17 JUILLET 1995 DIRECTION L'HOTEL FOUR SEASONS A BEVERLHY HILLS
Aujourd'hui est un jour un peu déprimant pour Sydney. Il est dans la voiture de son père et tape son pieds sur le sol. Michael conduit et franchement il n'est pas mieux que lui en terme de déprime. Il serre fort le volant et souffle toute les cinq minutes. Il y a des bouchons et si sa continu ils seront en retard au rendez-vous. Il tourne sa tête vers Sydney et hésite a lui adresser la parole.
"Comment tu te sens ?"
"J'ai pas envie d'y aller papa."
"Je sais mais ont va seulement les rencontrer et ont verra. N'oublie pas ce que je t'ai dit, personne ne nous séparera. Ok ?"
"D'accord."
Michael sors de sens pensées quand il entend quelqu'un le klaxonner. Il passe la deuxième et après quelque minutes la voiture arrive enfin devant l'hôtel. Il soupire de nouveau et encourage son fils a descendre de la voiture.
"Allez viens."
Il le suis et sort a son tour, il donne les clés au voiturier et s'engage vers l'établissement suivi de près par son fils et Bill. Il se rend a l'accueil pour avoir plus d'information sur le lieux de rendez-vous.
"Bonjour monsieur en quoi puis-je vous aider ?"
"Bonjour, ont a rendez-vous avec monsieur et madame Bowie."
"Oui c'est la salle numéro 25. Ils sont déjà la, ils vous attendent. Se sera le deuxième couloir dernière porte a droite."
"Merci bonne journée."
"Merci vous aussi."
Michael lui sourit une dernière fois avant de se diriger vers le chemin indiqué. Ils passent le couloir et arrive enfin devant la fameuse porte. Il se retourne vers les deux personnes le suivant et demande a Bill de rester devant la porte et de les attendre. Il se remets face a la porte et lève la main pour toquer, mais ne le fait pas. Il se baisse sur son fils et embrasse fortement son front. Il fini par toquer et entre sans attendre de réponse affirmative. Il vaut mieux s'imposer que d'être discret. En l'ouvrant il vois une grande table ou trois personnes sont déjà assis. Un des hommes présents se lève et se dirige vers lui, un sourire au lèvres en lui tendant sa main.
"Monsieur Jackson, enchanté de vous rencontrez. Je suis l'avocat de monsieur et madame Bowie. Ils m'ont demander d'être présents aujourd'hui. Venez je vais vous les présentez."
Cette homme parle tellement que Michael n'a pas pu en placer une. Il ne répond pas a cette homme et jette un regard au deux autres personnes. La femme est élégante et la première chose que Michael remarque ce son ses bijoux présent sur ses doigts et son cou. L'homme a l'air d'être grand, ils portent tout les deux un costume. Il s'avance vers eux et tend la main a l'homme qui lui sert en le regardant.
"Bonjour monsieur Jackson. Ravi de faire votre connaissances."
"Merci."
Il ne peut pas lui dire qu'il est ravi de le rencontrez en retour, cette homme va peut être lui enlever son fils.
"Madame Bowie."
"Monsieur Jackson c'est un plaisir."
Michael hoche la tête et se retourne vers son fils qui s'est cacher derrière lui. Il sors de sa cachette et quand Madame Bowie le vois elle se précipite vers lui pour le prendre dans ses bras. Il prend peur et se dépêche de s'éloigner d'elle.
"Qu'est ce qu'il a ?"
"Excusez le il ne supporte pas les contacts sauf avec les gens qu'il connais."
"C'est pas grave il va apprendre. Laisse lui du temps Charlène."
"Oui tu a raison David."
En entendant son prénom Michael ne peut s'empêcher de rigoler.
"Excusez moi."
"Monsieur Jackson je suis né deux ans avant lui."
"Oui pardon." (continu a sourire)
"Et c'est un homme aussi immature qui s'occupe de notre fils!"
"Madame Bowie s'il vous plaît."
"Madame Bowie, premièrement ce n'est pas votre fils, mais le miens. Il na pas encore été prouvé qu'il a le même sang que le vôtre."
"Il na pas le votre non plus."
"Oui mais quand vous n'étiez pas la pour cette enfant qui vivait un enfer c'est moi qui l'est sorti de cette enfer. Qui l'est héberger, élever et sauver depuis 9 ans. Et vous que faisiez vous pendant ce temps ?"
"J'essayais de sortir ma famille de la pauvreté."
"Et c'est seulement maintenant que vous venez chercher votre sois disant fils. Si je savais qu'il était toujours en vie j'aurais tout fait pour le récupérer."
"S'il vous plaît messieurs calmez vous. Ont va s'installer a cette table et en discuter sans faire d'écart."
Les deux hommes finissent par se calmez et s'assoie a la table. Sydney lui est toujours recroquevillé dans son coin attendant que son père vienne le chercher.
"Sydney viens, n'est pas peur."
Sydney respire et se dirige lentement vers lui, lorgnant les trois autre personnes. Il arrive devant Michael et se pose sur ses genoux.
"Non mais je rêve! Il a fait de cette enfant un petit peureux."
"Et vous croyez vraiment que c'est comme sa qu'il s'attachera a vous ? Sachez monsieur qu'il ma fallut du temps avant de pouvoir l'approchez, de pouvoir le prendre dans mes bras. Qu'il m'adresse la parole. Alors sachez que si il s'avère qu'il a le même sang je ferais tout pour qu'il n'aille pas avec vous, parce que apparemment vous ne savez pas élever un enfant."
En entendant se discours Sydney pose son dos sur le dos de son père et passe les bras de Michael autour de son ventre pour un câlins. Cela fait bizarre a Michael, cela fait longtemps qu'il na pas pris son fils dans ses bras.
"Alors que voulez vous ?"
"Premièrement retirez cette enfant de vos bras. Ont ne laisse pas un enfant dans les bras d'un pédophile."
"Faite attention a ce que vous dites."
Ils parlèrent pendant une bonne heure Sydney toujours dans les bras de son père a observer les deux autres personnes qui prétendent être ses parents. Sur la table est exposer la lettre que Michael a reçu il y a un an maintenant. Elle dit d'ailleurs.
"Monsieur Jackson,
Je me nomme Charlène Bowie et je pense être la maman biologique de Sydney. Je l'ai reconnue dans le magazine qui est apparue il y'a de cela maintenant un mois. Le magazine ou votre interview est présente. Pour vous expliquez ma situation il faut remontez jusqu'en 1980. Je suis tomber enceinte alors que ma famille vivaient précairement. Mon mari et moi vivions dans un petit studio dans le Queens. Ayant peut d'argent quand ont la suent, ont a décider de le confier a un orphelinat. Je vous écris pour vous dire que maintenant que notre vie est de nouveau stable, nous voudrions vous rencontrez pour récupérer notre fils. Je vous laisse mon numéro de téléphone pour que l'on se contacte rapidement. Je suis même prête a faire un test de maternité pour que vous le croyez.
Cordialement Madame Bowie."
Quand Michael a eu fini de lire, il a été anéanti. Ont voulait lui retirer son fils. Sois disant qu'ils sont ses parents biologique. Le sang ne compte pas, c'est lui son père. Lui qui la recueilli, élever, protéger pendant toute ses années. Et maintenant deux personnes voulaient détruire tout sa. Qu'il essaie, mais ses ne sera pas sans mal. Parce qu'il se battra jusqu'au bout.
Hey! Comment allez vous ? Je vous souhaite a tous une bonne année et j'espère quelle sera mieux que la précédente. Un petit chapitre pour célébrer cette nouvelle année.