Une passion interdite

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- Moi : c'est la fierté de mon père ça. Je l'ai mise au monde et lui il en a fait une merveille : une petite dame respectable là où je n'aurai jamais pu réussir.







- Maher : ... je ne suis pas d'accord avec toi.







- Maher : bien au contraire pour moi c'est plutôt à cause du sang qui coule dans ses veines ; c'est une bonne âme qui engendre une bonne âme.Telle mère telle fille.






- Moi : tu dis cela parce que tu m'idéalise beaucoup trop.








- Maher : non, si je le dis c'est parce que c'est la pure vérité.

( je souris donc un peu )






- Moi : ... quoiqu'il en soit merci beaucoup pour mes enfants car pour moi il y'a pas de meilleur cadeau que tu puisses me faire à part cette surprise.






- Moi : merci de me les avoir ramenés. Tu ne sais pas à quel point tu me comble de bonheur.







- Maher : d'abord ne redis plus jamais que ce sont tes enfants ; à tous les deux ils sont nos enfants ❤️








- Maher : ensuite bien sûr que je le sais. Il suffit juste de regarder ton visage pour se rendre compte de la lueur dans tes yeux. Et j'imagine que ce sourire est lié à la personne que tu vois en ces enfants quand tu les regarde.







- Maher : ... Aymar - Ali Mourad.








- Maher : mais tout va bien, ne t'inquiète pas, je ne suis pas jaloux du tout de lui. À envier un autre, on risque sans douter de passer à côté du bonheur et ce n'est pas ce que je souhaite entre nous deux.






- Maher : je cherche simplement à me frayer un petit chemin pour me faire ma propre place dans ton cœur.







Cette réponse me fais encore plus sourire et alors il se rapproche de manière plus intime pour m'embrasser dans le cou et me porter au lit. Après m'avoir longuement regardé avec des yeux pleins de désirs, il se hasarde à défaire les nœuds fines de ma robe de nuit pour me caresser passionnément tandis que je tremblais encore de gêne. Au bout de quelques instants il dépose finalement un petit baiser tout chaud sur mon front et se relève au dessus de moi avant de me tendre la main.






- Maher : ... veux - tu bien me tenir compagnie ?

( je me lève dès lors )






Ainsi il me tire par la main jusqu'à la salle de bain où nous avons pris notre douche matinale ensemble. Je l'ai ensuite aidé à s'apprêter convenablement.






- Moi : est - ce que je peux te poser une question ?






- Maher : je crois déjà connaître la question que tu t'apprête à me poser et j'attendais depuis lors que tu le fasse.







- Maher : mais je ne veux surtout pas que tu te mette dans l'esprit que tu as manqué à un de tes devoirs. C'est moi qui ais commencé et c'est moi qui ais décidé de ne pas aller plus loin alors cela me regarde.






Une Femme Pour Quatre Frères !Where stories live. Discover now