Chapitre 67: Décomposition.

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"Décomposition"

Dans la peau Nelyssa

J'ouvre mes yeux pendant un instant je me suis demandé si tout ça n'était pas un rêve mais quand j'ai pris mon téléphone pour voir l'heure je vois des centaine de message de mes amis famille mes beau parents des appels en absence j'ai juste eu le temps de voir qu'il été 7h du matin que mon portable c'est éteint il a planté à cause de toute les notification je soupire c'est bien réel je me retourne pour voir Ousman mais il n'est pas là je me lève et comme je suis médecin je sais que à ce moment précis je ressent toute les douleurs fois mille car mon cerveau a l'information que je suis malade et que donc il peut m'envoyer tout ce qui me fais du mal j'ai mal au cœur au ventre et je suis fatigué malgré que je viens de me lever mais je tiens à m'occuper de mes enfants pendant que je le peux encore il est encore tôt pour l'es réveillé alors je met mon peignoir et je cherche Ousman je descend au salon je le trouve assis sur le canapé à regardé le sol.

Moi : Ousman ?

Il me regarde ces yeux son rouge a la couleur du sang il a des cernes de fou et je remarque ces mains ont des traces comme si il avais tapé quelque chose très fort il ce lève et viens vers moi.

Ousman : Quesque tu fais debout va te reposé on doit allé a la clinique après.

Moi : Je veux m'occupe des enfants Ousman je me sens bien.

Il regarde l'heure.

Ousman : Il est tôt encore viens.

Il me porte et s'assoie sur le canapé et m'assois sur ces genoux.

Moi : Tu sais que je peux encore marché bébé.

Il enfouis sa tête dans mon coup et ne répond pas.

Moi : Mon téléphone à planté a cause du nombre de message tous le monde est au courant ?

Ousman : Ouais tous le monde est détruit.

Moi : Je suis désolé de vous infligé ça.

Il me regarde d'un coup avec les sourcils froncé.

Ousman : Comment tu peux encore t'excuse Nelyssa ? C'est moi qui doit te demander pardon chaque jour de ma vie je t'es apporté que du mal si je me bute pas tout de suite c'est parce que t'es la mais si un jour Allah t'enlève à moi je me tue pour te rejoindre Nelyssa.

Mes yeux se sont remplis de larmes mon cœurs ce sert si fort.

Moi : Je t'interdis de dire ça si un jour je pars je veux que tu restes fort pour nos enfants la vie ne l'es a pas épargné ne leurs inflige pas deux douleurs encore plus forte.

Ousman : Je peux pas imaginé ma vie sans toi wAllah c'est impossible.

Moi : Regarde moi.

Il me regarde dans les yeux.

Moi : Même si il y a 1% de chance pour que je m'en sorte je te promet de me battre jusqu'au bout je vais pas me laissé abattre j'ai confiance en Allah on va se battre ensemble d'accord je te promet d'être la jusqu'au bout n'oublie pas tu l'a dis toi-même je suis une lionne.

Il me regarde pendants un long moment pose sa main sur ma joue.

Ousman : J'aimerais être aussi fort que toi ma vie wAllah t'es un exemple pour moi.

Il m'embrasse doucement la bouche j'ai l'impression qu'il ne veux pas me faire du mal je le trouve tellement doux.

Ayden : Maman ça va ?

Je me tourne et je vois Ayden debout dans l'escalier je me lève des genoux a Ousman.

Moi : Viens mon chérie je suis désolé pour hier maman a eu très mal dans le ventre mais ça va mieux aujourd'hui.

«Citer la pensée de l'autre c'est regretter de ne pas l'avoir trouvée soi-même »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant