22- Toi et personne d'autre !

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! ! Pas corrigé, désolé je pense que ce chapitre va être bourré de fautes ! ! Réecriture,ok

La porte ne s'ouvrait toujours pas, c'est dans un élan assez faible que je retrace mes anciens pas. Est-ce qu'il va bien, pourquoi il ne vient plus au bureau ? Un "clic" me fait sortir de mes pensées, juste devant cet ascenseur lent.

"Oui ?" Sa tête tourne à droite et à gauche.

"Oh excusez-moi, j'ai sonné, mais je pensais me trouver au domicile de Jacob James." Dis-je en revenant sur mes pas.

"C'est bien chez lui, vous êtes ?"

"Euh, je ne pense pas que c'est utile de le savoir..."

"Lizzy, c'est qui ?" Une voix masculine, que je connais sur le bout des doigts résonne. C'est qui cette femme, sa nouvelle proie ? Copine ou sa femme ? ! La jalousie me ronge.

"Je ne sais pas... "La porte s'ouvre en grand me laissant apercevoir Jacob, mon dieu. Son état est pitoyable...

"Leila, "souffle-t-il. "Lizzy, est-ce que tu peux nous laisser ?"

"Je... Je vais vous laisser, au revoir Frangin prend soin de toi, appel moi si ça ne va pas, au revoir mademoiselle." Elle prend ses affaires et part sans se soucier de moi.

"A bientôt, fait attention sur la route, "crit-il dans le couloir. Un silence s'installe entre nous, lorsque les portes de l'ascenseur se referme. Ni lui, ni moi n'osons parler ou même se regarder dans les yeux. Puis, dans un élan soudain..

"Je..."

"Que veux-tu ? !" Son ton était assez froid.

"Je... Je..."

"Tu veux quoi !" Grogne-t-il en se répétant.

"Je voulais simplement prendre de vos nouvelles et vous donnez ceci, "dis-je en tendant un dossier." Vous devez le lire et signer, c'est un document important."

"Comment as-tu trouvé mon domicile !"

"Est-ce que l'on doit vraiment parler ici, dans ce couloir !"

"Entre."

"Donc, tu as fouillé dans mon bureau ?"

"Je... Oui, je sais que c'est mal, mais votre état de santé m'inquiète, cela fait un mois que vous n'êtes plus présent physiquement à l'entreprise, tout le monde s'inquiète."

"Je vais bien, donne ce dossier et rentre chez toi." Pourquoi, je me tue à le vouvoyer, alors que monsieur me tutoie sans pression ? Je ne vais plus me priver pour retenir de parler. " Je vais bien " sérieusement, son teint est pale et son visage semble si triste.

"Déjà, tu vas baisser d'un ton, je ne suis pas ta chienne, mais une femme, mais tu ne sembles pas faire la différence. Je viens ici pour prendre de tes nouvelles, alors que je ne devrais pas à cause des événements précédent ! Puis, pour te donner ce dossier assez important, car tu ne prends plus le temps de venir gérer ton entreprise." Au moment où mes paroles sortent de ma bouche, je rentre dans son salon, ou plein de courrier et fleur traîner sur la table et sur d'autres meubles. Mon monologue se stoppe directement, ayant compris que quelque chose de non joyeux venait de se produire. Mon corps se retourne vers celui que je désire tant, Jacob est appuyé contre l'encadrement de la porte.

"Je suis désolé, enfin... Euh... Toutes mes condoléances... Je vais te laisser... "Je commençais à retrousser mon chemin, encore une fois. Soudain, sa main vient retenir mon poignet dans mon élan de fuite. En ce moment, c'est dans mes habitudes de m'enfuir ou même de repasser sur mes précédent pas.

Mon boss est un connard sexyWhere stories live. Discover now