une lueur d'espoir

Chapitre 65

NEVERLAND CHAMBRE MICHAEL LE MÊME SOIR

Michael est dans la salle de bain et se prépare pour allez lui aussi au lit. Lisa elle est déjà installer dans le lit a l'attendre. Elle se demande se qu'il fait. Il est tout simplement devant la glace et se demande si il doit oui ou non enlever son maquillage. Il a déjà été sans maquillage devant les résidents de l'hôpital qu'il occupait pendant sa cure de désintoxication. Mais la pour lui ce n'est pas la même chose. C'est devant la femme qu'il pense aimer, il veut faire bonne impression et sans maquillage il ne se trouve pas a la hauteur. Si il y va sans elle va le trouver affreux, il le sait. 

 "Michael tout va bien ?"

 (sort de ses pensés) "Oui ne t'en fait pas. J'arrive."

Lisa s'allonge et attend une fois de plus. Décidant de finalement abandonner, il repose le coton imbibé de démaquillant et s'en va dans sa chambre presque a reculons. Lisa sourit, mais perd vite se visage joyeux, par un regard interrogateur envers lui. Michael arrive devant le lit, mais n'ose pas lever la tête. Elle se redresse et se déplace sur ses genoux, s'approchant doucement de lui. Elle pose une main sous son menton et le relève pour le regarder droit dans les yeux. Elle y voit de la tristesse et de la peur. Ce qui la rend triste a son tour. 

"Michael qu'est ce qu'il y a ?"

 "Rien t'en fait pas." (enlève sa main) 

 "Michael parle moi s'il te plaît. Je vois bien que tu ne va pas bien."

(s'installe dans le lit) "Mais il y a rien je te dis."

"Michael si tu veux vraiment démarrer une relation avec moi, il va falloir que tu apprenne a me faire confiance. C'est pas en me cachant des choses que je vais vouloir construire une relation solide avec toi."

 "Je sais, excuse moi. Faut juste que tu comprenne que sa fait assez longtemps que je n'ai pas eu de relations avec une femme. Et que avec tout ce qui s'est passer j'ai honte de moi, de mon corps. Je n'arrive même plus a me regarder dans un miroir, tellement je me trouve horrible."

"Michael tu n'est pas horrible."

(une larme perle de son œil) "Si je le suis." 

 (prend son visage dans ses mains) "Hey Michael. Tu crois vraiment que si tu étais moche, je serais ici. Je serais ici a t'attendre dans ton lit. Ou je t'aurais contacter de nouveau après notre rendez-vous. Evidemment tu na pas seulement la beauté. Tu as l'intelligence , une magnifique personnalité et une douceur incroyable. Quand je te vois avec ton fils, tes neveux et nièces, même avec mes propres enfants. Je t'ai regarder mettre mon fils au lit. Tu est l'homme le plus délicat que je connaisse. Michael je commence sérieusement a avoir un profond attachement pour toi. Même si cette attirance était déjà un peu présentes quand je venais voir les Jackson 5. (ricane) Mais la c'est différent, j'ai envie d'aller plus loin avec toi. Et j'ai besoin que tu le fasse avec moi." (lui tend la main)

 (lui prend la main, les larmes aux yeux) "C'est magnifique ce que tu viens de dire Lisa. je te remercie pour ses belles paroles. Je pense exactement la même chose de toi. T'es une femme merveilleuse et tu me comprend. Je te remercie Lisa."

Il se penche vers elle et l'embrasse longuement sur ses douces lèvres. 

Du côté de Sydney tout ce passe bien. Il est descendu dans la cuisine juste après que son père soit entrer dans sa chambre. Sachant qu'une fois rentrer il ne ressort pas, il en a profiter pour se faufiler jusque dans la cuisine. Il vérifie une dernière fois qu'il est bien tout seule et ouvre la porte du frigo. Il regarde dans la porte et ouvre grand les yeux en voyant son trésor. Il prend l'objet enlève le bouchon et commence a boire. Les petites bulles lui picotent la langue, mais cela ne le dérange en rien, au contraire il apprécie. Après l'avoir fini,-la bouteille n'étant qu'a moitié- Il la jette dans la poubelle et en prend une autre qu'il place dans la porte. Michael croira qu'il y a une nouvelle bouteilles parce que les invités du jour avais bu la dernière entamer. Il ferme a peine le frigo, que son ventre se mets déjà a gargouiller. Il sourit malicieusement et remonte dans sa chambre, attendant que le coca agisse. Souvenez vous que Sydney a un estomac très fragile, voila pourquoi Michael ne lui donne jamais de boissons gazeuse ou alors très rarement. Et que provoque du coca chez lui ? Une gastro bien évidemment. 

Il couine un peu du a la douleur. Il n'aurait pas du en boire autant, un verre aurait suffit il pense. Il s'allonge dans son lit, et prend le talkie qui est sur sa table de nuit. 

"Papa ? Papa ?"

Dans la chambre des deux adultes, alors qu'il allaient passer a l'action Michael soupire en entendant le talkie grésiller. 

 "Papa ?"

 (se redresse) "Excuse moi je dois répondre."

(le stoppe) "Non attend ... Laisse le ... Il doit apprendre a se débrouiller seul Mike ... Il vient d'avoir 14 ans ... Je sais que c'est encore ton petit bébé ... Mais il faut le laisser grandir."

 (soupire) "Tu as raison je serais pas toujours la pour lui ... Laisse moi quand même répondre pour le rassurer. Et demain j'enlèverais les talkie."

 "C'est la bonne décision Mike, c'est pour son bien."

(sourit et prend le talkie) "Sydney qu'est ce qu'il se passe ?"

 "Papa j'ai mal au ventre."

 "Tu as mal comment ?"

"Sa fait des crampes et je crois que j'ai la diarrhée."

"D'accord tu prend une protection pour ton lit, et un médicament et repose toi. D'accord ?"

"Mais je sais pas ou c'est. Viens."

"Sydney je suis occuper. Les alaises sont dans ton armoire, et les médicaments dans la salle de bain. Si tu as trop peur mets une couche. (Lisa lui pousse l'épaule) Allez repose toi mon ange. Passe une bonne nuit. Et ne viens pas dans ma chambre tu le sais." (éteins le talkie) Tu a raison, j'ai bien fait de lui dire tout sa. Comme sa il sera. Bon ont en était ou ?"

Lisa sourit et indique a Michael qu'ils en étais sous les couvertures. Il sourit a son tour et reprend son affaire. 

Du côté de la chambre de Sydney sa chauffe. De rage il balance le talkie contre le mur, l'objet explose en morceau a cause de la puissance du choc. Il ne va pas se laisser faire. Il est sur que c'est de sa faute a elle. En rechignant il prend tout ce que son père lui a indiquer et fini par se coucher, pour s'endormir avec des crampes d'estomac.