chapitre 34

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Je me réveille en douceur et je pose instinctivement une main sur mon ventre en souriant, même si je me sens un peu mal je suis heureuse c'est vrai que je ne m'attendais pas vraiment à ça mais j'en suis heureuse, paniqué, inquiète peut être mais heureuse et rien ne va gâché ma journée.
Je me lève pour aller fait ma toilette, avant d'aller prendre un copieux petit déjeuner, je n'ai pas revu mon mari de la veille et pour le moment je pense que c'est mieux comme ça, s'il n'est pas disposé à m'écouter pourquoi moi je devrais encore forcé les choses hein? <<peut être parce que c'est le père de ton bébé hein>> râle ma conscience en levant les yeux au ciel. Je souffle de lassitude, ce mec est plus têtu qu'une mule, je me dirige vers la cuisine et le trouve assis à boire son café le regard plongée sur son smartphone, il ne daigne même pas lever les yeux vers moi, ce qui me fait mal malgré moi.
Je m'installe tranquillement sur la chaise Près de lui et commence à mangé dans un silence pesant, silence qu'il finit par brisé.
– j' ai pris un rendez-vous avec Lorena à midi alors prépare toi et ce soir nous dînons avec ma famille. Crache t'il de mauvaise fois en se levant pour partie mais je l'arrêt d'un calme olympique, vraiment je me félicite moi même.
– tu ne manque vraiment pas d'air hein, dis je avec un rire cynique. Tu pense vraiment que je vais aller voir ton ex pour le déroulement de ma grossesse ? Et en ce qui concerne ta famille tu peux toujours courir, c'est sans moi, je ne mettrai plus jamais les pieds dans le manoir de tes parents. Et d'ailleurs ils savent que tu as repris ton boulet ? Ils ne doivent pas être très fière de toi hein? Dis je en continuant à mangé tranquillement, jusqu'à ce que je sente son souffle sur mon cou, mon coeur s'emballe de même que mon souffle, <<bon dieu que m'as tu faire Anderson ?>>
– je crois que tu n'as pas bien compris mon coeur, je ne t'ai pas demandé ton avis, tu viens et c'est tout. De tout façon tu n'as pas vraiment le choix. Tu porte mon héritier et tu es ma femme même si je tiens assez à toi n'oublie pas qui décide ici alors magne toi.

Alors c'est ça ? Je ne suis rien de plus à ces yeux? J'aurais dû m'en douté, je n'ai jamais été qu'un jouet pour lui hein.
Je baisse les yeux pour canalisé la douleur qui transperce mon coeur en ce moment, je me lève sans un mot et me dirige vers la chambre, une fois prête je redescend et le retrouve près de la porte, toujours en silence je m'en gouffre dans l'ascenseur, il nous conduit dans le parking souterrain où se trouve une voiture noir à vitre tinté et un chauffeur que je reconnais tout de suite, je m'arrête quelques secondes pour être sur que je ne suis pas victime d'une hallucination, le choque passé je bondi littéralement sur lui.
– oh mon dieu Lucas tu m'as tellement manqué mon chou, ça va toi? oh bordel tu as tellement changé. Dis je en le serrant plus fort contre moi, il me rend mon étreinte comme s'il avait peur que je disparaisse, ce qui me faire bien rire.
– et toi donc mon étoile? tu es tellement belle, je crois que je vais faire une attaque, je n'en reviens pas que tu sois de retour.
Lucas était en quelque sorte mon conseillé et mon meilleur ami avant que tout c'est dégradé, il était un sacré don juan avant, aussi beau que son employeur, on avait une relation tellement fusionnel chose que jace ne voyait pas d'un bon œil mais je m'en foutais un peu hein.
– alors tu deviens quoi ma banane ? Demandais je avec un sourire jusqu'au oreille. Mais il n'a pas le temps de répondre qu'un rabat joie nous interromps d'un raclement de gorge, je me sépare de mon ami sous le regard noir de jace.
– nous sommes attendu et j'ai des trucs plus important à faire que de vous regardez fricoter, et à l'avenir Santos, évite de posé tes mains sur ma femme au risque de les perdre, maintenant monte. Tranche t'il plus froid qu'il ne l'était déjà ce matin, je lui lance un coup d'œil et monte sans rechigné suivie de prêt par lui.

Très vite nous prenons le chemin de l'hôpital dans un silence de mort sous les coup d'œil de Lucas et 15min plus tard nous y sommes, jace sort et m'ouvre la portière mais je décide de sortir de l'autre côté histoire d'être un peu loin de lui, ce qui visiblement l'agace, tant mieux, je continue ma route comme si de rien était, jace nous annonce et très vite nous sommes pris en charge.
Quand nous entrons dans le bureau de cette pétasse de Lorena je ne peux empêché une grimace de prendre forme sur mon visage, mais je sers les dents pour ne pas lui craché au visage, <<au sens propre hein>>.
Cette nana m'a toujours détesté parce que je m'étais marier avec jace, soit disant j'aurais pris sa place, et je pense que cette haine est toujours d'actualité vu les regards hautains qu'elle me lance avec son faux sourire, chose que je lui rends évidement.
– oooh jace mon chéri tu m'as tellement manqué, comment tu vas? Lance t'elle avec un regard aguicheur que je ne vais pas tardé à crevé si elle n'arrête pas de regardé mon homme.
– salut Lorena, je n'ai pas vraiment le temps alors dépêche toi. Répond t'il alors que moi je ne dis toujours rien.
– bien sûr si vous voulez bien me suivre. Dit elle en prenant la direction d'une petite salle dans son bureau sans oublier de roulé des hanches à sont passage, je me tourne vers mon mari et le découvre le regard fixé sur elle en se mordant la lèvre inférieure, je m'arrête net et déclare très froidement.
– il est hors de question qu'elle s'approche de moi ou de mon enfant, je ne veux pas d'une pétasse pour s'occuper de mon enfant alors si tu termine avec ta pute rejoint moi dans la voiture. Excusez moi.
Sur ce je sors en trombe du bureau pour rejoindre Lucas qui me lance un sourire, que je lui rend à grand peine.
– déjà finir?
– une pétasse a écourté la visite. Répondis je alors que lui se marre.
– je peux savoir ce qui t'a pris pour que tu lui parle comme ça ? Cris jace dans mon dos, je m'en gouffre dans la voiture sans répondre, il imite mon geste et à mon grand malheur on se retrouve rapidement à la maison, j'entre et essayer de monté directement dans la chambre mais il me retiens par le bras en me hurlant dessus.
– Je t'ai posé une question.
–  et moi je n'ai rien à te dire Anderson alors lâche moi tout de suite, tu sais quoi jace? Je suis fatiguée de me battre pour toi et me prendre toute ces humiliations en pleine face, je t'ai donné une seconde chance et en retour je ne reçois que ta froideur depuis l'annonce de ma grossesse, je suis paniqué à l'idée de le perdre, je vis avec cette douleur en moi et j'en caisse sans rien dire, mais tu sais quoi jace ? Ne t'inquiète pas je vais te soulagé de tout ça parce que tout est toujours compliqué avec toi. Dis moi hein, qu'es ce que j'ai faire pour mérité ça hein? Juste parce que je t'aime je dois subir tout ça? Non, je ne suis pas ton souffre douleur et j'en ai ma claque de tout ça Anderson. C'est pour ça que je veux le divorce et tout de suite.
Criais je en me dirigeants à l'étage en courant.

La Vengeance De Jace AnderssonWaar verhalen tot leven komen. Ontdek het nu