CHAPITRE 50

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Narration Tiago Puns
Je crus un instant que mon cœur allait s'arrêter tellement il battait a une vitesse impressionnante. Le médecin se tenait toujours devant moi et n'avait pas finis sa phrase. Ma seul envie était de le secouait mais je ne bougeais pas m'attendant vraiment au pire.
Je l'entendis soufflait un bon coup puis il prit enfin la parole.

- "Je suis désolé mais votre Soeur n'a pas survécu."

Je restais un moment les yeux fronçaient. Deux choix s'offraient à moi. Le premier ? Qu'il m'est prit pour son frère ce qui signifie qu'Elea est... Ou le deuxième choix qui signifiait qu'il s'est trompé de patient et qu'Eléa était encore parmis nous... Et je l'espérais de tout cœur.

- "Ma sœur ?" Demandais-je.
- "Vous êtes bien le frere d'Amelie Rouget ?"
- "Non désolé."
- "Je suis son frere, comment va t-elle ?" Entendis-je derrière Moi.

Je m'écartais un peu et je fus l'espace de quelques instants peiné pour ce garçon qui allait apprendre la mort de sa sœur.
Je fus sorti de mes pensées lorsque je pensai a Eléa, je n'avais toujours pas de nouvelle. Je me dirigeais vers l'accueille et ils m'annoncèrent la chambre ou se trouvait Eléa.
Alors que j'allais entrer une main se posa sur mon épaule. Encore un adulte en blouse blanche...

- "Vous êtes ?" Me demanda-t'il.
- "Son copain." Dis-je.
- "Savez vous dans quelle état elle se trouve ?"
- "Non, mais vous allait me le dire ?" Dis-je d'une voix assez nerveuse. Je n'aimais pas qu'on joue avec ma patience.
- "Elle est dans un coma, dans un coma non artificiel. Elle a pris une chute sur l'arrière de la boîte crânienne."

J'appuyais sur la poignée de la porte et j'entrais dans la chambre. C'était silencieux, elle était la, allongé les mains le long du corps sans bouger. Juste sa cage thoracique était en mouvement permettant de la voir respirer. Je soufflais et avancer les mains tremblantes.
Je m'assis sur une chaise qui se trouvait à ses côté. Je pris l'une de ses mains et la serra légèrement. J'aimerais tellement lui parlait et rien ne m'en empêcher mais pourtant je ne pourrais l'expliquer... J'avais cette boule dans la gorge qui m'empêcher de produire le moindre son. Une horrible sensation.

- "Je... Je... Je ne parle jamais au personne dans le coma mais j'en ai besoin avec toi..." Réussis-je a dire. " Si tu savais a quelle point je m'en veux... J'ai tout gâché avec toi, tout ça pour un défis. Je devais te faire tomber amoureuse de moi mais finalement je suis... Je t'en prie Eléa réveille toi, je répondrais à toute les questions que tu veux. J'arrêtais les conneries pour toi, mais ne m'abandonne pas." Ma voix se brisa sur la fin de la phrase.

Cela faisait du bien de parler, même si je savais qu'elle n'entendais peut être pas. Mais cela faisait si longtemps que j'attendais ça.

- "Je me rappelle ce jour de rentré quand tu arrivé, tu était déjà spécial rien qu'à ton apparence. Puis tu as été désigné pour mon défis mais en attendant tu t'es mise en couple avec Evan... J'ai essayer de t'en empêcher, de te dissuader, il n'étais et ne sera jamais bon pour toi... Si tu savais ce qu'il a fait déjà subir une fille. J'ai perdu ce défis, j'ai échouer en quelque sorte même si je t'ai embrassé mais je ne voulais pas que cela se passe comme notre premier baiser, je voulais le faire dès les règles. Mais de quelle règles je parle ? J'ai la réputation du badboy du lycée mais en y réfléchissant bien c'est juste une masque pour ne pas montrer mes faiblesses sauf qu'à présent tu es ma principal faiblesses."

J'étais toujours aussi étonné de moi d'arriver à dévoiler mais faiblesses aussi finalement mais cela devait sûrement être le fait qu'elle se trouvait allongé devant moi et non debout en pleine forme. Je m'approchais d'elle avant de déposer un doux baiser sur son front un peu comme en signe de protection.

Lorsque mes lèvres se reculèrent, la porte s'ouvrit précipitamment laissant place à son père.

- "Recules de ma fille !"
- "C'est votre faute tous sa !"

Il ouvrit grand les yeux.

- " Elle a désobéit c'est ainsi !"
- "C'est de votre fille que nous parlons. Vous ne pouvez pas la privé d'une éducation."
- "Qui est tu pour elle ?"
- "Un... Un ami."
- "Alors comporte toi comme tel et ne me donnes pas de conseil dans l'éducation de ma propre fille."

Je restai ébahi face à lui. Sa fille était de un coma assez lourd, et sa seul préoccupation était le fait que sa fille ai désobéi et non qu'elle se trouve entre en la vie et peut être la mort.

Différent mais pourtantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant