9- Une pauvre conne

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! ! Pas corrigé ! ! Réecriture, ok

Un sourire narquois apparaît sur son visage, comme-ci rien ne pouvait le toucher, même les balles ne le transperçaient pas, il se lève en se dirigeant vers moi avec un air sérieux. Une pointe de domination. Hum.

"Alors, pourquoi quand je m'approche de toi, ton corps ne me repousse pas, explique moi ces frissons qui te donnent la chair de poule quand mon regard se pose sur toi ? " Ses yeux me détailler, chaque geste étaient inspectés à la minute près, gênant.

"Tu t'entends parler ? Je suis ta secrétaire bordel ! ! " Je me lève du lit en enlevant tous les fils qui me relis aux machines, me mettant dos à lui et face à cette fenêtre sale de l'extérieur.

Mes jambes étaient non couverte par leur habile d'hôpital, comment vous dire que je me sens nu dedans et c'était un peu le cas... Deux mains viennent se poser sur mes hanches et un frisson me remonte dans le dos, comment je me déteste. Il sait l'effet qu'il peut avoir sur moi et je me déteste de le faire autant voir. Quelle femme ou même homme peu résiste à cette pulsion, cette attirance ou sexuelle physique pour une personne. Putain.

" Tu ne devrais pas abuser de ma faiblesse, Jacob " Je sais qu'il n'abuse pas de moi, c'est juste que je n'ai pas réfléchis avant de lui balancer à la gueule, c'est un moyen de me protéger même si le mot est faible. De plus, je ne sais pas ce que je veux, un jour j'ai envie de jouer avec le feu et le lendemain je fais la petite fille qui ne veut rien, c'est épuisant. Je m'épuise.

Mes pieds quittent le sol, me retrouvant dans ses bras chauds... Je déteste cette faiblesse qui gagne mon corps. Jacob me repose dans ce lit non confortable, sans oublier de me couvrir de cette petite couverture.

" Penses-tu vraiment que j'abuserais d'une personne en faiblesse ? Penses-tu, que je suis ce genre de connard ? Je ne suis pas un modèle je sais, mais abuser de quelqu'un, non. Quand je fais mes affaires la personne est consentante et pourquoi je me justifie ! ! Je n'ai rien à me reprocher" Il semble déçu ... La boulette de l'année est décernée à... Moi !

"Je ... "

"Non ne gaspille pas ta salive pour ton patron, je vais te laisser, comme tu es fatigué, bonne nuit"  La porte claque fortement, fessant un bruit dans tout le couloir. Aie

Je ne sais pas pourquoi, ni comment avec le peu de force que mon corps possède, je me suis mis à sa poursuite dans les couloirs de cet hôpital qui me donne la chair de poule. J'avais beau crier son prénom, le principal concerne ne se retourne pas, pas un seul regard à mon égard, dans un dernier souffle...

"Jacob ! " Cris-je avant de tomber, ce putain de sol est glissant, fait chier.

Il se retourne dû au bruit, mais ne s'attarde pas plus que ça, car il continue son chemin me laissant seule comme une conne au milieu de ce couloir, avec ces gens qui me regardent avec peine. Un infirmier me relève et m'aide à regagner ma chambre, je me sens tellement minable dans les bras de cet homme qui me fait la morale.

Il me pose dans le lit, me relis à la machine et part en me demandant de me reposer sagement, comme si j'étais une enfant de cinq ans. Connard. Mes yeux se ferment et je ne tarde pas à rejoindre les bras de Morphée.

***

Quelques jours après mon petit passage à l'hôpital et ma semaine à me rétablir, je retourne enfin travailler, se fut avec un stress énorme que l'ascenseur monte les étages qui me séparent de son bureau. Une fois arrivée à mon étage, c'est avec un pas décidé que je me dirige vers mon bureau, lorsque j'aperçois sa porte mon courage venait de prendre la fuite, celle-ci était ouverte. Son regard étaient encrée sur ces feuilles, mes talons claques contre le sol pour me diriger vers mon bureau, quelques notes étaient posés par ma remplaçante. Mon premier réflexe est de prendre note de son emploi du temps de cette semaine, de ranger mon bureau et de trier les papiers que ma remplaçante avait laissées traîner.

Vers onze heures, je sors de mon bureau pour prendre un café, fessant bien attention à mettre correctement ma jupe crayon, à ce moment Jacob sort lui aussi de son bureau. Ses yeux me regardent de haut en bas en se focalisant sur les bleus que j'avais sur les genoux dû à ma chute dans le couloir de l'hôpital, je lui tourne le dos pour me chercher mon café que j'attends depuis si longtemps.

" Je prendrais aussi un café mademoiselle Williams" Sa voix est froide...

***

J'arrive devant ça porte avec les cafés, lorsque je frappe contre le bois de sa porte sa voix me donne l'autorisation d'entrée. Monsieur James était devant cette immense baie vitré, les mains dans les poches, droit comme un "I".

" Votre café monsieur James" Leila ! ! Reprend toi, il ne mérite pas ta gêne.

Jacob se retourne dans ma direction sans oublier de me regarder de travers. D'un simple geste, il me fait comprendre de poser le café et de partir. Super... Mais, je suis décidé à rester et à m'expliquer avec lui, alors je ferme la porte de son bureau et lui fait face.

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Hello, j'espère que vous allez bien et que vos journées se déroule bien ! ! ^^

XxCass

Mon boss est un connard sexyWhere stories live. Discover now