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Samedi 6 juin 2020 - 9H08 - Clairefontaine.
Franchement, aujourd'hui, je n'ai rien à faire. Juste une petite interview à 15h, mais sinon, c'est le calme plat. C'est à mon père de s'occuper de l'entraînement, donc je vais en profiter pour prendre des photos.
À mes côtés, Kylian bouge puis resserre ses bras autour de moi. Je me mets sur le dos, pensant me tourner ensuite pour lui faire face, mais il en décide autrement en montant sur moi.
Il commence à m'embrasser puis à descendre vers mon cou.
Est-ce vraiment raisonnable ?
Oh, puis zut. Je place mes mains dans son cou avant de lui donner accès au mien. Il retire mon maillot et mes sous-vêtements, me laissant nue. Ses baisers descendent vers mes seins, puis sur mon ventre, et bien plus bas.
J'essaie de retenir sa tête par ses cheveux, mais bon... on sait tous que ses cheveux sont pratiquement inexistants. Ce qu'il me fait ressentir, c'est... indescriptible.
- Kylian...
Il ne répond pas et continue de balader sa langue sur mon bouton de nerfs. Je me cambre et mets un oreiller sur ma tête. Si ça continue comme ça, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
Putain de merde.
- Oh mon dieu, Kylian...
- Oh oui...supplie-moi, mon cœur.
Non mais j'hallucine.
Je me sers de toute ma force pour le renverser et me retrouver au-dessus. Assise sur son bas ventre, je connecte mon téléphone à son enceinte puis lance ma playlist de chansons chaudes.
Je vais le faire vibrer.
J'attache mes cheveux et commence à lui embrasser le cou, descendant sur son torse. Chaque baiser est précédé du passage sensuel de ma main. Il frémit, gémit et caresse mes fesses de sa main droite.
Je descends de plus en plus, et je sais qu'à cet instant, il est tellement loin dans son esprit qu'il ne sait même plus comment il s'appelle. Sa main droite atteint cette fois-ci mes cheveux.
Son caleçon rejoint mes sous-vêtements sur le sol. J'attrape son membre entre mes mains, effectuant de légers mouvements de haut en bas.
- Oh Cléa... gémit mon compagnon.
Il tire sur mes cheveux avec tant d'excitation que je prévois sa réaction future. Je pose un coussin sur son visage.
Quand je commence à le prendre en bouche, un cri étouffé par le coussin s'échappe de sa bouche.
Mes vas-et-viens l'affaiblissent de plus en plus, le plaisir qu'il ressent est trop puissant, incontrôlable. Ma bouche descend à un rythme régulier sur sa verge, allant toujours plus profondément dans ma gorge.
