La passion n'est pas toujours une bonne chose pour nous ou du moins, elle ne l'est que pour quelques très rares exceptions d'entre nous. Sauf que c'était une grande vérité qu'ignorais Saranah Arweed lorsqu'elle avait fait la connaissance de son âme...
Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
- Maher : quelles sont ces sottises que vous nous racontez encore mère ?
- Maher : si c'est une mauvaise blague de votre part, vous ferez mieux de cesser cela tout de suite parce que ce n'est pas drôle.
- Dalillah : il ne s'agit pas d'une plaisanterie et ce ne sont pas des sottises. Cette femme devant toi est vraiment ta mère Maher.
- Dalillah : c'est celle qui t'a mise au monde, moi je n'ai fais que te donner le sein et prendre soin de toi jusqu'à aujourd'hui.
.........................
J'étais pétrifiée sur place et tous les autres membres de la famille également y compris Myria.
C'était la dernière chose que je pouvais imaginer de ma vie et alors je me suis retiré très doucement des bras de Maher avant de m'écarter de lui. Je commence ainsi à reculer en arrière très lentement car savoir que son sang coulait dans ses veines commençait à me donner la nausée.
(Cette ne m'a rien donné dans cette vie sinon du mépris).
- Maher : soubhan'allah qu'est - ce que vous racontez mère ?
- Maher : cette femme ne peut pas m'avoir mise au monde, non je le refuse wallah al a'azim !
- Maher : innallillahi wa inna illeyhi rajihoun ....
( il craque donc et fond en larmes avant de tomber accroupi sur le sol )
- Dalillah : je suis vraiment désolé bien aimé. C'est douloureux certes mais c'est ainsi.
- Dalillah : Ilyes n'est que ton demi - frère du même père.
- Maher : soubhan'allah... QUOI ?
(Totalement terrifié)
- Maher : vous le saviez donc depuis tout ce temps et vous m'avez caché une vérité aussi détestable pendant trente ( 30 ) années ?
- Maher : TRENTE ANS ?
(il crie inconsciemment à l'horreur)
- Maher : pire, vous m'avez laissé venir jusqu'ici en sachant parfaitement ce que j'allais devoir affronter en face ?
- Dalillah : bien au contraire Maher. Je ne pourrai jamais vouloir te faire du mal volontairement.
