Bold Demon With Glasses

Door Baysther

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TOME 1 : • TERMINÉ • 「 Xander, depuis son plus jeune âge a toujours eu pour simple objectif, réussir dans ses... Meer

「 PROLOGUE 」
「 CASTING 」
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PETITE NDA |

↬ 3- XANDER |

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Door Baysther

BARNS COURTNEY - Champions

"J'ai marché sur une longue route
Avec le diable marchant dans mes pas
Me levant en même temps que le soleil
C'est la faim qui me guide"
_____
____________

| BARKSLEY SUD, 01h56 du matin |

...dans la soirée.

— Tu vas me donner le fric que tu me dois, ou je te bute, fais le bon choix, marmonné-je à l'oreille d'un camé qui tremble comme une feuille.

Comparé à moi, ce mec est minuscule, sans muscle, avec un visage défiguré par le manque de drogue. Ce n'est qu'un minable, ce sont tous des minables dont je profite en me foutant bien de leur gueule. S'ils étaient un peu plus intelligent, il ne fera pas des affaires avec le démon de Barksley, mais ils ne le sont pas, malheureusement pour eux, heureusement pour moi.

Ils ressemblent tous sans exception à mon connard de père, drogué, accro, violent.

Mais avec moi, ca ne marche pas comme ca.

— J'ai..j'ai pas le fric, bégaille-t-il.

Un seul regard, et celui-ci se liquéfie sur place.

Abruptement, un silence se fait, le seul bruit perceptible est le son de la musique du bâtiment d'en face. A cette heure-ci, les rues sont désertes, les gens ne trainent pas par ici, mis à part ceux qui n'ont rien à perdre, ou ceux qui se pensent invincibles, prêt à tenter le démon. Ici, ce sont mes rues.

— Mauvais choix, grogné-je, tandis qu'un rictus carnassier s'affiche à mes lèvres.

Dans un certaine sens, j'espérais qu'il me donne cette réponse, du fond de mon être, et je ne le cache pas.

- —Xander, bouge-toi ! M'hurle soudainement la voix de Heather à l'autre bout de la rue. Ca va commencer.

Merde. J'avais complétement oublié mon combat, faut que je me bouge.

- —Tu passeras le bonjour à Lucifer, balancé-je.

Je le lâche, lui laissant la possibilité de croire que je vais l'épargner, et qu'il peut s'enfuir, ce qu'il n'hésite pas une seule seconde à faire. Mais, je le rattrape, bien évidemment, j'aime bien traquer mes proies, l'espace d'un instant. Ne serais-ce que pour voir leur visage se teinter de peur, mais également d'espoir de survie. Bien entendu, ca ne dure que peu de temps, car ils comprennent rapidement que je ne suis pas du genre à les épargner.

Arrivant à sa hauteur, je l'arrête en attrapant de ma grande main son crâne.

Par un geste brusque, sans lui laisser le temps de se plaindre ou même d'ajouter des dernières paroles, j'éclate sa tête de contre le mur, tellement fort que j'en entends son visage se craquait. Le sang gicle et vient peindre le mur poisseux de la ruelle d'une énorme trace rouge, dégoulinante.

Je le lâche, son corps s'écoule contre le mur, semblable à de l'eau, une trace de sang reste encré contre le mur le long de sa chute contre celui-ci.

Ce n'est pas beau à voir, soit, mais pour ma part, c'est nécessaire à faire. Avez-vous déjà ressenti la satisfaction dans un acte profondément malsain ? Le bien-être qui s'installe dans votre corps après l'accomplissement d'une action qui n'est pas forcément bonne ? C'est ce petit truc, ce petit rien qui fait tout. J'aime ce contentement qui glisse dans mes veines, parce que, ce que je fais, ne résulte que de toute ma haine passé. Et cette haine a le besoin incommensurable de ressortir.

Un acte mauvais, engendre chez moi une adrénaline explosive, et ce n'est pas terminé pour ce soir. J'ai encore des gueules à défoncer, sur le ring.

— Tu l'as zigouillé ? Me demande Heather, une mine dégoutée sur son visage angélique - du moins, pour qui le voit à première vue.

— Non, je l'ai laissé partir, blagué-je.

Ma meilleure amie fait les gros yeux, même si elle sait très bien que c'est la chose la plus improbable qu'elle pourrait entendre un jour.

— Sérieux ?

— Bien sur que non, crétine, tu me prends pour un blaireau, soupiré-je en levant les yeux au ciel.

— Je me disais aussi, que t'avais mis du temps. La prochaine fois, essaye d'aller plus vite.

C'était peut-être long pour elle, mais définitivement trop rapide pour moi, j'ai pour habitude de faire prendre le mal en patiente, c'est plus joliment excecuté en les torturant de panique.

— Tu l'as tué comment ? Me questionne-t-elle, sur un coup de tête, pendant que nous marchons dans la pénombre vers le bâtiment d'en face.

Seul ses yeux verts captent mon attention, et je peux découvrir une lueur de mystère et de curiosité, comme à chaque nouvelle fois. Même si Heather fait la fille dégoutée, elle n'en reste pas moins Heather Flores, elle n'a peur de rien, même si elle est un peu gamine sur les bords parfois.

— J'ai éclaté sa tête contre le mur, tu devrais aller voir mon chef d'oeuvre.

— Bordel, t'as vraiment un problème avec la nuit Krall, couine-t-elle.

Elle dit ca, mais en attendant, elle ne cessera jamais d'être à mes côtés. Parce qu'elle connait toute ma vie, et pourquoi je suis comme ca, uniquement la nuit.

Ce n'est pas un amusement, non, c'est plus que ca, bien plus. Ce n'est pas pour rien que moi, Xander Krall, suis le démon de Barksley.

Une atmosphère d'excitation se crée à l'entrée dans le bâtiment. Sur mon passage, de nombreuses personnes me regardent, certaines essayent de me faire des accolades, mais je les esquive, fidèle à moi-même. Je vois des mecs baissés les yeux, Heather en pouffe de rire derrière-moi.

— Un vrai caid.

Heather est la seule personne que je garde à mes côtés, autant le jour, que la nuit, pourquoi ? Encore une fois, car c'est simplement Heather, et que mon amitié avec elle ne peut s'expliquer.

Je serre les poings quand un gars s'approche trop près de nous, et lui peste de dégager, sans plus de conversation, il se recule d'une traitre. Bien, bouge de là, sale con.

Sur mon passage, je peux écouter plus qu'audiblement des :

— C'es lui, le démon de Barksley ?

— Il fait peur !

Ou même des :

— Il parait que quand tu le regardes dans les yeux, tu vends ton âme au diable.

Un rictus de moquerie me prend en coin des lèvres, je ne sais pas si ce qu'il insinue est vrai, je ne sais pas si on vend son âme au diable en me regardant, mais, je pense qu'une part peut-être considéré comme vrai. Les gens font leur propre conclusion de mes actes, et aucune ne parait forcément fausse.

— Yo, Krall, t'as encore du sang sur les mains ? M'hurle le présentateur des combats, qui se pense être mon ami, uniquement car je lui prends le fric qui me revient de droit de ses mains caleuses et ridés à chaque fin de combat.

Je lui jette à peine un coup d'oeil, et prend soin de l'éviter, ce qui lui décroche un rire de gêne. Faut pas abuser non plus.

— Evite de me prendre pour ton pote, si tu ne veux pas que ce soit ton sang sur mes mains la prochaine fois.

Il a l'habitude de mes menaces, qui fonctionnent toujours, malgré le nombre de fois que je les lui répète. Ce gars est obstiné, mais je le suis aussi, et un jour, mes menaces passeront à execution.

Il soupire à ma réplique, en captant qu'il ne doit pas aller plus loin, et me désigne mon vestiaires habituel, où je me rends sans plus tarder.

Venir ici, c'est une routine que j'ai voulu, et que j'ai pris par envie.

— Tu te bats contre qui ? M'interroge Heather dans mon dos, encore entrain de me suivre, quand je fend le foule.

Je pousse pas mal de monde sur mon passage, mais les gens font abstraction de remarque quand ils découvrent qui vient de les pousser.

— Pas la moindre idée, haussé-je les épaules.

Je ne crains personne, alors quelque-soit la personne, je n'ai pas de soucis à me faire, je la battrais quoiqu'il puisse arriver.

Rapidement, pour ne pas faire attendre plus longtemps la foule, je me change, ne prêtant pas attention à la présence de Heather avec moi. Cette fille m'a déjà vu à poil, et franchement, mon corps ne peut pas me permettre de me sentir gêné - il est plus que potable.

En remontant mon short sur mes hanches, j'observe une seconde la cicatrice sur mon ventre, ainsi que dans le miroir derrière-moi, celles présentent dans mon dos. Elles sont assez grandes, facilement remarquables. Je ne les cache pas, mais je n'aime pas non plus les exhiber. Elles font parties de moi, elles sont les créatrices de ce que je suis à l'heure d'aujourd'hui. Si elles n'étaient pas encrés dans ma peau, je ne serais que Xander Krall, le petit intello qui bosse comme un taré, mais elles sont bien là, et donc je ne suis pas simplement "Xander Krall"

— C'est à toi, me balance Heather en regardant par la porte du vestiaire.

Je n'enfile pas de haut, et part de la pièce, torse nu, gants de boxe à la main. Heather ne me souhaite pas bonne chance, elle sait que je n'en ai pas besoin. Elle ne me dit pas non plus de faire attention à moi, car elle sait que c'est mon adversaire qui devrait faire plus attention à son cul que le contraire.

A ma sortie, je découvre le foule se bousculait, les gens hurlaient - pas étonnant. Des filles se trémoussaient - je n'ai jamais compris le but de leur manœuvre d'ailleurs, quand j'en baise une, je ne la prends pas pour la manière dont elle bouge, je la prends juste pour baiser - et des mecs s'échangeaient des liasses de billets. C'est drôle de voir des gens accros à ce genre de chose.

Je dis pas que j'aime pas l'argent, bien au contraire, mais de là à parier des fortunes comme des crétins jusqu'à s'endettés, c'est abusif.

— VOILA, LE DÉMON ! Hurle le présentateur, dont je ne connais même pas le prénom, alors que ca fait cinq ans que je viens ici.

Je suis le premier à entrer sur le ring, passant les cordes sur les contours. Mon adversaire n'est pas encore là, un truc dont j'ai horreur, le manque de ponctualité, si tu veux te battre, faut arriver à l'heure, putain.

Je rage déjà contre le futur mec qui risque de finir en PLS sur le sol, croulant sous mes coups, alors que je n'ai même pas encore vu. Ca m'étonnerait que ce soit quelqu'un que contre qui j'ai déjà combattu, car dans l'ensemble, ceux qui revienne savent que c'est du suicide, une fois leur suffit largement.

Pour me contenir, je déplace mon regard dans le foule de regards admirateurs, autant vous dire que les filles sont très nombreuses, je n'aurais pas de mal à me mettre quelque-chose sous la dent pour le reste de la nuit.

— ET SON ADVERSAIRE VINCE !

La salle se calme légèrement, n'ayant jamais entendu le prénom de ce gars de toute ma vie, je scrute attentivement le personnage qui débarque en face de moi. Un garcon, du même âge que moi, cheveux brun corbeau, yeux verts, pas mal de muscle. Mais jamais vu de toute ma vie, intéressant, je vais pouvoir m'amuser avec un nouveau visage.

Dès son arrivée, le brun me lance un regard de tueur, qui me donne envie de rire. C'est bien la première fois qu'on a le culot me regarder aussi mal, le dernier en date à finit au cimetière - et ceci n'est pas faux.

Le fameux Vince, sautille sur place, et se tape les deux mains ensembles. Avant de commencer, je lis sur ses lèvres un "fils de pute", et avant même que le gong sonne pour annoncer le début, je lui saute dessus.

Alors là, cet enculé va crever, je n'accepte pas ce genre d'insulte, et ca ne changera pas.

Mon poing se décale directement dans la mâchoire du mec, comme emboité à la perfection. La satisfaction pointe le bout de son nez, mais ce n'est que le début, je n'en ai pas terminé. C'est une certitude, ce mec, quel qu'il soit, va crever, pour avoir parler de ma mère de cette façon.

Tout ce que je veux, c'est lui faire goûter à la douleur.

Au fond, Vince doit être effrayer, il le cache juste bien.

— Je vais te défoncer, rugis-je, la colère affluant dans mes veines.

Mon genou trouve dans un automatisme presque habituel, le chemin vers son ventre. Mais le mec le bloque en claquant ses deux mains, avant que la collision n'est lieu. Il tente de me déstabiliser, mais, mon crâne trouve le chemin de son front, et vient s'exploser contre celui-ci dans une violence phénoménale.

Je crois bien que c'est le coup de boule le plus majestueux que je n'ai jamais donné à quiconque, et il a le privilège d'être le premier à le tester - il s'en rappellera.

Son corps se retrouve propulser en arrière contre les cordes du ring, mais dans un élan stratégique, il se rattrape et prend son élan contre elles pour me foncer dessus, semblable à un bufle. Directement, le poing qu'il me lance, est rapidement intercepté par mes mains, et c'est moi qui lui décolle un coup dans le bide, qui n'a pas l'air de lui faire plaisir, ni du bien, car il est à deux-doigts de se plier.

— C'est moi qui vais te défoncer, souffle-t-il déjà quelque-peu essoufflé par le coup que je viens de lui foutre.

Je serre les poings par agacement, pas le moins du monde irrité par ses propos. D'après la volonté, plus que voyante dans ses pupilles, ce mec est prêt à tout pour tenter de me mettre au sol.

Le plus comique, c'est que ce gars ne me connaît pas, ou tout au moins, simplement ma réputation, réputation qui n'est plus à prouver. Mais ce qui m'ébahi, c'est que malgré ca, il a eu les couilles de monter sur le ring. Et même si je compte qu'en même l'envoyer en enfer, j'admets qu'il m'impressionne.

Mes pieds sautillent sur le sol, Vince se rue vers moi de nouveau - il ne sait faire que ca ?

Parce que, depuis le début, je n'ai pris aucun vrai coup, puisqu'il n'a tout simplement pas l'air d'être un adepte de la boxe.

Outre sa rapidité, je parviens à l'esquiver sans grand mal par le côté gauche, et mes phalanges s'envoient de leur propre initiative sous son menton.

Tandis que sa tête remonte vers le haut, la force de mon attaque le fait vaciller, prit par surprise - normalement, il avait prévu de me frapper, mais pas l'inverse.

Il toussote, relâchant une trainé de sang rougeâtre qui ressort de sa bouche - à ce que je vois, il ne va pas tenir aussi longtemps que je ne me le suis imaginé.

— Tu crois vraiment.. (Je lâche un crochet du droit contre sa joue) Que je vais te laisser.. (Cette fois-ci mon genou s'incruste bien dans son abdomen) Insulter ma mère ! Terminé-je par un coup de coude décisif sur le haut de son crâne.

Ce dernier en le percutant, signe la fin du combat, car en un instant, le brun tombe sur le sol nette en se mordant la lèvre pour ne pas hurler de douleur devant toute la foule.

En même temps, c'est compréhensible, il vient de perdre, sans avoir pu au moins placer un coup.

Je roule des yeux, quand je remarque qu'il me regarde toujours aussi mal en se tortillant au sol, comme au tout début du combat.

Un long silence afflue dans la salle, quand j'attrape le gars K.O, sans attendre que le présentateur finisse son compte à rebours et me déclare officiellement vainqueur, je le soulève pour le faire sortir du ring - ne croyez-pas, ce n'est pas par pure amicalité.

Etant jeune, j'avais l'habitude de me faire trainer, pareillement à lui, sur le sol, par terre, pour avoir ma "punition" comme il aimait si bien l'appeler - chose la plus brutale que j'ai pu connaître. Il me répétait souvent que j'avais besoin d'une bonne correction, pour apprendre le respect - alors que je ne faisais strictement rien.

Mais, dès lors, à présent, c'est moi qui donne les punitions, c'est moi qui apprends le respect.

Et lui, va apprendre qu'on ne traite jamais, ô grand jamais ma mère de prostitué.

Dorénavant, je respecte mon rôle de démon, comme je le fais à chaque soirée qui sombre.

La pénombre de la rue s'étend devant moi, lorsque je sors du bâtiment en balançant le corps déjà mal en point de ce connard - ce sera plus facile de l'achever. Personne, je dis bien personne, n'a osé intervenir, ils ont tous observés, et ont repris leur activités entre eux à ma sortie.

Heather n'a pas non plus fait d'apparition, observant sans doute la scène dans son coin.

— Tu vas me faire quoi, me tuer ? Ricane-t-il en toussotant. Sale monstre !

Ma basket se pose contre sa jambe pour l'écraser avec rudesse.

— Un monstre ? Oh, non, je suis bien pire, rigolé-je à gorge déployé.

L'allégresse du moment, automatiquement me donne du plaisir, avant même d'avoir débuter.

— Tu mériterais de crever, rajouté-t-il faiblement.

— Peut-être, mais ce soir, ce n'est pas moi qui va rendre l'âme, mais toi.

La réponse n'a pas l'air de lui permettre d'ajouter autre chose à ses paroles inutiles. Il use ses derniers mots pour rien, au lieu de comme certains, prier pour ne pas aller en enfer, vu toute les merdes qu'ils ont pu accomplir dans leur vie.

Il prend une grande inspiration, ne pouvant se relever, sa jambe prisonnière de mon pieds fourré dessus.

Tue-le, murmure une minuscule voix dans ma tête.

Tu seras soulagé, et il apprendra le respect dans la mort, ajoute-celle-ci - celle de mon géniteur sadiquement.

Alors, sur le conseil avisé de mon esprit, je m'abaisse, préparé à lui ôter la vie qui l'anime.

— Je t'en supplie, ne fait pas ca ! M'implore par surprise une voix dans mon dos que j'ai l'impression de connaître.

Puis, elle rajoute tremblotante :

— C'est mon petit-frère.

● ● ● ● ●

Hello la mifa !

Ce chapitre vous plaît ?

Le côté sombre de Xander ? (Et encore ce n'est rien là)

Qui est la personne qui débarque la fin ?

Merci pour vos vues et vos votes sur cette histoire, c'est génial, un énorme coeur sur vous 💝

Ⓒ Baysther, 2018

















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