Chapitre 29: Même si un jour je te trahis ,fais en sorte...

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" Même si un jour je te trahis, fais en sorte de ne jamais me détesté."


Dans la peau de Nelyssa

Je me réveil à 7h30 je me prépare pour le rdv de Souleyman je m'habille bien quand même un jean noir avec un chemisier blanc et un blazer avec des mocassins je suis dans la cuisine ma mère rentre.

Maman : Bonjour t'es matinal aujourd'hui.

Moi : J'ai rendez-vous avec mon maître de stage le professeur Diallo.

Maman : Un jour si dieu veux-tu sera au même échelons.

Moi : InshaAllah.

Elle me regarde surprise.

Maman : Tu à fais ton choix ?

Moi : Comment ça ?

Maman : Tu viens de dire inshaAllah.

Moi : Ah non je sais pas encore maman.

Maman : Alors n'utilise pas des mots aussi forts si tu n'en connais pas le sens réel le jour où tu choisiras la tu pourras employer ces mots.

Moi : De bon matin tu me fais le moral.

Maman : Non ma fille je te conseil c'est tout.

Je lui fais un câlin et je quitte la maison car Ousman m'a dit qu'il était en bas j'arrive je monte derrière je vois Souleyman très propre sur lui bien habillé par contre je vois Ousman en jogging tee-shirt.

Ousman : Mdrrrr fallais me dire qu'il y avais un code vestimentaire.

Souleyman : C'est logique non ?

Moi : Mdrrrr tu t'en fou de toute façon tu assisteras pas au rdv.

Ousman : Bah oui c'est pour ça j'ai pas fait d'effort sinon je vous tue tous les deux.

Souleyman : Calme ton mec Nelyssa.

Moi : J'abandonne fais le toi.

On rigole je lui indique le chemin on arrive dans les quartier chic de Paris après quelque minute de route on arrive devant la clinique.

Souleyman : Putain je stresse d'un coup.

Ousman : Tu vas assuré.

Moi : Mais oui et puis tu verra le professeur est vraiment top il te mettra à l'aise.

Ousman : Nelyssa je rentre dès que vous avais fini appel moi je reviens vous cherché.

Nelyssa : Te casse pas la tête on prendra le bus.

Souleyman et Ousman se sont regardé et on commencé à rire.

Moi : Pourquoi vous riez.

Ousman : On à jamais pris le bus de notre vie.

Moi : Et après ?

Souleyman : La foule c'est pas trop mon délire Nelyssa.

Je lève les ciels.

Moi : Lol scuser nous les gosses de riche hein.

Je descends avec Souleyman et Ousman repart on entre je vais à l'accueil on nous dit de patienté.

Souleyman : Putain c'est trop la classe imagine un jour je taff ici.

Moi : Un jours tu seras à la tête d'une clinique comme cel ci.

Souleyman : Seulement si tu es mon associé.

On se tchèque.

Et puis le professeur viens ver nous le courant est très vite passé entre les deux je vous passe le rendez-vous qui c'est super bien passé et tellement bien que le professeur n'a pas prit le temps de la réflexion.

«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »Where stories live. Discover now