PDV Niall Horan. Santorini. Île Grec. Fìra. Quelques jours plus tard. (Dimanche 10 Janvier 2021) (17h30)
Nous venons de quitter l'aéroport. Un chauffeur envoyé par l'agence de location nous conduit à la villa que j'ai louer pour la semaine. Cette dernière est situé sur la côte ouest, à Fìra, la principale ville de l'île, à environ dix kilomètres de l'aéroport.
À cette période de l'année, les températures sont souvent comprises entre 15 et 20 degrés. C'est la basse saison mais ça reste vraiment en endroit assez paradisiaque où nous pourrons admirer les plus beaux coucher de soleil du monde. Je n'ai pas le souvenir d'être venu ici avec les garçons pour une de nos tournée et j'ai vraiment l'impression d'avoir louper quelque chose. Le paysage que nous avons vu à travers la vitre de la berline, jusqu'à maintenant, est vraiment magnifique. Je comprend désormais pourquoi Elia a toujours rêvé de venir ici.
Ma brune observe le paysage à travers la fenêtre de la berline noir, les yeux émerveillés telle une enfant qui vient découvrir le jouet dont elle a toujours rêvé. Depuis que nous sommes sortis de l'avion, son sourire ne l'a pas quittée et j'aime la voir comme ça.
Elia - Tu savais que l'île était initialement ronde, me demande t-elle en se tournant vers moi. Moi - Non, articulais-je. Comment ça se fait, je demande curieusement. Elia - Elle s'est affaissé par son centre et le cratère s'est enfoui sous l'eau. C'est ce qui a généré toutes ses immenses falaises que tu vois. On appelle ça la caldeira.
Je dois avouer que je ne sais pas trop quoi dire. Je suis vraiment surpris qu'elle sache ce genre de chose.
Moi - Comment tu sais tout ça, je demande en articulant. Elia - J'ai vu ça dans un livre, me répond t-elle en haussant les épaules.
Je ne peux m'empêcher de sourire. On peut penser tout ce qu'on veut, Elia est vraiment très intelligente et plus j'avance avec elle, plus je le remarque.
Le chauffeur s'arrête devant un portail en fer noir derrière lequel se dissipe un jardin et une maison typique du pays. Nous sortons de la voiture et attrapons les valises que le chauffeur vient de nous sortir du coffre. Il me tend les clés fourni par l'agence que je prend en main. Nous le remercions avant de le voir s'en aller.
J'ouvre le portail sous le regard d'Elia qui trépigne d'impatience. Une fois entrer dans le jardin, je lui tend les clés et laisse ma brune ouvrir la porte d'entrée pour découvrir le lieu où nous allons séjourner pendant un peu plus d'une semaine. La villa est assez typique de l'île avec sa façade extérieure toute blanche et ses portes voûtées bleue. Elle surplombe toute la la falaise, ou la caldeira comme l'a si bien appelé Elia, et nous donne une vue imprenable sur la mer.
Elia - C'est vraiment magnifique.
L'intérieur est aussi magnifique que l'extérieur. Tout est moderne et maculé de blanc.
Je pose les valises dans un coin et suis Elia pour visiter le reste de la maison. Nous finissons par sortir à l'extérieur. Une piscine chauffée et à débordement s'y trouve. En observant l'horizon nous pourrions presque croire que la piscine se jette dans la mer.
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