Lorsqu'une jeune femme au doux prénom de Leila Williams croise le chemin de Jacob James patron d'une grande entreprise qui s'intitule " James'mag". Monsieur James est un homme séduisant, un sex-appeal de haut niveau. Elle va découvrir des sensations...
Vers l'après-midi, monsieur James m'a demandé de venir dans son bureau pour traduire des papiers importants pour la société. Assise devant lui avec un crayon dans la main que je fais taper contre le bois du bureau de temps en temps, je confirme ce bruit est agaçant voir stressant pour une personne comme vous et moi. Son regard me brûle minute après minutes, soit à cause du bruit énervant soit à cause de ma tenue qui n'est pas approprier d'après monsieur, je veux tout diriger. C'est assez gênant pour une femme qui veut seulement travailler et rien d'autre.
" Il vous reste combien de feuille à traduire ? "Et la forme de politesse, vous connaissez ?
" Encore une dizaine de feuilles, monsieur "
J'ai une folle envie de souffler de mécontentement, mais pour rester professionnel, je fais mine de rien. Et de toute façon je suis ici pour travailler pas pour glander. Puis, je pense à mon week-end où je vais encore travailler dans ce bar pour avoir un bon mois de salaire, ma semaine promet d'être longue et ennuyeuse. Sans oublier les clients désagréables, les personnes qui vomissent devant tes pieds... Une très longue semaine.
" Vous m'écoutez ? " Me gronde la voix de mon patron qui en même temps me fait sortir de mes pensées les plus lointaine.
"Excusez-moi, vous disiez "Tente-je de rattraper.
" Annulez le rendez-vous de quatorze heures, je dois me rendre en ville pour manger avec une amie"
" Je fais cela de suite, monsieur"
"Bien, bonne journée "
" À vous aussi "
Je vous présente l'homme à femme, personne ne mérite d'être traité de la sorte par un homme qui se pense puissant et au-dessus de tous. Hier, une magnifique fille est sortie de son bureau avec la robe relève, je trouve cela bizarre, car aucun bruit ne m'a dérangé hier, est-ce que ces femmes cherchent à lui faire une réputation ? Ou c'est vraiment un coureur de jupon ? Quand j'ai fait des recherches sur lui hier, les articles disaient qu'aucune femme n'étaient à sa hauteur, qu'il ne cherchait rien de sérieux à par du sexe. D'autre, ont écrit qu'il était marié à une charmante femme, qui le laissait aller à droite et à gauche. D'ailleurs, qui veut ça dans sa vie ? Aucun article était positif sur lui et j'ai peur que tout cela nuit à sa réputation, étant un directeur très efficace dans son travail.
Je quitte son bureau pour regagner le mien, car je dois encore changer son emploi du temps. Je me demandais pourquoi aucune secrétaire était resté jusqu'à ce jour, maintenant j'ai compris, Monsieur James est très exigeant sur le travail à fournir, nous devons aller droit au but, sans faire d'erreur. Une seule erreur et c'est la porte devant tes yeux.
***
La nuit venait de tomber sur Londres, la fatigue se faisait ressentir dans l'entreprise. Alors, dès que vingt heures apparaissent sur l'horloge, je me précipite sur mon sac pour commencer à partir et pour fois je n'ai pas de dossier à traduire ou à remplir. On va dire que c'est un poids en moins. Monsieur James n'est pas revenue de la journée, je ne m'inquiète pas pour lui, il doit être entre de bonne et douce main d'une de ses relations d'un soir. En fait, je m'en contre fou de sa vie de fils de riche ou de fils à papa, de toute façon ça revient au même. Je suis qui pour juger moi ? Rha!!! Je prends le chemin de mon appartement pour rejoindre ma petite famille, à peine rentrée une petite tête brune me saute dessus, en retour je sers son petit corps contre moi.
" Alors, ma puce, l'école s'est bien passée ? "
" Oui, j'ai eu une bonne note en mathématiques "Dit-elle avec un magnifique sourire.
" C'est bien ma puce je suis fière de toi, où est Lucas ? "
" Il est dans la cuisine " Son sourire est tellement contagieux.
Je prends sa main pour aller le voir dans la cuisine. Monsieur était en train de préparer un dîner qui sent très bon. Mon frère est un as de la bonne cuisine, franchement il n'y a pas un jour où je mange mal. J'en connais une qui doit être ravie, Claire. Sa copine, une très jolie blonde aux yeux verts claire, avec un magnifique visage digne d'une déesse !
" Hey, petite sœur tu es déjà là ? "Dit-il en me frottant les cheveux.
" Arrête Lucas ! " Ris-je de son attitude d'enfant.
Après le repas délicieux, je laisse mon frère avec notre sœur, pour me rendre dans ma chambre. Je pose mes affaires et me dirige vers la salle de bain pour me nettoyer de cette journée épuisante. Une fois finie, je prépare mes vêtements pour le lendemain : une robe noire qui a une coupe droite, m'arrivant aux genoux, accompagné d'une paire d'escarpin simple. Je m'écroule sur mon lit qui m'a tant manqué, depuis ce matin. Mes yeux se ferment doucement pour m'envoyer au pays des rêves : Ouais ça sonne faux, pays des cauchemars.
***
Comme tous les matins, je manque d'être en retard et courir avec des talons, ce n'est pas vraiment le top du top. Et par manque de chance, je tombe nez à nez avec Monsieur James dans ascenseur. Il appuie sur le bouton pour nous faire monter au vingt-cinquième étages, je vous ai dit qu'il avait appuyé sur un bouton ? Non, ce con a appuyé sur tous les boutons pour bloquer la machine.
" ça ne va pas ou quoi ! ! " cris-je.
"ça va parfaitement " Dit-il en me regardant de la tête au pied.
Soudain la lumière s'éteint, il ne manquerait plus que ça. Comment vous dire que la peur, l'angoisse monte en moi, me retrouver dans une petite salle avec un homme m'angoisse beaucoup. Des mains viennent se poser sur mes hanches, des milliers de frissons me travers. Son souffle et si près de mon visage. Tandis, que ses lèvres se dépose dans mon cou ce qui me procure une montée de chaleur agréable. De ses mains experte, il caresse mes courbes d'une manière si douce.
" Monsieur, vous ne pouvez pas " Un gémissement sorte de mes lèvres, oups.
" Nous ne pouvons pas où tu ne veux pas ? "Un sourire coquin se dessiner sur son visage.
"Je ..."
Je fus couper par ses lèvres sur les miennes, sa langue demande la permission à la mienne pour danser une valse, toute avec élégance ses mains remontent sur mon corps. Mes mains arrachent sa chemiser pour avoir un contact avec sa peau chaude contre la mienne, mon dieu...
***
Je fus réveillé par mon réveil. Ce n'est pas humain de faire ce genre de "rêve", mon patron sérieusement !!! Leila, tu es désespérante.
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