chapitre 30

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Je sens les doux rayon du soleil sur mon visage, je suis tellement bien là, le lit est super doux, j'entends le bruit des vagues au loin et une douce caresse sur mon visage, qu'es ce que ça fait du bien, suis je au paradis ?...<<attend, des vagues ? des caresses ?il y'a pas tout ça chez toi hein banane>> ma conscience me rappelle à l'ordre et j'ouvre brutalement les yeux, je suis aveuglé quelques instants à cause des rayon de soleil puis ma vu s'adapte rapidement et je regarde autour de moi, ce que je vis me fait ouvrir la bouche en forme de O tout rond comme un poisson hors de l'eau. <<mon dieu je suis où là?>> je passe en mode panique et je me lève précipitamment pour investir le lieu où je me trouve, un lit baldaquin recouvert de blanc, des murs blancs, un tapi super doux blanc, tout est faire de blanc ici, je remarque deux porte au loin et j'avance prudemment vers celle-ci, la première est un dressing super moderne et aménagé avec class, j'avance lentement et touche un vêtement qui par je ne sais quel miracle est de ma taille, comme tout le reste aussi jusqu'au chaussures. Non mais c'est quoi ce délire?  Je baisse les yeux sur ce que je porte et remarque que je ne suis plus dans mes vêtements, ma respiration se fait plus saccadé, j'étouffe il faut que je sorte de là et vite. Quand je me retourne pour sortie je me prend un mur de plein fouet, <<un mur de muscle surtout hein>> raille ma conscience, je retiens de justesse un cri de terreur quand ce parfum virile et musqué vient titiller mon nez, je relève vivement la tête et tombe sur ces yeux noirs, ce regard qui m'a faire chaviré par le passé et qui à mon grand dame fait battre mon coeur à une vitesse folle, ce même regard que j'ai aperçu avant de...

– pitié jace, dis moi que tu n'as pas osé me faire ça. Je souffle en me rappelant peu à peu ce qui s'est passer, l'aéroport, mon vole, angèle et nath, puis lui. Je porte une mains tremblante dans me cheveux et recule de deux part pendant que lui abord un sourire satisfait qui m'irrite encore plus et je me mis à hurlé malgré moi.
– tu m'as faire quoi Anderson ? Je suis où là ? et surtout pourquoi je suis là hein?. Je hurle et lui me regarde toujours avec son putain de sourire en coin puis il me dit le plus normalement du monde.
– eh bien cara, si tu veux vraiment le savoir nous sommes sur mon île à Palmer, et si tu es ici c'est juste pour te prouvé que tu m'aimes toujours et ne t'inquiète pas cara moi aussi je t'aime au point d'en devenir fou tu vois.
Tout en parlant il s'est rapproché de moi jusqu'à ce que je sois prise au piège entre l'étagère et lui, il se met à mon niveau et me chuchote d'une voix de velours.
– nous allons tout arranger, et nous allons avancé ensemble. Je ne te lâcherais plus jamais bébé....jamais.
Ma respiration ce fait encore plus saccadé alors que mon cerveau essaie d'enregistrer toute les informations qu'il vient de me donné, puis après un temps infinie, je suis prise d'un fou rire neveux.
– tu es vraiment sérieux là ? JAce ce que tu as faire s'appelle un kidnapping tu es taré où quoi?
– peut être bien bébé, sourit il comme si tout était normal, je vais te faire m'aimer comme au premier jour cara et cette fois si je saurais me montré digne de cet amour, je te le jure.
Mon pauvre coeur s'emballe, oh seigneur qu'il s'arrête, ça ne peut pas être vrai, pas après ce qu'il m'a faire, je ne dois pas me laisser attendri. <<mais alors pourquoi tu es toute rouge hein>> foutu conscience de merde.
Je le regarde et je ne sais quoi dire, ce que je vois dans ces yeux me fait terriblement peur, je peux voir de la détermination, de la sincérité, de la vulnérabilité et surtout chose impossible...de l'amour.
– cara laisse moi t'aimer, laisse moi te prouvé que je ne suis plus le même. Je te jure que je saurai te rendre heureuse, accorde moi...non accorde nous une deuxième chance je t'en pris. Dit il en posant ces paumes de mains sur mes joue, puis soudain il capture mes lèvres avec urgence, fougue, force, et tellement de tendresse mêlé.
Je suis perdu, je ne sais quoi faire pendant que je me perds dans ce baisé, oh seigneur que j'aime cet homme, mais je ne peux pas, non je ne veux plus souffrir. Je ne peux pas.

Quand on se sépare enfin à bout de souffle il pose son front sur le mien en murmurant des paroles inintelligibles, puis il s'écarte et me prend la main.
– on va reparlé de tout ça plus tard, viens tu dois avoir faim.

Je le suis comme un pantin désarticulé et on arrive à la cuisine où je vis une table dressé, il m'installe et me serre une grande portion avant de prendre place à son tout.
– mange pendant que c'est encore chaud bébé. Me dit il avec un regard tellement intense que je m'exécute sans ronchonner.
On mange en silence jusqu'à ce qu'il brise le silence
– ça te plait? Je l'ai faire moi même. Dit il avec un sourire éblouissant, je me perd encore une fois dans son regard avant de répondre
– c'est délicieux, tu as pris des cours? Demandais je enfin et il s'empressa de répondre
– oui bébé, j'ai pris des cours après ton départ, répond t'il en baissant les yeux avec un air coupable sur le visage.
– oh.. Fut la seul chose que je réussi à dire, il prit ma main libre qui était sur la table et la pressa légèrement.
– tu veux visité notre île après ? Me demande t'il alors que je le regarde avec incrédulité
– notre?...

– oui bébé, notre île..répète il, tout ce qui est à moi est à toi cara, nous sommes marié après tout tu te rappel.....

Comment l'oublier

La Vengeance De Jace AnderssonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant