La Vengeance De Jace Andersson

chapitre 22

— quoi? ahurie, abasourdie, choquer, ce sont les mots juste pour décrire mon état en se moment, mon coeur rate plusieurs battements, je bâts énergiquement des cils pour être certaine d'avoir bien entendu
— comme tu as pu le voir cara, nous sommes toujours officiellement marié aux yeux de la loi. Avance t'il en se calant confortablement sur le dossier de sa chaise avec un sourire en coin comme s'il était fière de son coup, et c'est peut être le cas.
Je porte une main nerveuse sur mon front, je crois que je vais tomber dans les pommes c'est sûr ou du moins tout vomir avec un peu de chance sur lui. Je le regard plusieurs minutes comme s'il n'a jamais été en face de moi, et bien contre mon gré je pars dans un fou rire incontrôlable, il me regarde en fronçant des sourcils, il semble furieux que je ne le prenne pas au sérieux mais il fait fausse route hein, je suis juste nerveuse parce que la suite de tout sa va être encore plus pire..
<<il n'a jamais signer danie tu es toujours sa femme tu te rend compte ?>> me dit ma conscience alors que je suis en mode panique.
— je peux savoir ce qu'il y'a de si drôle ? Me demande t'il au bout de quelques minutes la voix grave, ces yeux me lancent des éclaires, je souffle et reprend mon sérieux, je lève le menton pour l'affronter, s'il croit que parce qu'il n'a pas eu le courage de signer je vais lui tomber dans les bras c'est mal me connaitre.
— c'est toi qui me faire rire, tu sais jace j'ai toujours aimer ton sens de l'humour.
— alors réjouis toi amour car il est à toi et pour l'éternité qui plus ai. rétorque t'il avec un sérieux qui me donne des frissons sur tout le corps..
— tu pense sincèrement que parce que tu n'as pas eu les couilles de divorcé ça va changer quelque chose? Si c'est le cas mon chère jace laisse moi te dire que tu te trompe lourdement. Dis je avec un sang froid qui me surprend moi même.
Il sert la mâchoire et je devine aisément que ces poings sont serrer sous la table.
— et pourtant sa change tout cara, tu veux savoir pourquoi ?
Je fronce des sourcils pour l'invité à continuer, il se redresse de sa chaise et prend ma main oublier sur la table, il la sert légèrement, dire que je ne ressent rien à son contact serait un gros mensonge mais j'essaie de ne rien laisser paraître..
— eh bien parce que tu es prête à tout pour tes amis cara, nous le savons tout les deux, alors je vais te donner mes règles et tu vas devoir m'obéir.

J'ouvre la bouche en grand outré
— encore une menace jace? Que veux tu cette fois si? La dernière fois ne t'a pas suffit? Pourquoi tiens tu tellement à me faire souffrir ? Qu'es ce que je t'ai faire hein?
Ma respiration est saccadé, je n'arrive pas à le croire, pourquoi faut il qu'il foute la merde partout. Je bâts des cils pour retenir mes larmes qui menacent de couler, je ne vais pas flanché maintenant, non.
— qu'est-ce que tu veux cet fois si ? Soufflais je. Il ne répond rien il me fixe simplement avec comme du regret et de la tristesse dans ces yeux noirs.
Je baisse les yeux sur nos mains toujours lier et je me demande pourquoi je n'ai toujours pas dégager ma mains, <<parce que tu aimes son contact>> me rappelle ma foutue conscience.
— qu'est-ce que tu veux ? Répétais je dans un souffle en relevant la tête.
— ma femme. Répond t'il enfin d'une voix grave qui me faire frémir, j'aurais préféré qu'il se taise.
— ta femme ? Ah rien que sa? Alors c'est impossible désolé.
— si c'est possible puisque tu l'es toujours, ce que je veux, c'est que...
— que quoi jace? Que je revienne chez toi peut être ? Que je revienne enduré toute cette souffrance, cette humiliation que j'ai dû encaisser toutes ces années sans bronches hein? C'est sa que tu veux?

Sa mâchoire se contracte plus fort, ces pupilles se dilatent. Il se lève rapidement, jette quelques billets sur la table et prend ma main pour que je me lève.
— allons continuer cette discutions au calme. Dit il en me tirant dans sa course folle.
— lâche moi tout de suite, je n'ai plus rien à te dire, criais je une fois dehors, en arrachant ma main de son emprise.
— je te demande de te calmer s'il te plait, et de monté.
Je le toise avec toute la froideur, la rage, la haine que j'ai en moi. Je pense à tout ce que j'ai dû enduré par amour pour lui, et sans contrôlé mon corps je lui fonce dessus.
— je te déteste jace Andersson tu entends? Je te hais tellement, jamais je ne te pardonnerai...disparait de ma vie, fiche moi la paix...hurlais je comme une folle en le frappant de toute mes maigres forces, je défoule sur lui tout ce que j'ai garder tout ce temps, mes peurs, mes frustrations, mes humiliations, mon amour..tout.
— tu es un monstre, je te déteste tellement si tu savais.
Il arrêt finalement mes poignets d'une main et il passe l'autre derrière ma nuque pour me maintenir et c'est la goutte de trop, j'éclate en sanglots dans ces bras musclés et fermes qui m'avaient tant manquer. Il caresse mes cheveux en me chuchotant des mots doux à l'oreille et je pleures de plus belle, je n'arrive plus à m'arrêter.
Après quelques minutes je me redresse et passe une main sur mes yeux gonflés en reniflant vulgairement, il passe son pouce sur ma joue humide en prenant mon visage en coupe, et me sourit tristement, et déclare
— je suis tellement désolé cara, je regret amour, j'ai été stupide je le sais, mais je suis incapable de renoncer à toi tu m'es trop importante.. Souffle t'il avant de posé délicatement ces lèvres contre les miennes....