11- Réalité

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! ! Pas corrigé ! ! Réecriture,ok

Petite note, à part je ne suis pas une spécialiste au niveau des greffes et des reins "malade", donc désolé si cela sonne parfois maladroit. Je fais beaucoup de recherche pour ne pas me diriger vers des informations complètement fausses, voilà ^^ Bonne lecture ! ! !

***

Je prends les mains de mon frère dans les miennes, comme pour me rassurer, ses mains chaudes me détend légèrement. C'est avec le cœur lourd, un rythme cardiaque élevé qu'on attend le retour de notre source de bonheur.

Trois heures, plus tard.

Nous regardons notre sœur seulement âgée de cinq ans dans son lit, avec un petit sourire, notre cœur est moins lourd et de la savoir ici avec nous est beaucoup plus rassurant, son visage a l'air si paisible. Le médecin nous a expliqué que l'opération s'est bien déroulée, que tout devraient se passer correctement par la suite, même s'il y a une possibilité de rejet, donc une prise de médicament est obligatoire. Il nous apprend aussi qu'une greffe n'est pas éternelle, qu'elle peut vivre quinze, vingt ans ou même plus avec celle-ci, mais que la greffe peut se détérioré avec le temps, par exemple si elle boit, fume ou un oublie régulier des médicaments. C'est un inconvénient d'être greffé jeune. Il nous explique aussi les médicaments spécifiques qu'elle devra prendre.

Un soulagement de savoir qu'elle ne portera plus la sonde, c'était horrible de la mettre, les pleures m'arrachait le cœur, c'était horrible de retenir nos larmes devant cette situation. Mais, heureusement qu'elle l'avait pour tenir, pendant une année... Inès a attendu à peu près un an pour un donneur potentiel et là voilà un an après avec un" nouveau rein ", une nouvelle vie s'offre à elle. Vous allez me demander, "mais pourquoi vous n'étiez pas compatible avec elle ? " C'est un autre sujet, pas maintenant...

 Lucas venait de contacter nos "parents", même s'ils sont à l'autre bout du monde, ils ne bougeraient pas leurs culs pour voir leur petite fille... Je n'ai jamais eu de lien proche avec eux, il faut dire qu'ils nous laissent souvent chez nos grands-parents, car le travail était plus important que leurs enfants, donc la famille se réunissait qu'à Noël et quelques fois pour les anniversaires. Donc, c'est mes grands-parents qui nous ont élevés et encore jusqu'à maintenant ils nous aident financièrement. C'est pour cela qu'on leur doit tout, de nous avoir héberger, donner des valeurs, les règles de politesse, donner le plaisir d'avoir des activités or de la scolarité. Malheureusement, devenu trop vieux ils ne peuvent pas toujours nous rendre visite alors Lucas a décidé de descendre tous les dimanches pour un moment famille.  

***

Jacob,

 Ce soir-là, mon appartement était bien calme, pas un bruit, ni bruit du bois qui travaille, rien un silence. Étant toujours en bonne compagnie principalement je décide d'envoyer un message à l'une de mes joueuses préférées, quelques secondes après elle me donne une réponse positive, sachant, que je ne veux rien de sérieux avec elle, nous nous sommes mis d'accord pour être partenaire de "jeux". Alors, je fonce dans la douche en pensant à elle, elle. Une fois lavée, surtout rincé de mes idées non catholique et habillé d'un survêtement serré au mollet, la sonnerie de la porte résonne, j'ouvre celle-ci avec un sourire de tombeur, mais pas vraiment le temps de prononcer un mot, qu'elle se rue sur mes lèvres.

Nos lèvres s'emboîtent parfaitement, sa langue glisse sur ma lèvre inférieure j'autorise nos langues à glisser l'une contre l'autre, mes mains trouvent refusé sous ses fesses pour la mettre à ma hauteur, tandis que ses jambes viennent s'enrouler autour de ma taille, son dos claque contre la porte. Je fais de petit-coup de rein pour lui monter mon excitation, ses ongles se plantent dans la peau de mon dos, un grognement sort de ma bouche, sans plus attendre je relève ses bras refusant d'être marqué.

" Putain... Je... Prend moi merde." Sa voix me réclame.

Ses jambes glissent pour revenir sur le sol froid, sa main dans la mienne je l'entraîne dans la chambre d'ami, jamais dans la mienne, pas le temps d'être doux je la jette sur le lit, me trouvant au-dessus d'elle, j'enlève son haut et son bas, dévoilant ses sous-vêtements rouge orné de dentelle qui me fait durcir rapidement.

" Tu attends quoi ? ." Rit-elle.

Ambre nous retourne, madame aime prendre les devants, ses doigts glissent sur mon torse légèrement tracé, pour atterrie sur lui, d'une main expert elle le prend en main est commencé de doux va et vient. En glissant ses lèvres sur son ventre.

"Putain, plus vite merde !"

Elle s'abaisse pour enlever le reste de mes vêtements, le peu que j'avais ainsi que ses sous-vêtement, sa bouche en contact avec mon sexe et fait de doux va et vient, une superbe langue qui sait faire des miracles. J'en peux plus, je la remonte et inverse nos places, ma bouche glisse sur sa peau toute doré et ma main droit rencontre la peau de ses cuisses, j'ouvre les portes du paradis en la pénétrant d'un doigt puis de deux. Ses gémissements me font sourire, soudain je pense à elle, elle est s'est belle forme, elle est ses courbes à faire tomber parterre, elle est sa bouche pulpeuse, je ne peux l'imaginer sous moi. Dans un élan et surtout protéger je donne un violent coup de rein, en augmentant l'intensité de chaque coup, ma main tenant sa gorge pour la glisser sur son sein droit que je torture. Je la vois, "elle" étendue sous moi gémissent de plaisir... Nous arrivâmes au bout de notre partie de carte, surtout que j'ai coupé en plein partie... En fait, quand j'ai réalisé que c'était Ambre et non elle, l'excitation a disparue...

"Me laisse pas comme ça !"

"Dégage"

"Tu es vraiment un gros connard !"

"Tu me l'as déjà dit plusieurs fois, aller part"

" Ne compte pas sur moi pour revenir !"

"Tu l'as aussi dit et là tu étais où ? En train de baisser avec moi."

Elle ramasse ses affaires et part en courant, comme à chaque fois qu'elle vient, sauf que d'habitude je vais jusqu'au bout. Le plus étrange, c'est pourquoi j'ai pensé à elle pendant l'acte ? Pourquoi j'ai envie de caresser sa peau. Il me faut une douche, une fois à l'intérieur je repense à Leila putain !

Mon corps parcourt le couloir à la recherche de ma chambre, en un élan mon corps est allongé, une main derrière ma tête et l'autre sur mon torse. Mes yeux se fermement... J'ai incompréhension d'être hanté par son visage, des flashs de ses mains qui remettent correctement ma chemise, mes mains parfaitement faites pour ses hanches qui remonte dans ses cheveux châtains foncé répande une odeur divine de vanille en ce moment. Mes yeux s'ouvrent en grand, il faut vraiment que j'arrête de penser à elle, putain ! Elle est ma secrétaire rien d'autre, nous sommes d'accord sur cela ! Nous arrêtons cette merde.


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Hello ! ! Me revoilà ! ! ! Et avec un nouveau chapitre héhé ! ! ! Merci pour tout vos votes et commentaires !! :D

XxCass

Mon boss est un connard sexyWhere stories live. Discover now