chapitre 19

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                       PDV de jace

Quelques jours plutôt

— Comment j'ai pu être aussi stupide merde, hurlais je en me passant les deux mais dans les cheveux, je crois que je deviens fou. Comment ont ils pu me faire ça ? Ils étaient tous de mèches et je n'ai rien vu, une rage folle s'empara de nouveau de moi et je détruis tout sur mon passage tel un ouragan, je sais que ça ne sert à rien, que ça ne fera pas revenir ma femme.< Parce que oui elle est toujours à moi> mais j'en ai besoin il faut que je passe mes nerfs sur quelques choses, quand je me retourne vers la petite table en verre près du mini bar pour le balancé je vois cette photos, la photo de ma femme plus souriante que jamais, je me rappelle parfaitement du jour que je l'ai prise, elle était entrain de lire sur le balcon de notre appartement le soleil se reflétait magnifiquement sur sa peau laiteuse, et ces cheveux d'un noir intense brillait tellement, j'étais perdu dans ma contemplation elle était tellement belle, quand ces yeux d'un bleu claire se sont relevée sur moi mon univers a pris tout son sens j'étais tellement heureux à cet instant. Et il a fallu que je gâche tout, je me laisse glisser sur le sol en serrant sa photo dans mes bras, je suis impardonnable, comment ai je pu croire qu'elle pouvait me tromper, j'ai préféré les écoutés sans lui donner une chance de m'expliquer, j'ai préféré fuir comme un lâche au lieu de cherché à comprendre.
Je ne pu empêcher des larmes de désespoirs de dévalé mes joues, je l'ai brisé, humilié, rejeté, traité de tout les noms pendant qu'elle le supportait, et encaissait tout, pas ma faute elle a perdu notre enfant, jamais je ne pourrais me le pardonner ,jamais.

J'attrape la bouteille que j'avais déjà bien entamé et la porte à mes lèvres, à cause de cette stupide peur, oui cette peur de l'aimé comme elle le mérite je l'ai chasser de ma vie et de la pire des manières, je me dégoute putain.
Je bois encore et encore en essayant de faire passé cette douleur qui me comprime le coeur, je n'ai pas su protégé la seul personne qui voyait du bon en moi, celle qui m'aimait vraiment pour ce que je suis, et il a fallu que j'en rajoute une couche pour apaisé mon putain d'égo, je lâche un rire amer et bois encore une gorgé. Ma danie qu'ai-je faire? Et je pleure de plus belle ne supportant plus cette image d'elle en pleure me suppliant de l'écouter, et sa ne suffisait pas il a fallu je lui demande un <<hériter>> pathétique.
Comme dans un brouillard épais j'entends mon téléphone sonné au loin mais je suis vidé de toute énergies, je ne veux voir personne, juste me laissé mourir,  je ne sais depuis combien de temps je suis ici à me soulé et je m'en fou royalement, je voudrais tellement qu'elle soit là avec moi,  je sais que c'est égoïste de ma part après ce que je lui ai faire mais je m'en fou je la veux avec moi comme il y'a deux ans merde, je veux que ma femme soit près de moi, qu'elle me dise que tout va bien se passer, qu'elle m'aime encore, qu'on peut tout recommencé, mais je sais que c'est impossible. J'ai trop merdé.

Après son départ il y'a deux ans j'ai enchainé les maîtresses en essayant de me convaincre que son départ ne me touchait pas, je savais que ce n'étais qu'un leur, puis il y'a trois mois sur un coup de tête j'ai décidé de lui faire payer son infidélité, je voulais qu'elle soit aussi mal que moi, qu'elle ne réussisse pas à m'oublier et j'ai tout de suite penser à un enfant.

— Quel con me dis je en riant de plus en plus fort. Mes parents, ces gens pour qui j'ai toujours tout donné, ils ont brisé la seul personne qui comptais vraiment à mes yeux juste pour leurs intérêts. Quelle ironie, quand on se disputaient elle me disait toujours qu'ils ne l'aimaient pas et une fois de plus j'ai faire la sourde oreille comme à chaque fois.
Je bois encore et encore ma vu est trouble, mon corps pâteux, je divague complètement, mais au loin j'ai l'impression qu'une voix m'appelle mais je dois sûrement perdre la tête, personne ne sait où je me trouve, enfin je crois..

Quand j'ouvre les yeux, une vive douleur me saisie et je les referment immédiatement en poussant un juron, j'ai un putain de mal de crâne, que c'est il passé ?
— enfin réveiller, dit une voix à l'entrée de la porte je retourne vers celui si pour y voir mon cousin qui me regarde avec un sourire narquois sur le visage. Je me redresse pour le confronté, enfin j'essaie.
— que fais tu là ? Je porte une mains sur ma tête qui me fait souffrir et fronce des sourcils pour faire passé la douleur.
— eh bien mon petit jace je t'ai connu dans un meilleur jour mon vieux, fit il en me tendant un verre d'eau et des comprimés que j'avale avec un faible merci.
— prend une douche et viens me trouver en bas il faut qu'on parle, le ton sérieux qu'il vient d'employé ne le ressemble pas alors j'en conclus que c'est urgent alors j'éxecute sans un mot.
Dans la salle de bain je remarque que j'ai des cernes sous les yeux et me soulé n'a rien rien retiré à cette douleur que je ressens, bien au contraire, j'ai l'impression de mourir à chaque respiration.
— magne toi Andersson. Je sors de mes pensées et prend une douche rapide, je m'habille rapidement pour le rejoindre, mais une fois en bas j'ai à peine le temps de descendre la dernière marche que je reçois un coup de point en pleine gueule...

La Vengeance De Jace AnderssonKde žijí příběhy. Začni objevovat