Esclave !

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Le couple : Ivar x lectrice (Y/N = your name = ton nom)

Remarques : j'avais besoin de me changer les idées (je me prends la tête avec le prochain chapitre de Sans erreur possible ), alors ce soir j'ai écrit ça. C'est stupide, inutile et il n'y a carrément pas d'intrigue mais je me suis éclatée ! Je n'ai pas soigné mon écriture du tout, alors pardonnez-moi d'avance.
Le gif, posté originellement sur Tumblr, appartient à bonniebird.

Avertissements : sexe, brutalité, esclavage. La grande classe ! Et mignonnerie tout à la fin.

Mots : 1675

Tu l'entends arriver – béquille – pied droit – pied gauche – béquille – pied droit – pied gauche  – et tu souris

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Tu l'entends arriver – béquille – pied droit – pied gauche – béquille – pied droit – pied gauche – et tu souris.

La porte de la chambre s'ouvre alors que tu continues à brosser tes cheveux.

« Esclave !! »

Tu tressailles légèrement à la rudesse de son timbre. La porte claque derrière lui.

Le peigne glisse de tes mains et tu te retournes lentement. « Ivar... » Ta voix n'est qu'un souffle.

Un coup de béquille au sol. Fort. Violent. « Comment m'as-tu appelé ? » Il crache les mots avec dégoût.

Tu relèves la tête, tes yeux trouvent les siens. Il est là, debout devant toi, magnifique, féroce et il a dans le regard cette lueur que tu connais bien et qui te fait frissonner. Une chaleur familière se diffuse dans ton bas-ventre et tu poses une main tremblante devant ta bouche.

« Pardon... Mon roi. » Il approuve d'un imperceptible hochement de tête et tu baisses la tête en signe de soumission.

Il progresse lentement dans la chambre. « Rends-toi utile, esclave ! Aide ton roi ! »

Tu le rejoins alors qu'il se laisse tomber lourdement sur le lit. Le soupir de soulagement qu'il essaie de contenir ne t'échappe pas.

Tu prends sa béquille, la poses au sol. Il tend ses bras à hauteur de ton visage et tu lui enlèves prestement ses gants, son armure en cuir et enfin sa tunique. Tes yeux s'attardent sur ses tatouages que tu aimes tant, et tu contiens à grand peine l'envie de laisser courir tes doigts sur son torse musclé.

Tu sais qu'il est parfaitement conscient de l'effet qu'il te fait.

Le ton impérieux de sa voix te rappelle à l'ordre. « Mes jambes maintenant. À genoux ! »

Tu t'exécutes. Tu te laisses tomber à genoux devant lui. De tes mains habiles, tu défais l'une après l'autre les boucles de ses jambières. Tes doigts travaillent rapidement. Tu retires presque aussitôt l'appareillage de sa jambe gauche puis t'actives  pour libérer avec la plus grande délicatesse sa jambe droite de la lourde armure métallique qui l'enserre.

Il grogne de douleur et ses mains se referment violemment sur tes poignets. Tu relèves la tête timidement, plus surprise qu'effrayée. Tu sais que tu ne lui as pas fait mal.

Ivar's ImaginesWhere stories live. Discover now