Après une rupture déchirante avec celle qu'il croyait être son dernier amour, Hoseok ne désir qu'une seule chose pour sa dernière année à l'université : vivre des expériences inédites !
Cependant... Les choses ne se passent pas vraiment comme prévu...
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Jimin détestait plein de choses. Mais il y en avait 3 qu'il n'aimait pas particulièrement.
À savoir, demander ou rendre un service, avoir chaud et... devoir s'habiller.
Pour le premier cas, avait-il besoin d'expliquer à quel point c'était chiant de devoir rendre service ? À chaque fois qu'il rendait service, les gens lui demandaient soit des choses rocambolesques, soit ils lui demandaient de se rendre au bout du monde pour récupérer des choses rocambolesques. C'était insupportable.
Tout comme le fait de devoir se vêtir. On sait tous comment les hommes et les femmes sont constitués, alors pourquoi vouloir cacher la nature avec des vêtements ? C'était encombrant et ça donnait chaud. Ainsi, vous pouvez aisément imaginer le besoin urgent qu'il avait de se dévêtir à présent. L'appartement du brun était un véritable sauna pour lui. Et ce n'était pas la première fois qu'il le constatait.
Si seulement, il pouvait retirer ses vêtements. Mais que dirait le brun s'il rentrait et le voyait totalement nu en plein milieu de son salon ? Il le mettrait directement à la porte. Alors, Jimin n'avait pas d'autre choix que de mettre son mal en patience et d'attendre sagement que l'autre perche se ramène.
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- Une heure plus tard -
« C'est pas trop ! », s'écria le noiraud. « J'ai cru que t'allais jamais rentrer. Je meurs de faim, moi ! »
Hoseok avait pour intention initiale de l'ignorer, mais il avait été tellement choqué de voir le noiraud sans son pantalon qu'il en avait été déstabilisé.
« Il fait trop chaud dans ton appart... », répondit Jimin en tirant le bas de son haut pour cacher son caleçon. « Et estime toi heureux que j'ai juste enlevé mon pantalon. », renchérit-il.
Lui qui était initialement sorti pour aller s'acheter des cigarettes s'était retrouvé à faire des allers-retours incessants, entre la supérette et son immeuble, à se demander s'il devait rentrer chez lui ou non. Verdict ? Il était finalement rentré à cause du froid. Et s'il avait su que Jimin était probablement en train de se mettre à poils dans sa piaule, alors il aurait supporté le froid un peu plus longtemps. Etait-il un pervers ? Pourquoi est-ce qu'il faisait ça chez les gens ? Et il ne faisait pas si chaud que ça...
« T'as rien ramené ? », lui demanda Jimin, dépité de constater les mains vides du brun.
Faisant mine de ne pas voir le noiraud s'égosiller devant lui, le brun le dépassa et se rendit vers sa petite cuisine où il aperçut plusieurs cadavres de petites briques de lait parfumé sur sa table à manger.
