Recueil de one shots autour d'Ivar the Boneless. Les histoires mettent en scène l'Ivar de la série (période viking donc) aussi bien qu'un Ivar moderne.
Il est possible qu'à l'occasion, avec l'accord de l'auteur, je traduise l'un ou l'autre one shot...
Le couple : Ivar x lectrice (Y/N = your name = ton nom)
Remarques : je sèche depuis des jours sur un OS et j'ai péniblement écrit 1800 mots en cinq jours. Et là, tard ce soir, une idée loufoque m'est passée par la tête et j'ai couché plus de 2300 mots sur papier (sur écran) en moins de deux heures...
C'est le truc le plus débile que j'aie jamais écrit et je me sens vaguement honteuse. Prenez-le comme une simple fantaisie, sans prétention aucune.
Si vous n'avez pas lu "Des pancakes au lit, encore ?" c'est probablement mieux de le faire en préambule.
Dans un désir de simplification, on part du principe que la lectrice est anglophone et que les dialogues sont en anglais.
Le gif, posté originellement sur Tumblr, appartient à Ivaraddict.
Avertissements : mes idées débiles et mon écriture pas soignée du tout.
Mots : 2360
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Tu ouvres paresseusement un œil lorsque des ronflements te tirent de ton sommeil.
Des ronflements ??? Comment ça, des ronflements ? Tu dors seule depuis... depuis... ??? Depuis si longtemps que tu ne sais plus depuis quand !
L'instant d'après, tu es parfaitement réveillée et pousses un petit cri lorsque tu réalises qu'un homme est couché à côté de toi. Dans ton lit. Sous tes draps. Une vague de panique t'envahit. Qu'est-ce que tu as fait hier soir? La fête ? Tu as bu ? Mangé des champignons ? D'où il sort ? Comment il est arrivé là ?
Surtout, qui est-il ??? Et est-ce que vous avez... ? Oh non non non !
Tu soulèves les draps. Tu portes toujours ton pyjama. Ouf !!!
Ton soupir de soulagement sonore fait grogner l'inconnu qui change de position. Tu l'observes attentivement, effrayée – il y a un homme dont tu ignores tout dans ton lit ! – et fascinée – il a une musculature à faire se damner un saint, merde ! C'est totalement déplacé, mais tu salives.
Bouge encore un peu que je voie ton visage ! Tu lui ordonnes silencieusement.
Et ça marche ! Il roule lentement sur le côté pour te faire face et...
OH MERDEUHHHHHHH !!!!!!
« Par les dieux qui donc êtes-vous ??? » Son accent est à couper au couteau, son anglais complètement suranné mais tu es capable de le comprendre. Encore heureux, parce que tes connaissances en vieux Norrois se limitent à « Du kan ikke drepe meg ! »
Encore que, quand tu y penses, lui dire qu'il ne peut pas te tuer ne serait peut-être pas idiot.
« Je... » Tu bafouilles. Merde ! Tu rêves, non ? Tu te pinces le bras, te mords l'intérieur de la joue et finis par te gifler sous les yeux effarés de... Non, ça ne peut pas être lui ! Si ? Nooooon ! Merde, même après cinq gifles il est toujours là.
