l'impossible du possible

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J'ouvre les yeux aux urgences.




J'ouvre les yeux aux urgences

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J'étais encore sous l'effet des sédatifs et donc je delirais un peu.




- Moi : Aymar ?





- Hayn : الحمد لله comment te sens - tu Saranah ?




( il me caresse un peu la main et alors j'ai senti une grande différence avec les mains de Aymar qui étaient moins douces )

J'ouvres alors brusquement mes yeux avant de sursauter et m'écarter de lui, après avoir vu que c'étais Hayn.




- Hayn : tu ne m'a toujours pas repondu. Est - ce que tu te sens mieux ?





- Moi : alhamdoulillah je vais bien merci !

( sur un ton sec )





[...] Grand Silence





- Hayn : tu as l'air quelque peu gêné, ais - je fais quelque chose qu'il ne fallait pas ?





- Moi : non tu n'as rien fais. Ne prends juste plus l'habitude de rester aussi près de moi à l'avenir Hayn.

( j'étais très énervée )



- Moi : et ne me touche plus s'il te plaît.





- Hayn : parce que tu as peur de ce qui pourrait arriver ?





- Moi : j'ai surtout peur de Dieu. Tu lui ressemble peut - être, mais tu n'es pas lui Hayn.




- Hayn : est - ce que cela te plaîrai ? voudrais - tu que je le sois ?





- Moi : puis - je savoir exactement de quoi tu es entrain de parler, parce que j'ai peur de te comprendre Hayn ?





- Hayn : je réfléchis encore depuis toutes ces heures pendant lesquelles tu es restée inconsciente et j'en suis arrivé à une décision.

( puis il me regarde droit dans les yeux )



- Hayn : permets moi de t'épouser Saranah, si tu m'acceptes bien sûr 🩶




Ainsi je lève les yeux vers lui pour le foudroyer du regard ; plus qu'indignée par ce qu'il venait de dire à l'instant.





Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant