chapitre 13

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Ce petit entrevu avec jace m'a complètement coupé l'appétit, quand je suis retourné à notre table j'étais toujours chambouler alors j'ai demandé à angèle de prendre des plats à emporter et nous sommes rentré.
Cette journée détente avait finalement tourner au cauchemar pour moi, mais au moins ange a eu sa promotion, quand nous sommes rentré je suis directement monté dans ma chambre et trente minutes plus tard elle a déboulé en criant de joie.
Je suis très heureuse pour elle, mais je ne peux m'empêcher d'avoir un petit pincement au coeur en sachant que je serais loin d'elle.
— Tu es sûr que ça va aller? je peux tout annuler tu sais. répète t'elle pour la je ne sais quantième de fois depuis que nous sommes quitté de la maison.
— Oui ne t'inquiète pas je te dis, en cas de problème je t'appelle ne t'inquiète pas.
— Tu vas trop me manqué ma danie
— Toi aussi mon ange, mais tu mérite se poste plus que n'importe qui, et tu embrasse nath pour moi d'accord ?
— D'accord. je lui serre une dernière fois dans mes bras en retenant mes larmes et lui laisse partir. je la suis du regard jusqu'à ce qu'elle disparaisse de mon champ de vision en essuyant mes larmes et me décide enfin à rentré à la maison, je n'oublie pas ce qui m'attend ce soir, je souffle et monte dans un taxi.
Pendant le trajet je me demande ce qui va se passé quand je serai avec lui? es ce qu'un jour il va découvrir ce qui c'était vraiment passé ? Et surtout es ce que je pourrais trouvé la force de lui pardonner cette humiliation un jour? Je sors de mes pensées quand le chauffeur me dit que nous sommes arrivé, je règle ma course et sort de la voiture en le remerciant, je remarque une voiture noir garé devant mon immeuble et un homme en costume en sort.
— Bonjour mademoiselle je suis henri, le chauffeur de Mr Andersson.
— Bonjour henri, je suis danie ravi de vous rencontrez. dis je avec mon sourire le plus polie
— Mr m'envoie vous donnez ceci, il me tend un paquet
— C'est quoi? je demande en fronçant des sourcils
— Il m'a juste chargé de vous l'apporter mademoiselle, et vous devez être prête à 19h.
Interloqué je prends quand même le paquet en murmurant un bref
— Merci. et je monte dans l'appartement, je pose le paquet sur la table et me dirige à la cuisine. La maison semble si vide sans mon ange elle me manque déjà, je me sens seul. Mon téléphone sonne je décroche sans vraiment prêté attention, je répond d'une voix faible
— Allô ?
— Alors tu es satisfaite? elle a eu sa promotion n'est ce pas cara? je ne répond pas aujourd'hui je n'ai même pas le coeur de me battre contre lui, je voudrais juste qu'il me laisse tranquil, qu'il disparaisse de ma vie, mais on dirai qu'il n'est pas de cet avis.
— qu'es-ce que tu veux jace?
— tu as bien reçu mon cadeau?
— oui et je ne le veux pas, je ne veux rien de toi juste que tu reste loin de moi, alors...
— ouvre le, tout de suite. me coupe t'il de sa voix rauque et grave, je souffle et me dirige vers le fameux cadeau, quand je l'ouvre je découvre une robe rouge, enfin si on peu appeler ça robe ce bout de tissu.
Je suis horrifié, il ne veut quand même pas que je porte sa?
— non mais t'es complètement malade si tu pense que je vais porté sa tu peux toujours courir, tu m'as pris pour une pute ou quoi. Criais je dégouté
— Et pourtant c'est ce que tu vas faire cara, ça te convient vraiment pas vrai, vu que tu es.. il laisse sa phrase en suspend et raccroche.
Les larmes me montent aux yeux, je me sens humilié, impuissante, faible. je m'assois et pleure presque tout la journée avant d'être emporté par un profond sommeil.

Quand henri est venu me chercher, j'étais encore endormi il m'a laissé le temps d'enfiler le tissu qui ne cache presque rien de mon corps avec ce décolté sur la poitrine et au dos et nous sommes partie.
Tout le long du trajet j'étais silencieuse perdu dans mes pensées alors quand nous sommes arrivé je l'ai suivie comme une automate, une fois que les portes de l'ascenseur se sont ouverte il m'a faire signe d'avancer et il est partie me laissant toute seul dans l'entre du diable, je suis resté planter là, le regard dans le vide jusqu'à ce que je le voie en face de moi, il aborait un sourire en coin satisfait de me voir à sa merci, Dans son Jean noir et son tee-shirt de la même couleur qui souligne parfaitement sa musculature, il est parfait, tellement beau mais en se moment pour cet homme je ne ressens que du dégoût.

La Vengeance De Jace AnderssonWhere stories live. Discover now