Jusqu'a la mort

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Dans la soirée, je suis parti prendre une douche et manger une orange que j'ai eu le courage d'éplucher. Ainsi j'ai attendu que toute la villa soit couché avant de sortir une nouvelle fois pour me diriger vers le petit cimetière.

Cette fois - ci je ne salue pas en arrivant car j'étais en colère et avant de m'asseoir sur le sol je lui adresse un avertissement.







- Moi : comme promis je suis là, j'ai toujours tenu parole.









- Moi : mais si tu t'avise encore de recommencer ce que tu m'a fais la veille, tu ne risque plus de me revoir en ces lieux, tu es prévenu.









( je m'asseye ensuite sur le sol et commence à faire le tasbih )

Et au lever du jour comme la veille, je me suis levé pour prendre congé et regagner la villa.








En rejoignant la maison, je tombe cette fois - ci sur mon beau père dans le jardin entrain de faire le cheval à ses petits enfants. Je fais alors deux pas précipités en arrière pour me cacher derrière un arbre et les observer longuement le temps d'un quart d'heure.

C'étais tout juste incroyable pour moi de le voir debout et presque en forme en l'espace de seulement 24h alors qu'à notre arrivée, il était encore dans un fauteuil roulant. Je comprends donc tout de suite le sens de sa maladie : en réalité son mal n'etait pas du tout lié à une maladie naturelle mais plutôt à un état dépressif et ses petits enfants sont sa thérapie.

Je souris alors en les observant jouer avant de me dépêcher de rejoindre ma chambre.

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Je vais donc me rafraîchir pour faire ma prière du matin avant de m'allonger en douceur sur le lit. Je ferme très lentement les yeux et m'endors profondément.

Sauf que mon sommeil n'a pas duré très longtemps car j'ai fais un songe des plus étrange dans lequel j'ai vu Aymar assis entrain de tisser du coton.

Je l'observe longuement en silence. Puis au moment où son tissu commençait à prendre forme, celui - ci se défait encore et il recommence de nouveau le tissage. En l'espace d'un instant il se retourne pour me regarder avec un petit sourire :

- Aymar : est - ce que tu aimes ?

- Moi : oui, c'est très doux

- Aymar : je la tisse pour toi, pour te faire une nouvelle robe.

Une Femme Pour Quatre Frères !Waar verhalen tot leven komen. Ontdek het nu