Brothers Without Limits. ( Terminé ) [ EN RÉÉCRITURE ]

❝ 24- SKYLAR ❞

 — T'avais l'air trop morte pour ça.

Je grogne et murmure un juron. Maya ton heure a sonné, tu peux dire adieu à ta peluche Winnie L'ourson.

Je regarde encore plus attentivement les garçons présent devant moi. Ils se ressemblent vraiment beaucoup. Comment n'ai-je pus ne pas le remarquer ? Un mal de tête me prend alors violemment, et la seule envie qui me prend et de m'exploser celle-ci contre un meuble.

— Et toi, qui es-tu ? Demandé-je à Taylor Bis en grimaçant.

Il me regarde en souriant et me répond :

— Cole Miles pour te servir, ma belle.

Ma belle, il me l'a déjà sorti celle-là nan ? Aucun doute vu son arrogance il ne peut-être que le frère de Taylor, son exacte portrait en plus grand.

— Ma belle ? Demande Taylor en fronçant les sourcils et en nous regardant tour à tour.

Son frère le sourire arrogant toujours aux lèvres rajoute :

— Jaloux, petit frère ? On s'est rencontré il y a quelque temps, on a même manger un burger ensemble.

Taylor ricane nerveusement et soupire avant de dire :

— Moi, jaloux ? Jamais, j'aimerais juste comprendre comment toi la brute que tu es a pu la rencontrer elle.

Ils sont maintenant face à face et se lancent des insultes à tout rompre, tandis-que moi je ne comprends toujours rien à la situation dans laquelle je suis.

J'attrape mes chaussures qui sont proches de l'entrée de la pièce. Et j'essaye de me diriger lentement vers ma seule échappatoire de cet enfer, la porte d'entrée.

— Où vas-tu ? Me demande la voix rauque de Taylor juste derrière moi.

Et merde.

Je respire profondément et me retourne doucement. Il me regarde cette fois-ci avec attention sans se préoccuper de son frère qui continue à lâcher des jurons.

Je n'ai pas remarquée qu'il est tout juste torse nu. Il est vraiment canon. Il n'y a rien à redire là-dessus. Mais c'est un salop.

— Arrête de mater. Tu vas baver, Sweetheart, me dit Taylor narquoisement.

Cole juste derrière lui soupire de mécontentement. Sans doute veut-il que Taylor reporte son attention sur lui, pour finir leur conversation. N'est-ce pas ?

— Je n'ai aucune envie de rester avec vous deux durant votre dispute de frère immature.

— Et puis je n'ai pas besoin d'une raison pour vouloir partir de chez toi, je fais ce que je veux. Tu n'es pas mon père à ce que je sache, rajouté-je ironiquement.

Je croise les bras sous ma poitrine et le toise.

— Tu ne peux pas partir maintenant, parce que de un je dois te ramener chez toi.

Je fronce les sourcils. Comment ça me ramener chez moi ?

— Pas question, autant rentrer à pieds.

— Tu ne vas pas partir sans savoir ce qu'il s'est passé hier, n'est-ce pas ?

— Balance, dis-je en sachant déjà qu'il va me sortir le plus gros mensonge de toute la terre entière.

— On s'est embrassé, tu m'as dis que tu m'aimais, blablabla, et on s'est mis en couple.

J'explose alors de rire. S'il croit vraiment m'avoir avec cette blague de mauvais goût il se fourre le doigt dans l'œil. Moi, me mettre en couple avec un gars comme lui ? Bien sûre.

— Je pense que tu as du confondre rêve et réalité, mon grand.

— Ça ne te plaît pas d'être en couple avec le grand Taylor, toutes les filles t'envieraient.

— Oh, je m'en fiche complètement de toutes les filles comme tu dis, tout ce que je sais, c'est que tu es arrogant, et jamais, je n'accepterais de sortir avec un gars comme toi, ni même de l'embrasser.

Le pire c'est qu'hier, l'alcool m'est monté d'un seul coup à la tête, je n'arrive pas à comprendre, mais c'est certain que je n'aurais jamais fait ça.

Puis, de toute manière, ça se voit comme un nez en plein milieu de la figure que Taylor ment, ce gars ne sait pas mentir, il est trop honnête.

Taylor me regarde avec de grands yeux, tandis que son frère fronce les sourcils derrière le dos de Taylor en ricanant.

Bordel, sa tête est à mourir de rire.

J'enfile rapidement mes bottines une a une, sans manquer de me ramasser plusieurs fois à terre.

Je regarde les garçons qui sont toujours figés tels deux statuts observant mes moindres faits et gestes, Cole un sourire aux lèvres, et Taylor paralysé.

Ils n'ont jamais vu une fille enfiler des chaussures ? Ou bien mon rejet de Taylor les a-t-il tant marquer que ça ?

Je me dirige vers la porte et lance à Taylor avec un sourire narquois :

— Je suis vraiment ravie de ne pas avoir de souvenir de ce qui s'est passé hier.

J'entends un grognement suivit de son frère qui lui murmure quelque chose d'incompréhensible avec amusement.

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Cole, vous en pensez quoi ?

Taylor a un frère, ça prévoit quoi d'après vous ?

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