CHAPITRE QUARANTE-DEUX

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— Mama !!!

Je cours dans la chambre de Anwar et le retrouve en pleure. Ça fait une semaine qu'il fait des cauchemars toute les nuits. Je voulais le faire dormir avec nous mais Imrân me dit que c'est une mauvaise idée.

— Chauchemard...

Je le prends dans mes bras et l'emmène dans la chambre. Imrân me regarde mi fatigué mi déprimé. Je pose Anwar entre nous et il arrête de pleurer.

Il finit par s'endormir tout comme Imrân. J'ai peur pour lui. Je le demande bien de quoi il rêve...

Impossible de m'endormir je prends mon téléphone et commence à lire du Coran. D'habitude cela m'endors mais cette fois ce n'est pas le cas.

Je scroll sur Tiktok, rappelle islamique, trend, sketch, recette... À 5h, je me lève pour faire mes ablutions et prier quelques rakhates dans le salon.

Imrân descend à l'heure de l'Fajr. Il me regarde quelques secondes et vient me prendre dans ses bras. Je lâche quelques larmes et il finit par me relâcher.

— Ça va lui passer emirti tu verras...

Je hoche la tête et on pris l'Fajr ensemble. Mon mari je l'aime. J'ai peut-être pas choisi de me marier avec lui mais je ne regrette pas.

Je m'assoie sur le canapé et il m'intime de remonter. Anwar est allongé en étoile de mer. Je rigole légèrement et Imrân m'embrasse la tempe. Il me fait me coucher et me couvre.

— Tu vas pas dormir ?

— Non je vais lire un peu de Coran, prendre mon petit déjeuner et je vais y aller.

Je me lève pour lui préparé son petit déjeuner mais il refuse.

— Tu vas me manquer aujourd'hui emirti...

Je lui souris et il sort de la chambre. Je finis par m'endormir paisiblement et sans soucis.

Je suis réveillée par des petites mains. J'ouvre les yeux et vois Anwar qui vient m'embrasser le nez.

— T'aime !

— Moi aussi wouldi.

Je serre son petit corps contre moi. Il touche mon ventre et commence à le caresser délicatement. À chaque fois il est émerveillée pcq le bébé donne des petit coups.

— chlam bébé !

Je rigole mais me crispe en sentant un coup. Anwar me regarde de ses petits yeux actuellement tout rond dû à la surprise.

— Mama mal ?

Je hoche légèrement la tête et serre les dents. Anwar fronce ses petits de sourcils et tape mon ventre.

— Michant bébé ! Pas tape tape Mama

— Anwar tu m'a fait mal.

Il me regarde avec ses petits yeux et des larmes apparaissent au coin de ses yeux.

— Padon mama... Bandonne pas moi...

Je le regarde légèrement choquée et le serre dans mes bras. Il croit vraiment que je vais le laisser.

— Je vais pas te laisser hbibi je t'aime tellement...

Chronique de Lamisse : Le meilleure est (A)venir Where stories live. Discover now