chapitre 15

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Les deux semaines qui ont suivir, je l'evitais complètement, j'évites de me retrouver en face de lui et surtout seul.
Angèle m'appelle souvent pour prendre des nouvelles, pendant ces heures au téléphone avec elle et nath, je me sens plus légère , plus normal mais dès l'instant qu'ils raccrochent la solitude reprend son rôle.
Actuellement je me trouve avec les enfants de l'orphelinat du quartier et nous sommes entrain de dessiné ce qui me permet de m'evadé un peu de ma triste vie, je regard les enfants qui sont entrain de se mettre de la peinture partout ce qui me fait rire, lola mon petit bébé de trois ans vient vers moi avec son dessin, sourire aux lèvres, ces yeux brillent tellement. Oh mon dieu elle est trop belle cette petite.
— danie dessin, elle me tend son dessin que je récupère avec le sourire.
— Merci mon chou, dis je en lui fesant un bisou sur la joue, alors tu as dessiné quoi?
— Toi ton amoureux et ton bébé, dit elle fièrement, mon sourire se fige un peu quand elle dit sa, je ressent une douleur familière  dans le coeur mais je me récessis vite et reprend pour qu'elle ne pleure pas.
— merci mon amour je vais le mettre près de mon lit pour toujours pensé à toi, dis je le plus calmement possible
— c'est vrai? Dit elle avec des étoiles plein les yeux
— bien-sûr que oui. Elle me saute dans les bras, me plaque un bisou sur la joue et s'en va en courant, elle est incroyable cette petite, toute pleine d'énergie.
J'ai passé toute ma journée avec eux, puis au moment de rentré alan un ami a proposé de me raccompagner, étant beaucoup trop fatigué j'ai accepté, tout le long du trajet il me racontait ces aventures avec sa nana et je dois dire que je plein vraiment la pauvre fille qui fait battre son coeur.

Une fois devant mon immeuble je lui fais une bise en lui souhaitant bonne soirée et sort de la voiture, je monte, une fois à la maison je fonce à la cuisine pour grignoter un truc, mais à peine j'ouvre mon frigo que quelqu'un s'acharne sur ma sonnette.

— oui j'arrive y'a pas le feu quand même, marmonais je dans ma barbe, dès que j'ouvre une masse noir s'introduit dans mon salon sans être invité, mon coeur se met à battre immédiatement je me retourne pour trouver son regard plus noir que de l'encre posé sur moi.
— Qui était ce type? encore un de tes amants? tu en as combien à la longue hein, gronde t'il en haussant la voix, les yeux noir de mépris.
Je croise mes bras comme pour me protégé et le traverse pour retourner à la cuisine, je préfère ne pas répondre au risque d'avoir une crise de nerf
— Je t'ai posé une question et j'exige que tu me réponde tout de suite, crit il en me saisissant par le bras pour que je me retrouve face à lui, il me fait mal merde
— tu exige des réponses? Vraiment ? hey bien laisse moi te rappeler que tu n'es absolument rien pour moi alors je ne te dois rien, lui crachais je à la figure avec tout le dégoût, l'amertume, la rage, et le mépris qui est en moi. Alors tes crises de jalousies à deux ball garde les pour quelqu'un d'autre.
— tu porte peut être mon enfant alors je ne veux plus que ces bâtards te tournent autour sinon...
— sinon quoi jace? Tu vas encore me menacé? Où me renvoyer ? Je fais de ma vie ce que je veux et tu n'as aucun droit sur moi, en ce qui concerne ton <<héritier>> ce n'est pas parce que nous avons baisé que je suis forcément tomber enceinte de toi, je te l'ai dire, je ne porterai plus jamais un être qui à un lien avec un monstre comme toi ou ta pouriture de famille. Criais je avec rage les larmes dévalent mes joues mais je n'en peux plus alors je lâche tout, j'ai assez donner, je suis fatiguée de toujours tout prendre sur moi pour satisfaire ta putain de conscience, parce que tu refuse d'admettre que je ne t'ai jamais trompé, à cause de toi et ta famille à la con j'ai perdu le seul être pour qui j'aurais tout donner, mais il est mort pas ta faute, oui ta faute, dis je quand il plis légèrement des yeux. parce que tu es tellement con que tu ne t'es même rendu compte que j'étais enceinte il y'a deux ans, que j'attendais ton enfant, mon bébé ne verra jamais le jour par votre faute alors bravo mon seigneur vous avez tout gagné, vraiment bravo. Dis je en frappant dans mes mains, avec un rire amer.
Je suis essoufflé après tout sa, j'ai la tête qui tourne, je veux juste être seul et effacé cette douleur qui me lacère le coeur, lui il est figé comme une statut de cire.
Je me calme un peu et me dirige vers la porte que j'ouvre sèchement.
— maintenant va t'en tout de suite, mumurais je épuisé et grâce à dieu il m'a écouté et est sortie, il se retoune sur le seuille voulant sûrement dire quelque chose mais je lui claque la porte au nez et monte directement dans ma chambre
Jusqu'à quand je vais continuer à pleuré à cause de lui hein? Jusqu'à quand ?
Je ferme les yeux et après quelques minutes je sombre dans un sommeil sans rêve.

La Vengeance De Jace AnderssonWhere stories live. Discover now