Hayn : quel est le prénom de ton épouse Aymar ?









- Assad : Saranah...









- Assad : Saranah Mourad.










- Hayn : et a t - elle une sœur sinon ?










- La vielle femme : il ne manquait vraiment plus que ça, tfou alik. Ton cas est vraiment désespérant Hayn.









(et alors Hayfa lui donne une tape sur l'épaule pour lui dire de se taire et que cela ne se fais pas du tout )

Imaginez maintenant à quel point la situation était inconfortable pour tout le monde.

Pour ma part je délirais encore debout avant de lâcher prise, à bout de force.








- Moi : jésus christ ? Amar ?

( c'étais tout juste trop pour moi )









- Assad : ... bismillah.









Une Femme Pour Quatre Frères !Where stories live. Discover now