Tu m'as sauvé

CHAPITRE 35

Point de vue de Rose

Après cette longue journée de travail, remplie d'urgences et de cas compliqués j'étais bien contente de rentrer chez moi. Je pris la voiture et devant chez moi la voiture de Zaïr était garé. J'étais tellement contente de le voir. Je descendis rapidement de ma voiture et me précipita vers sa voiture:

- Bonjour mon..

Je n'eut pas le temps de finir ma phrase que je vis qui dormais profondément sur le siège passagé, assis, le casquette baissée pour se cachait du reflet du soleil. Même comme ça il était beau, sa bouche entre-ouverte et sa chemise noire bien boutonnée me donnait affreusement envie de l'embrasser.
Je monta côté conducteur et commença à lui faire des bisous sur la joue avant de descendre dans son cou, je sentais les frissons de son corps remontés jusque dans mes lèvres collées à sa peau, mais il était toujours endormi. J'avais très envie de m'amuser alors doucement je lui retira la ceinture de son pantalon et dégrafa sa braguette, j'entendis un petit grognement sortir de sa bouche en effet, il devait être comprimé car il était déjà bien dur dans son caleçon. Je caressa doucement sa masculinité du bout des doigts à travers son caleçon puis je m'arrêta d'un coup. Comment allait-il réagir ? Peut-être me prendrait-il pour une fille facile ? Je n'avais jamais fais ça auparavant. Puis je me dis, Rose, c'est ton mec et tu fais ce que tu veux. Les femmes ont tout autant le droit d'avoir du désir que les hommes. Alors je continua mes caresses, lui toujours endormi mais son corps parlait pour lui. Quand je baissa son caleçon, il commença à bouger de plus en plus et à entre ouvrir les yeux, il n'eut pas le temps de se réveiller complètement que je pris son membre dans ma bouche et commença à faire des vas et viens. Je le vis ouvrir grand les yeux, il me regarda sans comprendre, pendant quelques secondes il sembla totalement perdu, je m'apprêtais à arrêter mais il passa sa main dans mes cheveux pour m'inciter à continuer.

- T'arrêtes pas mon amour..

Ces petits mots qu'il avait susurrait m'avaient donné encore plus l'envie de lui faire du bien. Les yeux révulsés, ses belles lèvres qu'ils mordaient et son râlement de gorge si profond, on aurait dit un tableau représentant la sensualité d'un homme. Soudain je sentis qu'il allait venir dans ma bouche alors j'allais de plus en plus vite mais il m'arrêta juste avant de finir.

- Non.. Je veux te faire du bien ma belle

Il me prit par la taille m'indiquant de venir sur lui, je portais une robe noire avec des collants, il déchira mes collants d'un coup de main et écarta mon tangua pour venir caresser ma féminité. Il prit possession de mes lèvres avec les siennes et ce fut comme une délivrance pour moi, comme si je n'attendais que ça, sa bouche contre le mienne. Il inséra doucement un doigt en moi et un grand sourire se dessina sur ses lèvres:

- Hm.. Ça te fait autant d'effet de me faire du bien..

Je rougis sans savoir quoi répondre il sourit encore plus et avec ses yeux me demanda l'accès à ma féminité que je lui offris avec grand plaisir. J'étais sur lui et je m'asseyais doucement sur sa verge. La sensation était incroyable, on se regardait dans les yeux comme si on allait se mangeait tout cru, il se mordait la lèvre presque jusqu'au sang et moi ma bouche s'ouvrît pour laisser sortir un long gémissement de plaisir. Après plusieurs vas et viens langoureux, il finit à l'intérieur de moi. On resta quelques instants comme ça, sans parler, sa tête entre mes seins, ses mains autours de ma taille et nos respirations bruyantes.

- Je t'aime Prononça t-on exactement au même moment

Front contre front, les yeux dans les yeux, et nos corps transpirants l'un contre l'autre, on venait de se dire je t'aime en même temps.