L'art de la Nudité {Terminé}

By AlbaneF

430K 19K 1.5K

Elle est libertine, il est son prof. Alors que Sy fait vivre toutes ses envies, même les plus sulfureuses, el... More

Partie 1
Partie 2
Partie 3
Partie 4
Partie 5
Partie 6
Partie 7
Partie 8
Partie 9
Cast
Partie 10
Partie 11
Partie 12
Partie 13
Partie 14
Partie 15
Partie 16
Partie 17
Partie 18
Partie 19
Partie 20
Partie 21
Partie 22
Partie 23
Partie 24
Partie 25
Partie 26
Partie 27
Partie 28
Partie 29
Partie 30
Partie 31
Partie 32
Partie 33
Partie 34
Partie 35
Partie 36
Partie 37
Partie 38
Partie 39
Partie 40
Partie 41
Partie 42
Partie 43
Partie 44
Partie 45
Partie 46 Jade
Partie 46 Tim
Partie 46 Margot
Partie 46 Sybille 1/2
Partie 46 Sybille 2/2
Partie 47
Partie 48
Partie 49
Partie 50
Partie 51
Bonus Lemon
Partie 52
Partie 53
Partie 54
Partie 55
Partie 56
Partie 57
Partie 58
Partie 59
Partie 60
Partie 61
Partie 62
Partie 63
Partie 64
Partie 65
Bonus Lemon
Partie 66
Partie 67
68 - Le bal - Préparatifs
69 - Le bal - Attente(s)
70 - Le bal - La fosse
71 - Le bal - Louis
73 - Le bal - Demande officielle
74 - Le bal - Le prix
Partie 75 1/2
Partie 75 2/2
Partie 76
Partie 77
Partie 78
Partie 79
80 - Le réveillon - Léo
81 - Le réveillon - Sy
Partie 82
Fin.

72 - Le bal - Léo

2.4K 160 28
By AlbaneF

Salut. Salut. Un petit... lol un LONG chapitre sur notre chouchou d'amour. Tout mignon, tout doux. Aussi apaisant qu'un baume... OK, j'arrête les guimauves et vous souhaite bonne lecture. ;) A. 

La soirée était plate. Depuis le bar qu'il avait élu quartier général, Léo observait les invités. Tous tirés à quatre épingles, le prof se demandait combien de temps ces gens avaient passé devant le miroir pour avoir ce résultat.

Flûte de champagne en main, maquillage soigné, élocution distinguée... Cette réception transpirait le m'as-tu-vu. Ces gens n'étaient pas là pour les peintures ou les photos exposées. Ils étaient là car le photographe du Gala était présent, et qu'une parution dans le magazine jet-set pouvait propulser leur image au rang le plus snobe de la bourgeoisie française.

Pourquoi Léo était-il venu ? Assurément pas pour cette raison. Sa chemise Monop' et sa cravate trouvée aux Puces n'allait pas attirer l'objectif du photographe. Il n'était pas venu non plus pour l'exposition. Quoi que... Voir Solez se faire battre par un photographe avec de meilleures relations ou un talent plus grand pouvait être un plus.

Non, il était venu pour la voir. Mais jusqu'à présent, Léo avait eu droit à de minuscules minutes avec Sy avant que ce prétentieux ne vienne l'emmerder.

Un verre de wisky à la main, le prof décampa du bar et alla faire le tour des photographies exposées. Léo prit soin d'esquiver Pruvot qui continuait de discuter avec Mattéo et Claire. Il était arrivé à cours de flatterie et maman Ours-Pruvot commençait sérieusement à le gonfler.

Les artistes proposaient ce soir un large éventail de sujets audacieux. Abstrait, surréaliste, psychédélique, photo-montage, et même monochromique. Mais évidemment, le sujet qui attira le regard et les pas du professeur d'art était un sujet vieux comme le monde : les courbes d'une belle fille.

Figé devant les six photos de Mattéo, Léo ne sut dire laquelle était sa préférée. Chaque angle, chaque lumière et tous les cadres que le lycéen avait choisi sublimaient la perfection de Sy à part égale.

Léo but une gorgée d'alcool lorsque son attention se porta sur la légende sous chaque photo : le prix de départ pour les enchères. Une chose était sûre, le jeune Solez n'était pas un artiste dans les nuages. Non, il avait les pieds sur terre et le sens des affaires.

Le prix de départ d'une seule photo correspondait à un mois de salaire. Léo faillit recracher le wisky encore dans sa bouche.

_Plutôt pas mal la copine de mon cousin, n'est-ce pas ? S'écria Gio qui sortait de nulle part.

Le barman passa son bras sur l'épaule de Léo tout en contemplant les photos.

_ Ça doit être pas mal d'être prof, finalement. Dit-il en portant sa bouteille de bière à la bouche. Avoir des petites nanas comme ça sous tes ordres toute la journée, ça doit être bandant, non ?

_ Pardon ? Dit Léo en fronçant les sourcils.

_ Ah ouais, c'est vrai. T'as pas le droit de coucher avec tes élèves. Alors que moi, je peux coucher avec toutes les clientes que je veux. Et même avec tes élèves si je veux... Rigola nerveusement Gio.

Mais le rire gras et imbibé d'alcool de Gio s'arrêta à l'instant qu'il prit conscience de ce qu'il venait de dire. Anxieux, il vérifia autour de lui pour s'assurer que Claire était suffisamment loin pour qu'elle ne puisse l'entendre.

La voyant à plusieurs mètres de là, en train de rire, sublime dans sa robe bleue, il respira à nouveau. Un hoquet le surprit. Gio porta sa main sur sa poitrine tremblante et tituba malgré lui.

_ Oh putain, le con. Soupira-t-il en se rattrapant à la chemise de Léo.

_ Tu te sens bien ? Demanda Léo.

_ Je vais vomir.

_ Wow, pas ici. Se pressa-t-il de dire.

Léo agrippa les épaules de Gio et le traîna jusqu'à une salle à l'écart de la fête. Le grand blond courut soudainement vers un podium qui accueillait une grande jar greco-romaine et... Ce qui devait arriver arriva.

D'abord dégoûté par les bruits de régurgitation de Gio, Léo regarda autour de lui pour s'assurer qu'ils n'avaient pas de spectateurs.

Gio râla en s'asseyant sur le bord du podium. Léo fouilla ses poches et trouva par miracle un paquet de mouchoirs presque vide. Il tendit le dernier Cleanex à Gio et s'assit près de lui :

_ Tu te sens mieux ?

_ Non. Grommela-t-il en s'essuyant la bouche. Je suis grave stressé. C'est cette soirée... J'ai peur de gaffé avec Claire. De dire un truc et qu'elle me grille en deux secondes.

_Quoi ? T'as fait un truc qu'elle ne doit pas savoir ? T'as couché avec sa meilleure amie ? Se moqua Léo.

_ Pire.

_ Avec qui ?

Gio n'eut le temps de répondre. Le goût acide dans sa gorge lui leva le coeur. Il se releva et se précipita une nouvelle fois vers la jar.

Léo se leva à son tour et se frotta la nuque. Il n'était pas venu ce soir pour être la nounou d'un infidèle aux scrupules nauséabonds :

_ Ok, je vais... Je vais chercher de quoi t'essuyer. Dit-il en s'éloignant à reculons.

Pensant retourner vers la fête et l'open-bar, Léo s'en éloignait encore plus. Ce fut là qu'il marcha sur quelque chose. Il saisit la boule de papier à ses pieds et la défroissa.

Sa bouche devint soudainement sèche. C'était son écriture, ses mots, ses rimes vraiment nulles.

Son coeur s'affola. Qu'est ce que ce papier faisait là ? Alors qu'il commençait à croire que son imagination lui jouait un tour, Léo entendit la voix de Sy au dessus de lui :

《_ Je ne suis pas à toi Louis.

_ C'est moi qui t'es révélé au monde. C'est moi qui ai fait naître en toi un quelconque intérêt aux yeux des autres. C'est moi qui...》

_ Monsieur ?

Léo sursauta. Alors qu'il tendait l'oreille pour comprendre ce qu'il se passait juste au dessus de sa tête, un homme d'une vingtaine d'années avec un badge au logo du musée posa sa main sur son épaule :

_Est-ce que cet homme est votre ami ? Demanda-t-il en désignant Gio, la tête encore dans la jar antique.

_ Pas vraiment.

_Pouvez-vous lui dire de ne pas vomir dans les oeuvres d'art ? Dit-il avec un de ces sourires qui ne voulaient pas dire s'il vous plaît mais et grouilles-toi connard !

_ Certainement. Répondit Léo avec le même sourire hypocrite.

L'homme fit une révérence tout à fait inutile et se dirigea vers une volée d'escalier en pierre.

《_ Tu es un vrai psychopathe.》

Le prof d'art fut tenté de le suivre pour découvrir ce qu'il se passait là-haut. Pourquoi Sy employait des mots aussi forts à l'égard de ce type.

Mais lorsqu'il entendit les deux hommes redescendre, son instinct lui dicta de retourner rapidement auprès de Gio. Léo s'arrêta lorsque l'odeur repoussante de Gio lui vint au nez. Il tourna volontairement le dos aux hommes qui passèrent près d'eux sans leur porter de l'importance. Jusqu'au moment où Lutz s'apprêtait à quitter la salle.

Le Comte se retourna sur Léo et Gio. Les yeux moqueurs et le menton légèrement levé, il se moquait à mi-mot de l'état lamentable de Gio. Ou bien se moquait-il aussi de Léo pour une raison qu'il ignorait ?

Cette question en suspens et le regard supérieur de Louis sur lui énerva le professeur. À la seconde que Lutz sortit de la salle, Léo abandonna Gio à son sort et retourna vers la mezzanine.

La salle était noire, sûrement cet employé du musée qui avait éteint le chandelier une fois sorti. Dans le noir donc, Léo monta rapidement l'escalier de pierre puis tapota les murs à la recherche d'un interrupteur.

Personne ne se trouvait sur la mezzanine. Sy était peut-être sorti par une autre porte. Ce fut sur cette réflexion que Léo pénétra dans une autre salle.

La pièce étaient peuplée de statues de pierres, des représentations des anciens dieux pour la plus part. Cette salle était moins obscures que l'autre. Un majestueux dôme de verre éclairait les dieux immobiles par un délicat rayon de lune bleu.

Les murs étaient recouverts de grandes toiles de peintres classiques. La pénombre de la nuit ne laissait apercevoir que les couleurs les plus claires des peintures, laissant les parties sombres invisibles.

Néanmoins, même si le fond de la salle restait dans l'ombre, le soleil était là, assis de dos sur un banc, contemplant un tableau dans la presque obscurité.

Léo s'approcha de Sy en silence. Son élève semblait complètement happée par le tableau en face d'elle. Tellement absorbée qu'elle eu un sursaut lorsque son prof s'assit à côté d'elle.

La première réaction de Léo fut de sourire, il ne se croyait pas capable de la surprendre. Mais son sourire se volatilisa lorsqu'il la vit essuyer des larmes sur chacune de ses joues.

Ce type l'avait encore fait pleurer. Que ce passait-il entre eux pour qu'elle se mette dans un tel état ?

_Ce type...

_ Je ne veux pas en parler. Intervint aussitôt Sy.

Coupé net dans son élan, Léo ne sut quoi dire. Le sujet était clos et la situation était gênante. La voir pleurer le rendait terriblement mal à laise.

Il ne connaissait pas le pourquoi. Ni le comment. Léo savait juste qu'il ne supportait pas une once de tristesse sur le visage de sa muse.

Il fixa à son tour le tableau installer en face du banc. Il représentait une femme assise par terre, de dos. Elle tamisait une poignée de grain de blé tandis que d'autre personnages figuraient en arrière plan.

La technique du peintre était absolument maîtrisée. Mais Léo ne compris pas la concentration totale de son élève sur cette scène très commune pour l'époque.

_Tu aimes cette toile ?

Sybille ne répondit pas. Elle regardait droit devant elle et réussit à assécher ses yeux. Il fallait tenir assez longtemps, le temps que Léo comprenne qu'elle voulait rester seule et pleurer en paix.

_ Tu sais que la fille de dos, ce n'est pas du tout une paysanne ? Commença-t-il sur un air enjoué. Elle fait comme si elle s'y connaissait en moisson et tout ces trucs de pauvres. En fait, c'était la fille d'un grand aristo'.

"Je t'en prie, vas t'en. Je me sens déjà assez minable comme ça. Je n'ai pas besoin de témoin."

_Elle s'était éprise du peintre qui était très en vogue à l'époque. Mais il ne peignait que des scènes de vie paysanne et il détestait les bourges. Du coup, pendant des semaines elle s'est fait passé pour une autre dans l'espoir qu'il la regarde tel qu'elle était à l'intérieur.

"Quoi ? Il me fait un cours ?"

Sybille sentait son regard sur elle. Mais il était inenvisageable de le regarder. La jeune fille garda les yeux rivés sur la toile, tentant de trouver un détail dans la façon de faire du modèle qui trahirai son identité.

Une aristo dans la peau d'une autre... Cela lui rappelait vaguement quelque chose.

_ Lui de son côté, souffla Léo contre son épaule, il est tombé amoureux de sa nuque. Pendant des jours, il passait son pinceau de son oreille à son épaule...

"Non, s'il te plaît..."

Léo posa délicatement le revers de son index dans son cou. Sybille dû fermer les yeux pour contrôler ses frissons. Le doigt du professeur dessina une ligne indélébile jusqu'à son épaule.

_ Le jour où le peintre à fini le tableau, il lui a avoué son amour. Et elle aussi. Murmura à présent Léo.

_Et ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants ? Récita Sybille sans réfléchir.

Cette histoire était tellement prévisible...

_ Non, réfuta fièrement Léo, la fille avait passé des semaines la gorge à l'air. Elle a attrapé froid et est morte une semaine plus tard.

Surprise par cette chute étonnante, Sybille tourna la tête sur son professeur. Il regardait à nouveau la toile et sirotait l'air de rien son wisky. La jeune fille détaillait le profil de son professeur et remarqua malgré la pénombre ses lèvres se courber :

_ Tu viens de tout inventer ?

_ Ouais, j'avoue, j'ai menti. Rit Léo. Je connais même pas le nom du peintre.

_ Baratineur. Finit par sourire Sybille.

_Oh moins, j'ai fait réapparaître ton merveilleux sourire.

L'hilarité de Léo était agréable. Son rire réchauffait les veines glacées de Sy. Elle appréciait la manière dont Léo arrivait à la sortir de ses songes. Il suffisait d'une blague, d'un regard.

Mais son rire aussi délicieux soit-il ne suffit pas à chasser les pensées noires de Sy cette fois là. Elle tremblait encore à cause de Louis. À cause de ses menaces dont elle prenait enfin conscience.

La liberté n'était pas encore à portée de main. La main de Sy palpitait. Le sang revenait timidement dans ses doigts. Louis avait serré tellement fort son poignet... Sy sentait encore la chair de poule entre ses doigts lorsqu'elle caressait son bras endoloris.

Et la chair de poule se généralisa dans tout son corps quand Léo prit délicatement sa main :

_ Sy. Tu me le dirais si il te faisait du mal ?

_ Non. Dit-elle en reprenant sa main.

_Tu sais que je suis capable de lui casser la gueule ?

_ Professeur. Menteur. Et bagarreur ? Sourit Sy.

_ Tu serai surprise de connaître toutes les facettes de ma personnalité. Dit-il d'un ton faussement mystérieux.

_ Et toi les miennes...

Elle essayait de sourire, en vain. Et puis, pourquoi faire ? Pour sauver les apparences ? Prétendre qu'elle aussi plaisantait ? Non. En réalité, Léo ne serrai pas surpris de connaître ses facettes dissimulées. Non, il serrai d'abord choqué puis écoeuré.


Léo vit son élève resombrer dans ses songes. Sy se fondait de plus en plus dans l'ombre de la nuit. Il saisit doucement son menton et le leva pour la regarder droit dans les yeux :

_ J'adore les surprises.

Léo posa son verre sur le banc et sortit le message de sa poche pour le tendre à Sy :

_ Il sait pour nous ? C'est pour ça qu'il...

_ Il n'y a pas de nous, Léo. Le coupa-t-elle en prenant le bout de papier.

"Ok mademoiselle Gronchon, arrêtes tes conneries maintenant."

Alors que Sy commençait à se lever du banc, Léo la fit rasseoir. Il mêla ses doigts dans sa tresse et ne tarda pas à respirer son parfum au plus près. Son nez frôlait d'abord sa joue, puis la commissure des ses lèvres.

Il plongea son regard dans celui de Sy. Dans la nuit, le prof d'art ne distingua que la couronne d'or de son oeil gauche. Le reste était invisible. Mais quelle importance ? Léo avait depuis longtemps mémorisé chaque centimètre de son visage.

Il embrassa sa bouche qu'elle aimait maquiller en rouge. Ses doigts se nouèrent à ses cheveux qui lui arrivaient presque aux fesses une fois détachés. Et ses fesses... Léo n'avait qu'à penser au mot pour imaginer leurs courbes et leur fermeté.

Il la connaissait par coeur. Et il en était tout autant pour Sy. Elle était la seule qu'il avait autorisé à connaître si bien.

Léo descendit ses mains dans son cou, sur ses épaules, cheminement langoureusement jusqu'à ses mains. Il posa la main droite de Sy contre son torse tandis qu'il appliqua sa propre paume entre les siens de Sy.

À bout de souffle, le professeur mit un terme au baiser. N'étant plus sous l'effet électrisant que lui procurait chacun de leur baiser,  Léo compta les pulsations de Sy.

Son coeur était au creux de sa main et battait au même rythme que le sien. À l'unisson.

Par coeur.

_ Menteuse. Sourit-il.

_ Ne me laisse pas tomber...

"...Amoureuse de toi."

_Jamais. J'espère bien un happy end pour nous deux.

Il espérait. Mais Sy savait pertinemment où menait l'espoir. Au désastre. Et c'est pour échapper à cette fin inéluctable que Sy avait bannit l'espoir de son répertoire.

Et pourtant, c'était bien la pointe de l'espérance qui lui piquait le coeur.

Elle aussi, elle espérait. Elle souhaitait de toutes ses forces que cette histoire connaisse des ils vécurent heureux, que les méchants découvrent leur côté gentil et personne ne soit blessé.

Mais la vie n'était pas un conte de fée. Les méchants se révélaient finalement encore plus pervers et sans scrupules. Les gentils souffraient toujours injustement et très peu d'histoires d'amour finissaient bien.

Et pourtant, elle aussi, elle espérait.

Sy reposa sa tête sur l'épaule de Léo. Désormais dans un silence plus relaxant, les deux amants méditèrent sur la toile face à eux : L'aristo et le peintre, y-allait-il avoir une fin alternative ?

Soudain, la lumière jaillit du plafond.

_ Ah, te voilà. Je te cherchais partout.

Sy se retourna lentement comme si elle venait de se réveiller d'un long sommeil. Elle papillonna des yeux lorsqu'elle reconnut Mattéo sous une lumière aveuglante.

_Pourquoi vous êtes dans le noir ? Demanda Matt, intrigué.

Continue Reading

You'll Also Like

29.4K 1K 23
Prendre la pilule Optilova, et ouvrir le préservatif avec les dents ? Ça, c'est terminé pour moi. Faire ces deux choses m'en ont appris trois : J'ai...
1.3K 150 18
- PAUSE - Lorsque tout a changé à Gotham, et même dans le monde entier, j'étais la seule à croire encore à une amélioration. J'étais la seule à pense...
37K 1.6K 19
Un criminel et une fille banale, le début d'une grande histoire d'amour...
14.9K 474 8
Moi et mon frère on a perdu notre parent, moi j'avais 6 ans et mon frère 8 ans. Et maintenant moi j'ai 13 et mon frère 15 ans. Liam Payne décide de n...