La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 8

Je me lève lentement de mon fauteuil le regard bien entré dans le siens, pour qui ce prend t'il?

- Je suis désolé Mr mais je ne peux pas, je n'ai aucune envie que l'on nous aperçoivent ensemble. declarai-je avec un sourire crispé au bout des lèvres.
Il me fixe d'un regard si noir mais je m'en fiche royalement.
Quand on était ensemble j'avais tellement peur de le perdre que je me pliais à ces moindres désirs
Mais c'est terminé tout sa, et même si aujourd'hui c'est mon boss ça ne lui donne pas le droit de n'imposer ces ordres en dehors des heures de travail

- Je viens de te dire que ce n'étais pas une question, alors dépêche toi ne m'oblige pas à te trainer pas la peau des fesses, d'une voix plus grave et sensuel? Mince

Je rougis comme une adolescente ," mince pourquoi faut-il qu'il soit si sexy".. Je pousse un long soupir de résignation sachant pertinemment qu'il est en mesure de mettre sa menace en exécution, donc je range mes affaires de mauvaise fois en évitant de croiser son regard satisfait du mieux que je peux.

- Très bien, on peut y aller monsieur. pas besoin de levé les yeux pour savoir qu'il affiche un sourire satisfaire.
Il tend sa main pour m'inviter à le suivre, je suis tellement mal, je sens mon sang palpiter fort dans mes veines, j'ai peur de perdre connaissance si ça continue comme sa.
Une fois dans l'ascenseur je sens le regard de jace sur moi c'est tellement troublant et cette tension palpable entre nous, mon dieu, si on m'avait dire que je devais recroiser son chemin un jour dans ma vie, j'aurai rire au nez de cet personne et peut être même plus.
Une fois dehors il me guide vers sa luxueuse voiture noir et m'ouvre la portière toujours sans un mot ni un regard vers lui je monte et attache ma ceinture.
Il mit le contact et nous dirige je ne sais où, au bout de quelques minutes la voiture s'arrête devant un restaurant très chic, où il est accueillir comme un prince, évidemment.

Une fois installé il me demande.
- Tu comptes passé la soirée a éviter mon regard cara? ou as tu trop peur de ressentir de la culpabilité ? d'une voix lente, rauque qui me fait frissonner.
- De quoi devrais je me sentir coupable monsieur? Dis je en le regardant enfin dans les yeux en insistant bien sur le monsieur pour le fait comprendre que je ne veux pas être là.
- hum...il fit mine de réfléchir, peut être d'avoir gâché tout ce que nous avions bâtie ensemble pour une partie de jambe en l'air? Ou d'avoir voulu jouer avec moi et d'avoir perdu? reprit t'il en levant un sourcil

- Je n'ai rien gâché du tout Mr vous avez trouver plus facile de vous débarrassez de moi plutôt que d'affronter la vérité en face. j'essaie de retenir le flux d'émotion qui veut remonter à la surface, mais je me sens perdu un peu plus à chaque minute qui passe.

- Ah vraiment ? et de quel vérité s'agit il cara? parce que moi vois tu, j'ai toujours ces images de ma femme dans les bras d'un autre entrain d'écarté les jambes comme une dévergondé pour un minable petit employé de bas étages qui me tournent dans la tête depuis 2ans déjà. Me crache t'il au visage avec une telle haine dans le regard et la voix que je sens tout mon corps tremblé, non il n'a pas le droit de faire sa.
J'attrape mon sac avec la ferme intention de m'en aller, je ne vais pas resté là pour me faire traité de tout les noms, mais ce qu'il dit me coupe dans mon élan
- Si tu bouge de cette chaise tu es viré cara.. avec un calme qui fait froid dans le dos
- Quoi? soufflai je en ressentant une douleur me tordre l'estomac
- Tu as bien entendu cara.
- C'est du chantage.. m'écrais je presque
- Prend le comme tu veux. Dit il avec nonchalance, en levant négligemmant des épaules
Éberlué je sens mon souffle se coupé.
- Pourquoi fais tu ça jace?
- Oh mais c'est très simple cara, parce que, j'ai une proposition à te faire et tout dépend entièrement de toi.
Je sens le pire,
- Qu'est-ce que tu veux?
Il abord un sourire sinistre qui me faire pâli avant de déclaré
- Une nuit avec toi...