Tu m'as sauvé

Chapitre 14

Point de vue de Zaïr

// PROPOS À CARACTÈRE SEXUEL, ÂME SENSIBLE S'ABSTENIR//

J'ouvris doucement les yeux en sentant ses cheveux chatouiller mon nez, elle avait une masse de cheveux impressionnante, remplie de boucles brunes à la racine et finissant en cascade d'or. Ils sentaient un mélange de fleurs, de mangue et de noix de coco, des parfums exotiques qui lui allaient à merveille. Elle avait quelques gouttes de sueur qui perlaient sur son front. Cette nuit, il avait fait une chaleur monstre, elle s'était endormie dans mes bras et n'avait pas voulu les quitter, ce qui ne m'avait pas déplu. Mais je m'étais endormi tout habillé et je cru d'ailleurs crever de chaleur, j'ai donc fini par enlever mes habits pour ne rester qu'en caleçon.

Je caressa doucement ses cheveux et elle posa subitement sa cuisse sur mon entre jambe. Un soupir de surprise sorti par inadvertance de ma bouche mais elle ne bougea pas.
Ses petits yeux fermés, elle mit alors sa main sur mon torse en bougeant lentement sa jambe.
Il n'en fallait pas plus pour qu'elle attise tous mes sens. Je déposa ma main sur sa cuisse et l'effleura du bout des doigts. Je sentais qu'elle gesticulait de plus en plus et qu'elle allait bientôt se réveiller mais je n'arrivais pas à arrêter ma main. Elle tourna la tête à l'opposé de moi pour me laisser une parfaite exposition sur son cou.
Alors, sans pouvoir me retenir, je déposa lentement une multitude de baisés dans son cou, je sentis son corps se cambrer contre moi, ce qui ne fit qu'augmenter le désir que j'avais pour elle, puis elle se tourna doucement vers moi et d'une voix légèrement cassée me chuchota

- Continue..

Je cru que mon érection allait exploser dans mon caleçon. Je continua à déposer des baisés dans son cou, de plus en plus langoureux, de plus en plus agressif, et je sentais qu'elle aimait ça.
Je ne sais pas si c'est la chaleur de cette chambre ou simplement l'attraction de nos corps mais il m'était impossible de me contrôler.
Lorsque ses gémissement parvint enfin à mes oreilles, je su alors que j'avais trouvé le son le plus agréable au monde.
La bouche légèrement ouverte et les yeux fermés, elle appuyait doucement sur ma tête pour m'inciter à continuer.
Au moment où je m'y attendais le moins, elle se mit à jouer avec l'élastique de mon caleçon.

Tu sais ma belle elle est déjà bien dure à cause de toi

Elle me caressa par dessus mon caleçon et vis à quel point elle me faisait de l'effet, le rouge lui monta immédiatement aux joues et elle retira sa main en me regardant.
Alors je pris les devants, je lui enleva sa nuisette que j'aimais temps pour laisser apparaître deux magnifiques seins parfaitement modelés. Elle avait une poitrine généreuse qui me faisait complètement craqué. Je déplaça ma bouche de son cou à ses tétons pour venir les titiller avec ma langue, elle était très sensible de cette zone, elle gémissait et se tordait dans tous les sens sous ma langue joueuse.
Ensuite, je descendis mes lèvres sur son ventre jusqu'en bas et la regarda dans les yeux, elle était haletante devant moi, ses yeux me suppliaient d'achever ce que j'avais commencé alors d'un air taquin je lui chuchota

- Qu'est ce que vous voulez Mademoiselle Davis ? En embrassant son bas ventre

Elle ne répondit pas.

- Je peux vous tenir comme ceci très longtemps vous savez, au bord du plaisir mais sans jamais l'atteindre..

Son regard était entre l'énervement et la pitié puis elle réussi à dire dans un gémissement

- Fais moi du bien..

Je souris à pleine dents, arracha son tanga et alla embrasser sa féminité. Elle enfouit ses mains dans mes cheveux et poussa de longs gémissants. Je laissa parcourir ma langue sur toute son intimité en alternant les cadences quand soudain elle serra ses mains dans mes cheveux, se cambra au maximum et sa bouche s'ouvra en formant un rond parfait.
Je la regarda dans les yeux et elle cria mon prénom en tremblant légèrement.

C'était son premier orgasme.