Chapitre 23: On part.

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« On part »

Dans la peau de Nelyssa

Je vous passe jusqu'au jours du départ en Thaïlande je me suis réveillé grave tôt à 3h du sbah j'ai à peine dormis notre vol est ce soir à 19h ducou on prend la route pour Marseille maintenant pour être large j'embrasse fort ma maman elle me dit de faire attention tout ça tout ça je vais dire au revoir à Koffy qui m'a à peine calculer ce bouque trop concentré dans son sommeil je mets un jogging simple je prends ma voiture et je descends Ouss m'attend en bas.

J'arrive devant la voiture il sort prendre ma valise on se n'est pas embrassé rien il est 3h du matin doucement chacal mdr je monte dans la voiture je mets mes meilleure air pods je prends ma meilleure position et il prend la route dans le plus grand des calmes j'essaye de dormir mais j'y arrive pas les nuits d'été sont les plus belle le ciel est rempli d'étoile se soir j'admire ça avec le son de Booba petite fille en fond dans la Mercedes de Ousman le son est juste parfais et le moment ou Booba dit :

«  A m'assoir sur un banc en tenant dans ma main tes petit doigt de femme , tu me laisse croire que dieu est grand je tomberais pour toi plus jamais pour des kilogramme ».

Ousman a pris ma main et la serré je les regardé et j'ai souris lui pareil des fois avec Ouss on à pas besoin de parler tous passe par le regard.

Après quelque heure de route il est 5h du matin on s'arrête à une station essence et j'avais pas remarqué qu'on est habillé pareil bae et moi un ensemble de jogging gris avec une paire presto blanche on sort de la voiture il sourit.

Ousman : Lehsse moi non.

Moi : Meskine c'est toi tu prends exemple c'est bien c'est bien.

Il me tire vers lui et passe son bras autour de mon coup on s'approche de la station on prend un petit déj on mange tranquille Ousman ce lève pour aller chercher un truc quand la un mec viens vers moi depuis taleur il me regarde tapette pourquoi tu viens pas quand y a Ousman.

Lui : Salem la miss.

Je le toise du regarde.

Lui : Mdrrrr calme cousine t'a pas un snap ?

Moi : Tu ne vois pas que je suis accompagné le respect est mort ou bien ?

Lui : Je suis pas jaloux miss.

Et là j'ai rien compris je vois le mec ce faire tirer par le col jusqu'à la sortie c'est Ousman bien évidement je l'es suis on sait jamais il le tue.

J'arrive je vois il lui donne une baffe phénoménal et la le choc quand je vois une femme arrivé avec un bébé dans les bras et dire.

Elle : Au secours !!! lâché mon mari !

Un seul mots pour ce mec ECOEURANT.

Ousman : Rapproche toi encore de ma femme je t'arrache la tête.

Et il le lache d'un coup je regarde la femme elle avais l'air complètement perdu.

Moi : Ton mari m'a dragué donc fais attention vraiment.

Je prend Ousman par le bras et on part en direction de la voiture je me retourne et je vois la femme mettre une baffe à son « mari » il l'a pas volé.

«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »Место, где живут истории. Откройте их для себя