Nos Âmes Lunaires

Da AnnaelleGre

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Les tourments. Sa vie semble devenir un véritable chaos quand les problèmes d'argent de ses parents s'aggrave... Altro

⚠️NDA⚠️
Prologue
1. L'univers du sacrifice
2. La souffrance du bonheur
3. Sensation de déjà vu
4. Affligé par le mensonge
5. Renaissance
7. Éclair de lucidité
8. Lié par le secret
9. Détournement de situation
10. Un peu plus qu'hier
11. Pleine lune
12. Pincée de douceur
13. Douce innocence
14. Remise en question
15. Juste moi
16. Histoire de liens
17. Présence essentielle
18. Révélation
19. Envoûtement
20. Âme-soeur
21. Couleur préférée
22. Divinement diabolique
23. Cadeau empoisonné
24. Les Térheadors
25. Virus mortel
26. Sentiments destructeur
27. Que la fête commence
28. Le hasard n'existe pas
29. Contrôle toi
30. Maintenant tu sais
31. Dangereusement puissante
32. Le début d'une guerre
33. Double jeu
34. Mort d'innocents
35. Divinité
36. De l'autre côté
37. Bonheur et folie
38. Reviens moi
39. De la haine à la folie
40. Tout est fini
41. Le temps passe, les souvenirs restent
42. La guerre est déclarée
43. Pas de bêtises...
44. Presque parfait
45. La fin d'une guerre
Épilogue: La fin d'une ère
NDA: Remerciements 🤍

6. Enivrante

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Da AnnaelleGre

Oward

Je rentre chez moi après elle. Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce qu'il s'est passé.

Je l'ai vu prendre cet inconnu dans les bras une vague d'incompréhension et de frustration s'est faite ressentir. Pourtant je crois bien que son absence avait un lien avec tout ça.

Peu importe, je sors de ma douche une serviette autour de la taille avant de répondre à mes parents. Mon père s'assure que tout va bien mais étonnement c'est le cas. Les gars font du repérage et je vais bientôt pouvoir avoir ces nouvelles terres.

-Alors, tu l'as trouvé comment dans sa tenue de travail, elle fait plus mâture non?

-Laeïla. Soufflais-je en me m'assayant sur mon lit.

-Rooh arrête un peu, y'a encore eu ce truc quand vos regards se sont croisés.

S'en ai trop et à défaut de pourvoir la faire taire je me lève doucement et je lui claque la porte au nez avant de la verrouillée. Je l'entends marmoné des injures mais j'en est que faire.

Elle a raison il y a eu ce frisson désagréable ainsi que cette attirance incontrôlée mais après tout, cette fille n'est pas moche et son uniforme lui va bien alors forcément elle ne met pas passe inaperçu.

Je me lève et m'habille avant de me jeter sur mon lit. Je devrais penser à laisser Roy sortir, prendre le contrôle et me changer les idées. Ici tout est tellement normal, les gens savent que nous les lycanthropes nous existons pourtant nous ne sommes qu'un mythe.

A Osborne c'était normal de se promener sous forme de loup mais ici, en terre inconnue on doit être prudent et intelligent.

Je ferme les yeux avec le souhait de réussir ma mission. Gagner ces terres et s'y installer, j'aime bien cette ville.

~~~

Laïs

-C'est totalement dingue. Rigole ma mère devant la télévision.

Je souris en la voyant aussi détendue, en ce qui concerne mon père, il n'est plus souvent là et quand c'est le cas malgré ses efforts je vois que ça ne va pas. Il boit et recommence à fumer.

On est en fin d'après-midi et je décide d'aller me promener. J'en ai marre de rester cloîtré chez moi, j'étouffe. Je reprends le travail dans deux jours donc c'est le moment parfait pour profiter de mon semblant de liberté.

J'essaie de relativiser aussi, enfaîte j'essaie d'oublier. Je me suis sentis tellement stupide quand j'ai revus ma situation comparer à celle de toutes ces personnes qui n'ont pas trouvées d'échappatoire et je me sens coupable, alors j'ai décidé d'arrêter.

J'enfile mes baskets et salut ma mère. Quand je passe le pas de la porte le vent me frappe violemment la figure. Dehors les feuilles mortes jonchent le sol, il est presque invisible sous elles. C'est beau.

Mains dans les poches je longe ma rue avant de tourner face à la forêt. Depuis que je vis ici c'est-à-dire depuis petite j'ai toujours aimé y aller, au départ avec mon père puis toute seule mais un jour quelque chose m'a effrayée, je ne sais plus quoi et je n'y suis plus jamais retourné.

Aujourd'hui je veux me retrouver, la petite fille qui aimait chaque aspect de la vie, c'est elle que je veux.

La musique qui résonne dans mes oreilles me donne presque des ailes et quand je mets un pied dans cette forêt c'est comme ci j'étais passer dans un monde parallèle, comme ci j'avais traversé un portail.

Je repense étrangement à ce garçon, Oward. Il est peu aimable mais le vert de la forêt me rappelle celui de ses yeux. C'est exactement le même vert. Je baisse légèrement le son de ma musique et remet mes mains dans mes poches.

Plus j'avance plus je me sens libre mais épier. J'arrive à un petit lac, c'est étrange j'ai l'impression d'être en terre inconnue. Je m'avance jusqu'à voir mon reflet dans l'eau, elle est d'un vert bleutée, c'est beau. Des petites vagues brouille mon reflet et je fronce les sourcils avant de relever la tête.

Mon corps se fige. De l'autre côté du lac, un loup noir est entrain de boire. Je suis paralysé par sa grandeur et par la simple idée qu'il lève les yeux vers moi.

Je n'en ai jamais vu, jamais et je crois bien que l'envie d'en rencontrer met passé.

Je recule, une fois, deux fois et il relève la tête vers moi. Son regard sur ma personne m'a paralysé complètement. Notre distance ne m'empêche pas de constater que dans son regard il y a un lien familier.

Son regard semble scintiller d'un vert émeraude. Au départ j'aurais ou penser que ce n'était que le reflet de l'eau mais c'est bien lui, son regard qui brille d'une façon anormale.

C'est quand il commence à contourner le lac que je me rends compte de la gravité de la situation. Je suis face à un loup, un loup qui doit certainement mourir de faim.

Je suis foutu.

Il approche comme si j'étais une proie et mon corps se décide enfin à bouger. Son regard maintenant neutre me rappelle des yeux, ses yeux et avant même que je n'en tire une conclusion ils se remettent à scintiller.

Je refuse de me retourner parce que ça serait la chose la plus débile que j'aurais pu faire mais reculer à pas de loup n'est certainement pas la solution.

Rapidement je jette un coup d'œil par terre et je saisis une branche et la brandit t-elle une arme. Soudainement ma musique est couverte par un violent grognement et le loup se met en position d'attaque.

Bordel de merde.

Ma branche tombe au sol, je me retourne et je cours. De ma vie je n'ai jamais courut aussi vite et cette course me ramène violemment à ce soir de malheur. Celui où une partie de moi est final morte sous la violence d'Arris, s'il ne m'a pas volé toute mon existence.

Mais trop penser m'aveugle alors je ne vois pas cette branche sur le sol et je tombe violemment en me cognant la tête. L'herbe fraîche imbibe mes vêtements et ma tête se met à tourner, je suis sonnée. Mes écouteurs se sont arraché de mes oreilles et je peine à reprendre une respiration ne serait-ce qu'un peu normalement.

Difficilement je me retourne sur le dos n'oubliant pas la cause de tout ça et malgré un bruit de craquement incessant je ne vois rien comme si j'avais halluciné.

C'est le corps tremblant que je me relève. De mon front s'échappe des gouttes de sang et mon jogging noir ainsi que mon pull violet pâle sont taché de terre et de feuillages mouillé.

Je remonte le fil de mes écouteurs qui pendouille dans le vide et souffle bruyamment, pas parce qu'ils sont défoncé et ne fonctionnent certainement plus mais parce que je réalise à quelle point j'ai eu peur.

Tout mon corps me fait mal de par ma course folle et ma chute abasourdissante et j'en perds presque la notion du temps. Il fait presque nuit et c'est une chance que mon téléphone soit toujours en état de fonctionner, il ne manquerai plus qu'il soit cassé et inutilisable.

~~~

-Votre réponse est fausse mademoiselle Patterson.

Je baisse les yeux sur ma copie et barre ma réponse. Je déteste me tromper en cours c'est honteux. Je l'entends pouffer, Esther mais je ne dis rien parce que je sais pertinemment qu'elle ne peut pas faire mieux.

Oréna n'est pas assise à côté de moi mais avec les copines d'Esther. C'est triste de finir par devenir ce que l'on critique mais je préfère ça plutôt qu'elle soit seule bien que je sais qu'un jour ou l'autre ces nouvelles fréquentations la conduiront à sa perte.

La rumeur sur ma fausse grossesse a cessée depuis peu, je crois savoir qui est l'auteur de cette fin aussi précipité d'ailleurs Henry m'évite comme la peste.

Il peut bien me protéger des autres mais qui me protégera de lui? Parce que oui Arris n'est pas seulement un agresseur ou tout simplement un détraqué, ce type reflète tout ce qui est malsain et dangereux, attirant mais interdit.

J'ai cours de mathématique après et bien que j'ai réussi à l'éviter depuis ce soir-là je sais que ça ne sera pas possible aujourd'hui et j'appréhende déjà ce qu'il va se passer.

La sonnerie retentit et tout le monde se dépêche de sortir, même le professeur à déjà ranger ses affaires mais moi...moi je me lève difficilement et balance mon sac sur mon dos.

J'ai des bouffées de chaleur.

Peut-être qu'il a son arme sur lui.

Il m'attend? Il va terminer ce qu'il a commencé ou tout simplement m'achever?

Il continuera parce que je n'ai rien dis?

Devant la salle de classe je me fige par peur de le voir derrière cette porte close. Mais un élève arrive derrière moi et l'ouvre en me bousculant légèrement et comme ci il le savait déjà ses yeux rentrent en contact avec les miens.

Tout mon corps rejette ce contact.

Ma peau me démange, les battements de mon cœur accélère, j'ai des sueurs froides.

Il actionne une angoisse sans nom chez ma personne rien quand posant les yeux sur moi. Arris est mon pire cauchemard.

-Vous comptez rester planter la?

La voix du prof me défait de cette emprise malsaine et je m'engouffre dans la salle sous le regard de chacun. Quand je passe près de lui il tire une chaise vide comme s'il s'attendait à ce que je prenne place mais je continue ma course en dépassant Oréna par la même occasion avant de déposer mon sac sur la table voisine à la sienne.

Je ne le regarde pas, je m'assois juste et je souffle fortement. Ma jambe me tire légèrement à cause de ma chute d'hier mais ce n'est rien de bien grave pas comme le pansement que j'ai sur le front.

Je sors mes affaires et tente de me fondre dans la masse.

-Ton copain a l'air vachement nerveux.

Le son de sa voix me fait presque sursauter. Je me tourne vers lui tandis qu'il fixe un point devant lui et effectivement Arris me regarde d'une manière meurtrière. Cette nuit là aussi il avait le même regard et je viens à regretter de m'être rebeller.

-Ce n'est pas mon copain. Craché-je sèchement.

Son regard se tourne vers moi et je fais de même. Il sourit, froidement certe mais ça reste un sourire. Je ne lui rends pas parce que je ne sais pas la raison de cette émotion soudaine.

Mon esprit est préoccupé par celui qui ne cesse de nous, enfin, me dévisager depuis que j'ai osé le défier. Je ne comprends pas pourquoi je devrais m'assoir à ses côtés alors que je ne l'ai jamais fait, c'est ridicule et j'en viens à me dire que tout ça n'a jamais eu et n'aura jamais de sens.

L'heure de math est longue mais je la passe à jeté des coups d'œil sur le cahier de mon voisin de table. Il griffone sans cesse des éléments et à la fin je remarque une lune cachée par des arbres et des nuages gris.

Je viens à me dire qu'il sait vraiment bien dessiner car mes dessins à côtés du sien sont dénués de sens et de vie.

Je décroche mon regard quand le professeur nous parle d'une prochaine interrogation et je le voit bien me fixer au point ou son regard brûle chaque partie de ma peau. Je me sens affreusement petite et bête face à lui pourtant il devrait avoir honte de lui, se répugné pour avoir osé me menacé avec cette arme et tenter de m'agresser.

Au lieu de ça je passe pour celle qui a manquée une étape et lui il agit comme si cette nuit là je lui avais fais une promesse parmi mes larmes. Arris est malade c'est indéniable il est complètement malade.

-Elle portera sur les trois dernières leçons de la semaine dernière.

Comme si une ampoule c'était allumée sur ma tête je prends conscience du faite que je n'étais pas présente et que par conséquent je vais me taper un jolie zéro pour ma dernière évaluation du trimestre, j'ai pas besoins de ça...vraiment pas.

Oréna et moi ne sommes pas en bon termes et je n'ai aucune envie de lui demander quoi que ce soit. Des fois je me dis qu'entre elle et moi c'est du passé et que même si on se reparle un jour ça ne sera plus jamais comme avant.

Quelque chose dans ses mots était physique et ça m'a blessé.

La sonnerie retentit et je range mes affaires avec un brin de lassitude. J'ai pas envie d'aller manger seule à une table comme une misérable idiote qui n'a plus d'amis. Esther se fera plaisir de me réduire en cendre pour la énième fois et je le sais, avant la fin de l'année cette fille aura mon poing dans la figure.

Je me lève et passe mon bras dans la lanière de mon sac avant de le poser sur mon épaule et en ranger ma chaise je vois son dessin.

Dans un premier lieu je suis surprise de voir de nouveaux détails comme des yeux transpercant l'abysse de la nuit que représente son dessin. Il est tellement bien fait qu'il a l'air réel.

Je le récupère.

Il est beau et ça serait dommage qu'on le jette si ça se trouve il y tient. Je le range dans mon sac et me dirige vers la cafétéria, dans l'espoir que le repas soit bon aujourd'hui.

-Elle change de mec comme elle change de culotte c'est affreux.

-Avant c'était Arris maintenant c'est le ptit nouveau.

-Esther va être folle de rage.

Traverser le couloir à été ma pire erreur de la journée, vraiment. Je n'ai jamais été en couple avec Arris et si elles avaient prit le temps d'analyser son comportement avec moi elles auraient remarqué que ça pouvait être similaire à du harcèlement.

Il m'a prise en grippe à l'instar ou ses yeux se sont posés sur moi et je n'ai jamais eu de répit.

Oward ne me connaît pas et c'est de même pour moi. M'assoir à ses côtés parce que je n'ai plus d'ami et que c'est la seule place où je suis loin de Arris ne veut pas dire que je suis avec lui, elles sont ridicule.

J'entre dans la cafétéria prend mon plat de légumes et cherche une table du regard.

-Hey! Par ici!

Je me refrongne en voyant...la...lena? Enfin, ouais cette meuf que j'ai rencontré à la bibliothèque.

J'aimerais fuir quitte à laisser mon plateau mais elle m'a vue, je l'ai vue et ça, on le sait toutes les deux alors avec nonchalance je m'avance vers sa table avant de découvrir qu'un blond y est aussi mais surtout que Oward est assis les bras croisés en me fixant.

-T'en a mit du temps! Rigole t-elle avant de boire une gorgé d'eau.

Je lui souris en disant bonjour au deux autres même si techniquement j'ai déjà vu le psychopathe qui me fixe.

-C'est donc elle la brunette...intéressant, moi c'est Jimmy mais appelle moi Jim ou le plus incroyable des hommes parce que...c'est ce que je suis.

A la fin il me lance un regard que se veut charmeur et je viens à le comparer à Flynn Rider et cette ressemblance me fait doucement rire.

-Enchanté Jim, moi je m'appelle Laïs et...appelle moi juste Laïs.

Il sourit et me fait un rapide clin d'œil avant de prendre une boucher de légumes.

-On a pas pu faire connaissance correctement la dernière fois, je suis dans la classe juste après toi, la C.

Je hoche la tête. Elle me raconte sa matinée et Jimmy ne cesse de la couper pour alimenter son discours. Maintenant que j'y fais attention ils se ressemblent.

Les deux ont les yeux noisettes, le même nez en trompette et à la différence de Jimmy, elle a des taches de rousseurs et lui a des fosettes, lui a les cheveux blonds cendré mais les siens sont rouges. Ils sont certainement de la même famille.

De son côté lui il pianote sur son téléphone. Ses cheveux brun foncé lui tombent sur le front, ses yeux verts sont près noir à cause du faible taux de luminosité qui les éclair. Son nez fin et droit à une toute petite cicatrice presque invisible qui le coupe horizontalement je pense qu'il a certainement dû se le casser. Sa bouche rose se fait humidité par sa langue et il serre sa mâchoire sculpté avec force.

Ce n'est que quand son image me semble parfaitement lisible que je réalise. Il m'a attrapé en train de le dévisager mais surtout regarder ses lèvres. Je dois sûrement changer de couleur quand ses yeux verts transperce les miens avec force et ferveur.

Tout ça ne dure pas. Un bruit fracassant met un silence glacial dans la salle. Je tourne ma tête vers les portes de la cafétéria et je me fige. Au loin Arris est debout le regard emplit de rage et il analyse la pièce avant que son regard ne tombe sur moi. Un sourire mauvais naît sur ses lèvres et il se dirige vers notre table, vers moi.

Toute la cafétéria suit ce spectacle tandis que mon cœur est près à lâcher.

Arrivé à notre hauteur il empoigne violemment mon bras et en moins de deux secondes je suis debout sur mes deux jambes.

-On a des choses à régler salope!

Des souffles d'étonnement quitte la bouche de certains à cause de son manque de discrétion. Son touché sur mon bras me paralyse et c'est bien la douleur qui me fait garder les pieds sur terre.

Sans mit attendre il me traîne hors de la salle. Je n'ai eu ni le courage ni la force de riposter. S'il voulait m'humilié il l'aurai fait devant tout le monde, il en est capable mais s'il est sorti alors je m'attends au pire.

J'essaie de tirer sur mon bras pour qu'il me lâche mais ça ne fait qu'augmenter son énervement au point que devant la salle de gymnase il me balance dedans sans management.

Tandis que mon corps est jeté au sol les portes se referment brutalement dernière moi.

-Tu te fous vraiment de ma gueule espèce de pute! Me crache t-il à la figure.

Je me relève malgré ma douleur aux jambes. Il s'avance vers moi au point où son souffle s'écrase contre mon visage, je reste minuscule face à lui.

-De qu...quoi tu parles? Articulais-je en clignant plusieurs fois des yeux.

Un rire cynique lui échappe.

-La dernière fois ne t'a pas suffit? Je devrais te baiser devant tout le monde pour que tu comprenne que tu es à moi Laïs?

Sans me contrôler je le pousse de mes bras avant de reculer. Il n'a même pas bouger mais ses mots m'ont rebuté. Je comprends que s'il le voulait ce soir là il serait aller au bout.

Ce n'était pas un coup de chance mais une grâce de sa part.

-C'est ce que tu veux? Siffle t-il en empoignant mes cheveux.

Mes mains se posent sur son torse pour tenter de l'éloigner une nouvelle fois mais au lieu de ça il baisse le regard sur les concernées et ma tête se tourne violemment sur le côté.

Une douleur atroce me paralyse tout le corps et les battements de mon cœur font un écho assourdissant dans ma boîte crânienne. Il m'a giflé.

-Tu es à moi Laïs, que tu le veuille ou non.

Je n'ai rien dis pourtant je le savais déjà.

Il n'y aura aucun retour en arrière ni aucune sortie de secours pour moi.

Je suis prise au piège.

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Hello!

Petite surprise, je poste aujourd'hui au lieu de demain hihi.🤭


Il y a trop de choses à dire sur ce chapitre...

Dites-moi ce que vous en avez pensé et vos théories pour la suite!🥲

Anyway

On se retrouve très bientôt pour la suite!

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A suivre...🌗

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