Chapitre 15 : Deux personnes qui se regardent dans les yeux ..

136 2 0
                                    


"Deux personnes qui se regardent dans les yeux ne voient pas leurs yeux mais leurs regards."

Voila vous connaissais un peu plus ma vie après ce drame j'étais devenu beaucoup plus dure avec tous le monde beaucoup moins clément j'en voulais à tous le monde et c'est pour ça aussi que je comprends pas mon comportement avec Nelyssa walah depuis que Omar est partie j'ai plus trouvé cette personne avec qui je pourrais passé des décennie sans me lassé cette personne avec qui ta aucune gêne cette personne qui quoi que tu fasse ne te juge pas et reste la à t'épaulé j'ai des choses dans le crane qui me pousse à me dire que cette Nelyssa bah c'est Omar qui l'a mis sur ma route je vois en elle la relation que j'avais avec Omar au de la du fais que c'est ma meuf que j'ai envie d'elle tout le temps elle me renvoi la même relation fusionnel que j'avais avec mon frère.

Je peux pas le nié je déteste Koffy mais sans lui et ces connerie bah elle serais jamais venu en prison et je l'aurai jamais connu malgré je me dit qu'au fond de moi quelque soit la manière ou l'endroit ou le moment je suis qu'elle aurais fini par entré dans ma vie par tous les moyen.

Je vous passe la semaine je me suis concentré exclusivement sur mon frère je lui parlé de notre famille des projet qu'il pourrais avoir plus tard son humeur varié quelque fois il était heureux apaisé il rigolé on se tape des barres sur et d'autre fois il deviens complètement fou à me tapé a vouloir se détaché s'enfuir et même mettre fin à ces jours.

On es vendredi matin je reprends la route dans 1h je monte voir Souleyman il es assis sur son lit quand je rentre il me regarde il es calme.

Moi : Je vais partir je reviens bientôt.

Lui : La dernière fois que tu m'a dit ça tu es pas revenu depuis 10 ans.

Moi : Je suis partie 3 ans Souleyman pas 10.

Lui : C'est quoi la différence entre 3 et 10 quand ta vie se résume à être enfermé ici.

Moi : Tu sais..

Lui : Que c'est pour mon bien ouais je sais mais laisse-moi mourir Ousman donne-moi cette chance de rejoindre Omar c'est lui qui doit être sur terre pas moi.

Je ferme les yeux et sert les dents j'ai encore beaucoup de mal à parler de Omar tous les souvenir me remonte on nous appelé les même je te jure notre surnom s'était « les même » on disait y'a les même qui son arrivé , ya des fois ou ça m'arrive d'entendre son rire dans ma tête Omar s'était la gentillesse incarné loin de tous les problème de rue il voulait devenir Coach sportif et construire ces propre salle il était rempli de projet et même si moi j'ai vite pris le chemin du Trafic et que lui étais contre on est resté proche tous les deux des bizness man mais dans deux domaine différent mes parents ont toujours étais aisé en vrai ont pas connu la misère on à toujours habité dans des belle baraque mon père à une entreprise dans le bâtiment et hamdouleh il a toujours bien gagné sa vie disons qu'à l'époque quand je me suis mis dans le trafic s'était pour paraitre plus dur plus rebelle crise adolescent tu connais et puis j'y es pris gout l'argent facile l'adrénaline j'ai grimpé les échelons et je suis devenu le boss et c'est connu une fois que tu goute à sa c'est très dur d'en sortir en vrai malgré on avais une vie tranquille le soir on se retrouvé tous le temps à la même table pour mangé une tradition que nos parents avais imposé si tu avais le malheurs de manqué à l'appel t'avais intérêt à avoir une bonne raison sinon t'étais mort quand je repense à ces moment je sourie comme un con mais après la mort d'Omar tous es devenu froid à la maison y'avais plus les rassemblement d'avant y'avais plus de rire plus de joie et quand Souleyman à suivi sa a anéantie ma mère cette femme exeptionnel qui à dus surmonté ça la perte de 2 enfants.

«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »Where stories live. Discover now