❝ 45- TAYLOR ❞

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Jason Walker - Midnight Starlight.
“ Car cette solitude me tue
Et je ne vois pas ce que je ne peux pas atteindre
Et je ne serai pas capable de rejoindre le rivage
Alors que je suis perdu à flotter comme un bateau dans
l'océan
La lumière des étoiles de minuit ne brillera plus ”
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“ Car cette solitude me tueEt je ne vois pas ce que je ne peux pas atteindreEt je ne serai pas capable de rejoindre le rivageAlors que je suis perdu à flotter comme un bateau dansl'océanLa lumière des étoiles de minuit ne brillera plus ”__________...

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— Nous avons là un troisième K.O. Ça a était rapide ce soir dites-moi ! S'exclame le présentateur.

Il commence à placer sa main sur mon épaule que je repousse avec hargne. Je lui lance un regard mauvais.

La boxe ne me suffit plus, j'ai bien trop de rage à faire ressortir en ce moment.

Je sors du ring sous les acclamations de la foule, mais je m'en fous, elle n'est pas là, pour sauter de joie ou même me lancer un de ses habituels regard joueur, alors ça ne sert à rien.

***

Je claque la porte de ma maison, et allume la lumière. Je recule lorsque je découvre Mia.

Putain, manquait plus qu'elle.

— Dégage Mia, prononcé-je sèchement.

Elle se lève et se rapproche de moi en trottinant. J'en peux plus de cette meuf, elle me donne envie de gerber. 

— Tu comprends pas quoi dans le mot dégage ? Lui balancé-je en la repoussant violemment.

Elle me regarde outrée.

— C'est bon t'es qu'un con je me barre, beugle-t-elle en attrapant ses affaires.

Ouais, c'est ça barres-toi salope. Pourquoi, je la baise ? Je me pose souvent cette question et je me dégoute moi-même de la réponse. C'est sous impulsion.

Depuis qu'elle s'est réveillée, je ne contrôle plus rien.

Avec Skylar, qui est parti depuis 1 semaine. Bordel, où est-elle ? J'ai joué au gros connard avec elle – plus qu'au connard même. Je l'ai accusé de chose qu'elle n'a pas faite. Pour son prénom, je m'en foutais ça ne changeait pas vraiment grand-chose, mais quand j'ai vu les photos d'elle avec mon père j'ai pété un câble. Et puis Mia m'a susurrée l'hypothèse qu'il l'avait payé pour me manipuler, et j'y ai cru comme un con.

Je n'ai pas cherché longtemps j'ai directement foncé chez elle, et j'ai explosé.

Son regard, le dernier qu'elle m'a lancée, m'a brûlée, poignardée, piétinée, j'ai cru crever sur place. Son regard empli de chagrin m'a blessé au plus profond. T'es pas une nana, Taylor parle comme un mec putain.

Brothers Without Limits. ( Terminé ) [ EN RÉÉCRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant