jusqu'à ce que la mort nous réunisse

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Le même soir du même jour, j'ai assisté de loin à une scène étrange sinon presque drôle pendant que j'étais couché sur lit :

Kenza tweerkait tranquillement dans son coin alors qu'elle jouait dans l'aire de la chambre.




- Moi : noor - Alya que fais - tu ainsi ?





- kenza : uwh ...hh 🧸

(Elle ne m'écoutais même pas et continuait de se mettre à quatre pattes pour balancer joyeusement les fesses en l'air )



- Moi : إن الله وإننا إليهي راجحون




Je l'ai observé longuement ( indignée ) pendant une dizaine de minutes avant l'entrée d'une employée dans la chambre. Celle - ci a tout de suite éclaté de rire en oubliant que j'étais là.




- Nelia : je m'excuse, veuillez me pardonner madame.





- Moi : tu n'as pas à t'excuser Nelia, ne t'inquiète pas.




- Moi : je l'observe aussi danser depuis dix minutes déjà sans savoir moi même, le sens de ce qu'elle est entrain de faire.




Elle affiche un petit sourire précieux à l'instant, avant d'aller faire ce pourquoi elle était venu.




- Nelia : il y'a une superstition sur ce geste dans ma culture Africaine lorsqu'un enfant adopte cette position.




- Nelia : vous ne voulez pas l'entendre ?





- Moi : puisque tu as vraiment envie de me le dire, parle. Je t'écoute.





- Nelia : cela voudrait dire qu'il y'a un autre bébé en chemin. Souvenez - vous que les enfants le sente toujours.




- Nelia : d'ailleurs ne lui est - il pas arrivé de vous donner des petites tapes sur le ventre ces derniers jours ?




- Moi : c'est quelque chose que font tous les enfants de son âge et de manière inconsciente Nélia. C'est de l'innocence pure, et rien d'autre.





- Nélia : ne croyez pas cela madame.





- Nélia : elle ressent probablement ce que vous ne savez pas encore et la jalousie de ne plus être l'enfant préféré la pousse à vous donner ces tapes sur le ventre.



Une Femme Pour Quatre Frères !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant