Part.65.

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Narration Marie Buneo
Sa main se pose sur le bas de mon dos et il fit pression sur celui ci m'obligeant à avancer vers lui. Il rassembla mes cheveux sur mon épaules gauche puis il ne tarda pas à poser ses lèvres sur la partie droite de mon cou.

- "Stop !" Dis-je en le poussant.
- "Il me semble que la dernière fois tu avait aimé.." Souria-t-il.

Alors qu'il se dirigeais de nouveau vers moi j'attendis des coups à la porte.

- "Tu sais qui c'est ?" Demanda-t-il.
- "Non.."

Il s'avança jusqu'à la porte puis il entrouva.

- "Agent Rodriguez, veuillez sortir les mains en l'air."

Son visage se crispa et il voulu refermer la porte mais le policier utilisa ses réflexes en bloquant la porte à l'aide de son pied. Il tenait dans une de ses mains un revolver et de l'autre il ouvrit la porte.

Accompagné de ses troupes, le policier s'infiltra dans la maison et je ne tardais pas à m'enfuir de cacher derrière eux.

Trois policier faisaient face à Evan qui lui arborait une position décontractée.

- "Les mains dans le dos et tournez vous." Dit un des agents, sûrement le plus haut gradé.
- "Avez vous un mandat d'arrêt ?" Dit Evan avec un sourire en coin.
- "Nous en avons aucun, mais nous disposons d'assez de preuve pour vous arrêter." Argumenta l'agent.

Je suivais cette scène tel un match de ping-pong, les répliques s'enchaînant dans chaque camps jusqu'à la victoire.
Evan sembla réfléchir un court instant mais ne tarda pas a reprendre ses esprits.

- "De quelle preuve voulez vous parler Agent ?" Reprit-il.
- "Toute vos paroles ont été enregistré au poste, nous savons tout Monsieur."

Le visage d'Evan se crispa. Il tourna son regard vers moi et me regarda longuement.

- "Comment ?" Il semblait s'adressait à moi. 

Je sortis le dispositif d'écoute de mon oreille puis décrochai le micro de sous tee shirt.

- "Ce n'était plus possible Evan, tu ne devais pas recommencer."
- "On l'embarque." Dit l'agent.

Evan baissa la tête, et rapprocha ses poignées. Il s'avança tandis que deux policiers allaient à sa rencontre. Quand ils furent à sa hauteur Evan s'arrêta. L'un des policiers sortit une paire de menotte mais durant ce laps de temps Evan en profitant pour courir vers moi.

- "Espece de Garce !" Hurla-t-il.

Alors qu'il était prêt à se jeter sur Moi, le troisième et dernier agent qui donnait les ordres et qui était resté à mes côtés se plaça devant moi avant de sortir son arme et de viser en direction D'evan.

Il s'arrêta brusquement dans sa course.

- "Vous serez prêt à tirer ?"
- "C'est mon métier."

La réponde fut froide et courte. Les deux policiers profitèrent de ce moment d'intention de la part d'Evan pour lui mettre les menottes.

- "Tout ce que vous direz à partir de maintenant sera retenu contre vous, je vous prie de gardez le silence."

Evan fut amené jusqu'à la voiture, escorté par les policiers.

L'agent se tourna dans ma direction.

- "Ce que vous avez fait est risqué mademoiselle Swiss."
- "Oui.. Mais nous l'avons fait et tout c'est bien passé." Souriais-je. 
- "Oui, vous avez sûrement raison." Me souria-t-il en retour.

Je commençais a sortir de la maison mais le policier m'interpella.

- "Son jugement risque d'arrivé dans la fin de semaine, vous serez une victime et votre témoignage et donc votre présence seront obligatoire mais nous avons besoin d'une autre personne qui puisse elle aussi appuyer sur les faits commis par lui."
- "Oui je comprend."

[...]

Après avoir terminé les derniers détails avec les agents, je me dirige chez Tiago qui venait de m'envoyer un message afin que l'on se retrouve tout les deux. Je rentre a l'intérieur de son jardin puis sonne à la porte. Elle ne tarda pas à s'ouvrir laissant apparaître Tiago.

- "Résultat ?" S'enquit-il.
- "On a réussi ! On est arrivé !" M'exclamais-je.

Il me prit dans ses bras, un sourire sur le visage.

Différent mais pourtantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant